Bonsoir ! Bonjour ! On va faire du théâtre encore cette
année, je commence bientôt avant je dois terminer mon implication dans une
formation. Je pense au grand poète qui disait que c’étais pas facile pour lui d’écrire,
je suis pas seul… Je suis quand même triste ce soir je pense aux histoires de
brosse de bière et de scotch des soirées comme ce soir y’avait personne au bar
ma gueule étais si triste dans le miroir, je passait mes nuits à me tuer avec
de l’alcool, aujourd’hui j’ose même plus boire des bières sans alcool. C’est
tellement présent y’en a partout où je regarde. Un long moment j’étais sans
chez moi je me réfugiais au bar jusqu’à trois heure et j’essayais d’oublier ma
misère dans les coquerelles, c’est le cas de le dire j’avais le cafard. Aujourd’hui
j’assiste à une formation ça devrais être bien et remplir ma journée. Dans tout
ce que j’écris y’a toujours un fond de mélancolie. J’étais heureux d’apprendre
que le poète était un amateur de football. Semble qu’en Abitibi et au Témiscamingue
y’avait des ligues avec le nord de l’Ontario. Je crois qu’eux aussi avant le câble
et avec les oreilles de lapin, le dimanche il regardais le match à Radio-Canada
avec Raymond Lebrun le regretté qui commentait. Quand même j’ai toujours aimé
les artistes j’en suis entouré de plus où moins sérieux, j’aime à croire que j’en
suis un. Il est tard, hier je discutais avec l’ami sclérosé de la notion de
passe temps de l’idée très judéo-chrétienne que faire quelque chose en dehors d’un
travail est un passe temps on semble pas réaliser tout le travail que je me
donne. Viens de manger une mandarine elle était délicieuse… Je crois que je
devrais avoir ma nouvelle paire de lunette cette semaine. Vous voyez sur certain
aspect c’est toujours mon journal. Parfois je réalise qu’avec le temps je suis
devenus vulnérable pour pas dire vénérable. J’essaye de me protéger, j’ai
toujours été seul pour faire face à la vie et je vous parle pas de mes pires
moments de maladie mentale. Ça faisait mal cette folie, cette maladie comme si
mon âme étais grise… J’écris ça je crois que vous comprenez et voilà. C’est la
chute, la conclusion, l’épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère
!!!
17/10/2023
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