Bonjour!
Bonsoir! Je vous écris puisque j’ai mal, incapable de poésie, sur les mots à
cheval et la littérature sale. Voilà à quoi rime mes tentatives des plaies
vives, toujours ce senti indéfini… Le temps me dis de le prendre et d’apprendre,
vous que j’appelle messieurs qui riez de mes vœux comme si ensemble les cochons
nous avait aidé à surprendre… Je ne vous connais plus mais oui vous m’êtes
devenus inconnus, vous voulez des choses sharp, lets call them harp, en
soufflant désespérant la musique le courant, tu comprends? Tu comprends comment
le vent s’étend et le mal est fréquent. Je cherche, je cherche les avenues qui
mènent au désir sans vertus et j’écoute pointu cette musique bourrue, cette
mystique ténue et pourquoi on porte tous sa croix pour en faire son toît, dis
moi, dis moi la loi du blasphème du trépas, la nuit où on passe droit dans l’univers
sans père sans serre. Là vous riez, vous riez et je ne peux plier, j’écris je
dis comme toujours maudit. J’allume à la plume et j’espère le volume, le poids
l’enclume, frappe cogne charogne, les seuls mots que tu connais pourrissent
dans le chais, tu voulais et moi ça me plais d’attendre avant un soufflet.
Voilà encore une fois comment je marque l’écran de mon sang, ils étaient trois
pourtant pour moi il n’en reste qu’un le Roi, le seigneur et le droit. Mystique
et synthétique, éloigne la synthèse et prend tes aises dans la prière à ta
manière et il le faut avec ton corps avec tes os, tu auras ma peau, ma manière
mon sceau… Pour toi ce sont des jeux d’enfants pourtant j’y pense avant, vous
vous êtes sérieux avec la monnaie l’argent et moi ça m’en prend mais pas autant
que le courant que la rivière que l’étang, là ça demande le trait l’histoire de
l’orfraie, je me perd en vol je dérobe sans robe et mérite l’opprobe… Quoi!
Quoi! Coua! Coua! Pense aux canards pas à l’art sans envol, juste pas fier dans
la misère seul sur terre. So! C’est ici que s’impose l’idiot celui qui lutte
contre les mots de trop, qui hésite pas à écrire sirop, érable et pot. Encore à
dire avec les rimes les pires, la poésie qui frime dans le désir… Pour toi c’est
un jeu moi je m’exprime malheureux, ne t’attend pas peureux et là je pourrais
vous parler des rôteux parce que j’ai faim et pas qu’un peu, je reviens à ce
mot, sérieux ça l’est pas c’est douteux. Non! J’écrirai rien d’érotique parce
qu’il y a trop de tiques et ça pique c’est une question de style y’a pas de
moustique juste des ptérodactyles et oui je suis antédiluvien, on écrivait
comme ça dans le temps pour rien. C’est difficile, difficile de dire de cette
façon de sbire. Mais je termine cette chose qui est pas si pire. J’ai essayé
mais je crois que ça tire vers le néant, pourtant. Je termine comme toujours
vous remerciant!!!
Bernard
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