Bonsoir!
Bonjour! Ça fait pas beaucoup de temps entre mes deux publications. Je suis à
peine réveillé, je vais essayer d’y arriver. Y’a ces bateaux sur le fleuve et
la canne à pommeau d’or lequel vas y arriver. Ce matin dans ma tête j’entends
de l’accordéon, y’avait cet oncle qui animait les soirées du patriarche avec
son instrument. Il aimait pas beaucoup quand mes oncles du côté paternel
discutait il préférait mettre le yable avec son instrument, c’était amusant. Je
me souviens que ma grand-mère est décédé au jour de l’an ça avait cassé le
party, c’est le moins que je puisse écrire. J’étais monté avec les cousins à
Roberval au Lac-Saint-Jean pour le service funéraire, j’avais jamais vus autant
de monde. Si c’est bien ça elle était venue au monde à Noël et décédé le
premier de l’an. J’ai jamais réalisé le changement quand quelqu’un part, je
crois toujours que je vais en croiser un. C’est triste ce matin mais faut se
réjouir on a une nouvelle blanche du prénom de la grand-mère dans la famille
pour cette enfant c’est l’arrière, arrière grand-mère. Bon! Je ferai pas de
généalogie. Vous en faites pas y’a personne de proche qui est décédé c’est
juste un souvenir. Encore je me souviens du côté maternel de descendre de
travailleurs forestier. Mon père travaillait comme commis dans un campe pour la
C.I.P. J’ai jamais pensés aller bûcher maintenant y’a des machines qui font ça.
Je sais qu’il y en a qui trouvait étrange que je travaille pas dans une ville
comme Montréal. J’ai dit la raison à la télévision http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1007226/vivre-avec-la-schizophrenie-et-combattre-les-prejuges
J’ai survécu à cette folie mortifère
jusqu’à aujourd’hui. Un lecteur me disait de surtout pas abandonner je le
remercie, c’est encourageant. Je vous parlais des travailleurs forestiers, je
pense à ceux de ma génération qui faisaient du tree planting dans l’ouest
canadien, je crois pas que j’aurais été capable de faire ça mais j’aurais bien
aimé préparé la bouffe pour tout ces travailleurs. Étrangement je pense au Klik
et au Kam ces viandes en boîte américaine. Je sais que dans les campes
maintenant on est macrobiotique où végétarien. Je pourrai dire que j’ai vécu en
ville, la plus grande ville francophone d’Amérique, la deuxième plus grande au
monde je crois. Je suis partis du port de Montréal avec ses générations de
débardeurs pour me retrouver en forêt, au printemps les bûcherons pouvaient se
retrouver avec leurs paye de l’hiver dans les tavernes des quartiers populaire
de Montréal. Moi ce que je faisait c’est que je travaillais assez longtemps
pour avoir droit à l’assurance chômage, un chèque à toutes les deux semaines
qui me permettait de vivre sans être trop malheureux. Je pense à cet immigrant
chauffeur de taxi qui se vantait de n’avoir jamais demandé d’assurance chômage,
bein cou donc! Si on avait tous été comme lui… Je sais pas quoi dire l’assurance
chômage c’est pas pour les chiens. Je termine donc en vous remerciant d’avoir
lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire