Bonjour!
Bonsoir! Je lis présentement un roman finnois qui se passe dans un pays
imaginaire d’Amérique du sud. Je peux pas m’empêcher de pensés à Cuba même si l’auteur
compose une caricature. C’est étrange cet après-midi j’ai un senti du sud,
Varadero, le tout compris, c’était pas terrible. Ils avaient laissé une
bouteille de rhum dans la chambre mais comme je bois pas elle est resté là. Je
regarde dehors j’ai les bleus, pour dire que j’aime bien le vert surtout quand
je marche sur une plage, les palmiers et les cocotiers… Je pense aussi au
centre de La Havane c’est beau. Si ce n’était que de moi je partirais drette là
mais j’ai du travail à faire au goulag occidental. Je partirai bien à un
moment. Quand c’est gris le goulag occidental c’est vraiment triste. J’attends
le soleil, ai regardé sur le web les « casa particular » à La Havane,
je sais pas j’ai peur de me faire organiser… Mes obsessions sont pas là cet
après-midi. Je suis calme la vie me souris. Y’a plein d’endroit où je voudrais
aller mais j’aimerais bien être accompagné. J’aime beaucoup ces sensations, ces
émotions avant un départ sans parler de quand je me retrouve à l’aéroport, j’en
parle souvent, j’aime ça. On est en plein hiver, quoi dire, je fais plus de
sport, marcher dans la slush ça m’intéresse pas. Je vais patiner bientôt ça va
me faire du bien. « Rock and roll song » Valdy https://www.youtube.com/watch?v=UpgYUhgbFAk
Je pense à la jeune fille qui m’a fait connaitre ce chansonnier quand j’étais
adolescent. Quand je pense à une chanson y’en a plein d’autres qui me viennent
en tête. Je suis plus la musique comme avant, je préfère les vieux succès, je
suis parfois mélancolique. Voilà, y’avait la pool room de la tabagie, un des
gérants avait demandé à un copain d’être son chauffeur pour une tournée en
Gaspésie, aujourd’hui je soupçonne qu’il y avait quelques chose de gay là-dessous
mais enfin c’est pas interdit. Je suis très conscient de manquer de variété
dans mon utilisation des verbes mais y’a pas cent milles façon de vous indiquer
que ça se passe dans ma tête. Tout est calme, j’ai plus cette espèce de
pression angoissante ça a pris du temps à disparaitre, je reviens pas sur cette
saloperie de passé, j’ai pas oublié mais j’ai pardonné… Je pense au patriarche
qui me donnait de l’ouvrage, des jobs qui avaient pas de bon sens bien qu’on
dise qu’il n’y a pas de sots métiers. Jeudi soir, c’est la paye à l’époque y’en
a qui changeait leurs chèques à la taverne, le waiter, le shylock, name it,
tout pour la bière. Le vice ça toujours été payant, je sais pas pour qui j’étais
pas dedans… Y’a beaucoup de circulation automobile, les gens rentrent à la
maison se préparer un souper pour ensuite s’écraser devant la télévision. C’est
là-dessus que je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
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