Bonsoir!
Bonjour! Les Alouettes, le club de football canadien a gagné son premier match
par un point hier. Sur la photo, je ne sais plus où c’est avec une mini voiture
jamais vue ici. Sur l’auvent comme des phylactères de bandes dessinées y’a de
quoi me qualifier. C’est un peu pour mon collectionneur de voitures de
Deux-Montagnes… Les vieilles vignes je crois que c’est à Meursault en France.
Lentement je me réveille, le climatiseur s’est arrêté, j’ai mal à ma nuit, y’a
des gens qui rentrent chez eux après une nuit en « boîte » comme
disent les Français. C’est le matin de vendredi, c’est là que commence la fin
de semaine pour plusieurs. Plutôt que de délirer dans la nuit je me suis
recouché et j’ai dormis, ça fait pas un gros sentis. C’est un matin pluvieux, j’essais
de vous écrire quelque chose d’original, étrangement on célèbre la fête
nationale le vingt-trois et vingt-quatre juin, je participe pas… J’ai hâte de
partir pour Barcelone le départ approche. Je suis émotif, pense à toutes ces
Saint-Jean- Baptiste où j’avais pas de
copine, j’ai longtemps cherché j’y arrivais pas j’étais seul, plus tard j’en ai
eu mais ça allait pas mieux, des débuts d’été triste. Maintenant je suis seul
et ça me déplait pas… Je pense qu’écrire un blog ça fait partie de la pleine
citoyenneté, je pense au chanteur Paul Piché https://www.youtube.com/watch?v=ATLGkQr3vxc je suis nostalgique, j’ai pas beaucoup
apprécié cette époque. Y’avait les promesses d’un été plus doux, plus amoureux,
un été fertile, mais non à cette époque j’étais solitaire et ça me faisait mal
de voir toutes les jeunes filles. Y’a eu qu’au symposium de sculpture que j’ai
été heureux après ça s’est gâché, je suis toujours descendus plus bas. Je me
rappelle du gars qui tous les matins me faisait faire en courant le tour de l’île
en botte de travail, j’y arrivais. Après c’était des étés de délire, parfois je
voyageais dans le Québec, en vélo, en stop, où en voiture, je sais pas après
quoi je courrais, me souviens de la gang installé dans un rang de
Saint-Paul-de-La-Croix pas loin de l’île Verte. Je sais pas pourquoi j’allais
niaiser là. La vie à continuer et j’ai commencé mes incessants aller-retour à l’hôpital
en psychiatrie, c’est terrible comment ces médicaments me faisaient mal. J’y
arrivais tout simplement pas de psychoses en psychoses, aujourd’hui ça va mieux
j’irai quand même pas dans la foule. Hier je me suis rappelé que parfois je
pouvais avoir ce qu’ils appellent des cravings des manques. Ça finis toujours
par passer. Psychotiques, dépressifs, y’avait
le copain mouleur de céramique qui me faisait travailler. J’étais tellement
bête qu’à tous les jeudi à la paye j’allais me saouler. Mais ça vous le savez,
vous connaissez ma relation avec l’alcool, maintenant j’essais de me
reconstruire même si il est un peu tard mais j’ai moins mal. Je termine ici en
vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
À bientôt!!!
Bernard
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