Bonjour!
Bonsoir! Ce soir je mange un spaghetti… La neige recommence à tomber, pourtant
le soleil semble vouloir percer. Cherché pas trop il est toujours question de
mon senti… Y’a une troué et le ciel est bleu,
je sais pas si ça aide d’exprimer sa paranoïa, ce soir j’en ai pas je
suis chez moi personne me harcèle. J’ai de mauvais souvenirs aujourd’hui je
suis honnête. « Prend une chance avec moé m’en va toute te
donner »-Lucien Francoeur. Je croyais avoir encore des pâtes du onze
septembre deux milles un, une compagnie nous en avait donné un lot. Mercredi
première paye de l’année, on rentre à la maison on mange et on va se reposer.
Pas question de prendre de l’alcool ça masque de façon artificielle la fatigue…
Viens de finir mon spaghetti, c’était bon ça fait changement du ragout de
boulettes. J’écoute ce que dis mon âme je reviendrai pas sur mon partage
télévisuel c’est dit, c’est fait je regarde en avant, après les Rois qu’on ne
fête plus beaucoup avec la fève, le temps des fêtes se termine. J’entends les
publicités de vacances à la télé ça me donne envie de partir de prendre
l’avion. Mon lecteur conducteur d’autobus part bientôt en Asie pour un mois.
J’espère qu’il m’en veux pas je lui ai piqué une photo cette semaine. Je suis content que Bombardier ais vendu des
CSeries et ais des commandes en poche. J’aime les avions, je cherche comment
nommer mes sentiments mes émotions c’est pas une affaire de sportif, ils aiment
pas beaucoup la sensibilité. Je me souviens du grand joueur Guy Lafleur qui lis
ses poèmes à l’émission appelé moi Lise, ça prenais du courage. Sensibilité,
tout n’est que ça, sensible mais d’une façon humaine sans plonger vers les
fonds abyssimaux de la maladie. Il est toujours permis de rêver. J’ai coupé le
son de la télévision, le poête voudrais que je me taise que je laisse la parole
qu’à lui annonceur d’apocalypse mais je crois qu’il y a encore du beau et que
c’est difficile de l’écrire. Je peux pas me permettre le ressentiment, je m’en
tiens au senti, heureux d’être à l’intérieur et de ne pas avoir à faire face au
vent. Je pousse, je pousse je ne vous parlerai pas des entrailles dans
lesquelles je pousse, je laisse ça au Marquis DeSade, c’est pornographiques. Je
cherche l’inspiration où je peux, la nuit est arrivé et vous aussi je veux pas
vous choquer. Non! Non! C’est pas la fin, je sais pas où s’en va le monde mais
je suis certain qu’il reste du temps. Ça presse pour le réchauffement
climatique et les pipes line mais on vas y arriver, on respire déjà mieux dans
le goulag occidental. Dans le moment les gens quittent et vous aurez pas le
plus beau des poèmes. Je m’en tiens à cette prose que vous allez peut-être me
piquer pour vos cours de français. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine
j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
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