Bonsoir ! Bonjour ! La semaine se termine deux jours encore
et c’est mai. La ville deviens verte et je pense aux arbres dévasté par le
verglas. Pour ceux qui veulent me voir au théâtre c’est lundi le 15 mai à 7h30
au TNM c’est gratuit. Ce soir je vais à la chasse aux émotions j’essais de dire
la contrition ça peux paraitre bizarre de vouloir revenir à Dieu mais j’ai rien
trouvé de mieux ce texte intime c’est ce que je trouve le plus proche de la
spiritualité pour moi c’est essentiel, une demande de pardon. J’ai fait un long
parcours en Sa compagnie je crois qu’Il est là Bienveillant, c’est pas la fin
du monde c’est juste que vivre seul c’est un besoin de spiritualité. Je prêche
pas je vous dis ma recherche. Chacun a sa croix le danger c’est que ça devienne
un délire spirituel psychotique du genre à nous faire croire que c’est la
grâce, le bon Dieu est bien ancré dans le quotidien et ses difficultés, la foi
du charbonnier. La prière parfois douloureuse de la gratitude. Ne vous méprenez
pas le personnage que je joue au théâtre est loin de ça bien qu’il ais lui
aussi sa quête. C’est certain que la spiritualité dans les feux d’artifices,
les affiches et les néons ça laisse pas grand place pour le recueillement, l’humilité,
on voudrais chasser la douleur avec la célébrité pourtant mieux vaux être
jardinier. La psychose laisse des stigmates, je pense aux amis disparus.
Plusieurs avaient changé de vie avant de mourir, la foi avait allégé leurs
peine pourtant ils cherchaient dans le jazz, de la spiritualité, une prière
up-beat. Moi je cherche toujours une réponse à l’angoisse. N’empêche les genoux
me craquent, les articulations sont douloureuses c’est l’apanage de l’âge on ne
se « mortifie » qu’à genoux. Ça sent le weed je pense aux
rastafariens à leurs religions de l’herbe, ça me prendrais à la tête le pot ça
me rend psychotique, ils chantent du reggae avec le grand prêtre décédé Bob
Marley. Voilà! C’est le moment le plus difficile de l’écriture, la conclusion.
Ce soir ça sent l’étable une odeur que j’ai connus dans mon enfance, les vaches
pendant le train du matin. C’est la chute l’épilogue comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je
l’espère !!! Ciao !!!
28/04/2023
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