Bonsoir!
Bonjour! J’ai terminé la lecture d’un excellent roman, intitulé « À l’ombre
du vent » une œuvre que je lis pour la deuxième fois une finale qui vous
arrache des larmes, c’est un roman très touchant. La photo cette nuit c’est une
rue d’un village français dont je me rappelle plus le nom. J’y vais je me sent
bien, y’a personne qui gueule dans la rue faut dire que les bars sont encore
ouvert on délire à l’intérieur. J’ai fait ma toilette me suis aspergé de parfum
Burberry Brit Rythm ça sent bon! La nuit s’est rafraichie, le
climatiseur est arrêté et on se sent quand même bien. J’aime beaucoup écrire je
sais pas si je vous l’ai déjà dit… J’ai des souvenirs de cette époque où je
travaillais en soirée dans une école sur la rive-sud laissez- moi vous dire que
je détestais ça… Souvenir aussi de ce gars au bar en uniforme de travail qui
racontais s’être trouvé une job quelques mois plus tard j’aurai le même
employeur que lui. J’en parle c’est pas par nostalgie je suis très heureux d’avoir
laissé ce job. Y’a pas de sot métier mais parfois je crois qu’il me prenait
pour un débile mentale… Ça fait plus de vingt-cinq ans tout ça, maintenant je
me donne à l’écriture… J’ai pas de permission à demander à personne dirais le
bôf. J’écris en espérant que vous appréciez, j’aimerais beaucoup vous donner
comme je dis souvent de la grande poésie, pour le moment c’est le frigidaire
qui parle, heureusement je suis plus en étât de manque… Me souviens de ce bar
rue Saint-Denis au nord de Jarry, je le nommerai pas c’est fréquenté par des
motards, je consommais tout ce que je pouvais et j’étais toujours étonné de
rentrer chez-moi psychotique... Je pense aux cicatrices que ça à dû laisser sur
mon cerveau. Ça pourrais être les mémoires d’un junkie mais y’a longtemps que j’ai
laissé tout ça, je sais qu’il y en a de vous qui se payent ma gueule d’être
devenus un pas grand-chose… Y’a pas beaucoup de ministres et de grands hommes d’affaires
qui sont sortis des écoles que j’ai fréquenté… Je suis pas malheureux, je suis
qui je suis… Souvent quand on travaille dans la soirée à la fin du quart de
travail un peu passé minuit on s’imagine pouvoir boire sans conséquence, pour
moi c’est faux le lendemain j’avais toutes les difficultés du monde à rentrer
au boulot. C’est encore mon thème de prédilection, ça me rend quand même heureux
de vous écrire… Petit mot pour ma lectrice de Deux-Montagnes, mais oui c’est
essentiel d’avoir une force supérieur on peut la fabriquer à notre mesure mais
toujours plus forte que soi . Voilà j’arrive à la fin de mon laïus pour cette
nuit. Priez pour moi, je me sent toujours malade mais c’est moins pire je fais
pas de psychoses religieuses. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir
lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
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