Bonsoir!
Bonjour! Me revoilà… C’est samedi y’a
longtemps de ça pour moi ça voulait dire congé, pourtant quand je travaillais à
la shop de porte je travaillais le samedi aussi. Je me souviens bien de cette
époque le patron c’était le père d’une gentille lectrice amie de Terrebonne. J’ai beaucoup moins de lecteur/trice, les
gens cherchent du neuf ils survolent la toile mais ne s’y posent pas, c’est
difficile d’être totalement nouveau, y’a un lecteur anonyme qui me dis de ne
pas arrêter, surtout pas. J’ai beau travailler sur ce texte, j’arrive pas à la
parcimonie des mots d’un poème contemporain, Vous préféreriez peut-être que je
sois plus laconique mais j’y arrive pas. Je vous donne à lire avec mon entête
vous me reconnaissez et êtes pas obligés… La lectrice de Terrebonne peux pas
venir en voyage moi j’ai pas envie de partir seul. Je verrai… Hier y’avait une
émission sur la Polynésie c’est beau mais c’est loin, les Marquises là où Brel
a terminé sa vie… « Ne me quitte pas » https://www.youtube.com/watch?v=cBMDX2sR27U « Moi je t’offrirai des perles de pluie
venue d’un pays où il ne pleut pas » fallait l’écrire celle-là, c’était le
génie de Jacques Brel. Cette nuit je prends mon temps pour vous écrire, j’ai
parlé à personne, y’a longtemps le samedi matin je m’assoyais sur le bord de la
fenêtre à la taverne, les gars arrivaient et on se retrouvait plusieurs assis
autour de la même table. Je me souviens pas de quoi on discutait, ce que je
sais c’est que la gang était plus vieille que moi. Je me retrouvais à la
taverne du Central parce que je m’étais fait barrés à la brasserie. C’est des
souvenirs de gars, je crois que ma lectrice retraité snowbird de L’Outaouais
travaillait à la cour à bois à cette époque. Je pense à comment je vais
illustrer le blog… Ai fermé le chauffage, me suis habillé et ouvert la porte. J’ai
besoin d’un peu d’air frais, dehors une voiture klaxonne. Je suis certain que
dans les gars de la taverne y’en a qui ont réussis à se faire une vie de
famille, voiture, maison, femme et enfants.
Moi je pensais pas à ça, j’avais des pensées plus intérieures bientôt la
maladie allait se présenter et tout allait débouler. Je serai dans la panique
paranoïaque. J’ai réussis à me débarrassé de cette damnée ville de Terrebonne
et c’est tant mieux. La vérité c’est que je croyais pas me rendre à cet âge, j’étais
partis pour me faire tuer beaucoup plus jeune. Je pense à ce langage que les
filles du parc avaient, parsemé de vulgarité et de jurons, c’était pas jolie,
jolie… Rien pour les rendre attachantes y’a aussi à ce secondaire cinq que j’ai
pas, suis sans diplôme un lecteur me disait que si j’avais triché je l’aurais
peut-être mais non j’ai été honnête et là je suis un peu vieux pour ça. Merci d’avoir
lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire