mardi 20 juin 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai terminé la lecture d’un excellent roman, intitulé « À l’ombre du vent » une œuvre que je lis pour la deuxième fois une finale qui vous arrache des larmes, c’est un roman très touchant. La photo cette nuit c’est une rue d’un village français dont je me rappelle plus le nom. J’y vais je me sent bien, y’a personne qui gueule dans la rue faut dire que les bars sont encore ouvert on délire à l’intérieur. J’ai fait ma toilette me suis aspergé de parfum Burberry  Brit Rythm  ça sent bon! La nuit s’est rafraichie, le climatiseur est arrêté et on se sent quand même bien. J’aime beaucoup écrire je sais pas si je vous l’ai déjà dit… J’ai des souvenirs de cette époque où je travaillais en soirée dans une école sur la rive-sud laissez- moi vous dire que je détestais ça… Souvenir aussi de ce gars au bar en uniforme de travail qui racontais s’être trouvé une job quelques mois plus tard j’aurai le même employeur que lui. J’en parle c’est pas par nostalgie je suis très heureux d’avoir laissé ce job. Y’a pas de sot métier mais parfois je crois qu’il me prenait pour un débile mentale… Ça fait plus de vingt-cinq ans tout ça, maintenant je me donne à l’écriture… J’ai pas de permission à demander à personne dirais le bôf. J’écris en espérant que vous appréciez, j’aimerais beaucoup vous donner comme je dis souvent de la grande poésie, pour le moment c’est le frigidaire qui parle, heureusement je suis plus en étât de manque… Me souviens de ce bar rue Saint-Denis au nord de Jarry, je le nommerai pas c’est fréquenté par des motards, je consommais tout ce que je pouvais et j’étais toujours étonné de rentrer chez-moi psychotique... Je pense aux cicatrices que ça à dû laisser sur mon cerveau. Ça pourrais être les mémoires d’un junkie mais y’a longtemps que j’ai laissé tout ça, je sais qu’il y en a de vous qui se payent ma gueule d’être devenus un pas grand-chose… Y’a pas beaucoup de ministres et de grands hommes d’affaires qui sont sortis des écoles que j’ai fréquenté… Je suis pas malheureux, je suis qui je suis… Souvent quand on travaille dans la soirée à la fin du quart de travail un peu passé minuit on s’imagine pouvoir boire sans conséquence, pour moi c’est faux le lendemain j’avais toutes les difficultés du monde à rentrer au boulot. C’est encore mon thème de prédilection, ça me rend quand même heureux de vous écrire… Petit mot pour ma lectrice de Deux-Montagnes, mais oui c’est essentiel d’avoir une force supérieur on peut la fabriquer à notre mesure mais toujours plus forte que soi . Voilà j’arrive à la fin de mon laïus pour cette nuit. Priez pour moi, je me sent toujours malade mais c’est moins pire je fais pas de psychoses religieuses. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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