Bonjour!
Bonsoir! Je suis content que le texte précédent vous ais plût. Parfois à trop
vouloir faire de sens on perd l’essence… Ce matin je crois que je vous ai tout
donné hier. La photo c’est juste une porte en France… Ce que je vous écris
aujourd’hui je trouve ça nul à chier mais je l’écris pareil. Je devrais avoir
des nouvelles de mon voyage bientôt. Je reviens dans cette follerie qu’est mon
senti parfois j’ai l’impression d’avoir tout dis, la difficulté elle est là, si
je fais comme hier je vais me répéter… Je prends mon temps. J’y arrive pas ça
demande trop d’énergie. Je veux juste écrire un texte qui vous plaise, parfois
je me dis que valait mieux l’hôpital que la prison… J’ai vu des policiers en
moto, je me demande à quoi ça sert. Je vous ai déjà dit que j’ai peur, que la
nuit je me sens maudit, toute une patente, la patente je crois que c’est comme
ça qu’on nommait les franc maçons à l’époque. Attends-moi ! Attends-moi! J’écris
si tôt et pourquoi pas? Je fais la navette entre le lit et mon clavier, c’est
rien d’intéressant, pourquoi? Comment? C’est comme si je voulais pas y aller à
fond, j’en écrirai bien un autre texte comme le précédent. On discutait avec l’assistant
metteur en scène, comment le trash dans la poésie ça pouvait être intéressant,
moi je crois qu’avant de trasher faut avoir une certaine maitrise, ne pas
écrire comme un cochon! Je me souviens que chez le patriarche on recevait le Sélection
du Reader’s Digest et la revue du National Geographic Society, deux lectures « édifiantes »…
Ce matin ça roule en fou, on respecte pas la vitesse limite. Vous aimeriez
peut-être que j’écrive dans un français châtié mais j’en suis incapable. Le
jour est là, on entend les oiseaux comme à tous les matins. J’écris à moitié
endormis, l’insomnie ça fait partie de la création. J’avais oublié qu’une
application web comptais les lettres pas les mots. Je préfère ma manière, je
compte les mots, je voulais pas le dire mais vous avez surement remarquer. Ce
matin je suis à bout, je radote… Sur Facebook y’a un motivateur qui sévit, j’ai
pas besoin de lui. Bon! Je me lance je vais essayer de terminer d’une traite,
il est peut-être un peu tôt, je vais chercher les mots et ce que j’ai à vous
dire ce matin pas grand-chose. Mon texte d’hier m’a usé, il était trop fort…
Toujours ces voitures au pot d’échappement qui ronronne, le matin c’est
fatigant, Tie a yellow ribbon around the ole oak tree https://www.youtube.com/watch?v=7NCZ4l8FCFc
une chanson qui à l’époque milieu des années soixante-dix, tournais à tous les
matins sur l’émission de Jacques Proulx, j’écoutais ça en allant travailler
avec le patriarche dans sa voiture, je crois que j’étais déjà malade je pouvais
pas me résigner à mener cette vie là pour le reste de mes jours. Je termine en
vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard
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