Bonsoir!
Bonjour! À part une visite au supermarché hier je suis pas allé très très loin.
Comme toujours on rêve de voyage en regardant celui des snowbirds… Je mange des
chips en vous écrivant, je les ai rangé ça donne des brûlements d’estomac, me
suis versé un verre de jus d’orange. La dernière semaine de janvier est entamer
après c’est le court mois de février, le mois de mars pour bien se préparer et
ensuite les vacances à San Francisco. Les gens avec qui j’en parle me disent
tous que je vais faire un beau voyage. J’ai hâte d’être à l’aéroport. Je crois
qu’aujourd’hui les snowbirds seront en Louisiane, dans un autre ordre d’idée je
termine la lecture d’un polar de Philip Kerr comme on dis quand on sait pas
quoi dire c’est rafraichissant, quelques pages encore et ensuite je relis le
guide Ulysse de voyage en prenant des notes. Je sais pas pourquoi les choses m’apparaissent
verte pourtant je suis pas golfeur. J’en connais qui ont surement hâte d’aller
jouer un neuf… Je sais pas si mon lecteur de Deux Montagnes va faire l’acquisition
d’une autre voiture vintage?... Je m’égare, je voudrais vous parler de mon
senti, pour être franc avec vous il est pas passé minuit. Je me suis allongé j’arrivais
pas à m’endormir, la machinerie passe dans la rue, je me suis préparé un café…
Je suis décongestionné et pour ce qui est de mon senti je trouve toujours ça
agréable de vous écrire même si parfois ça ressemble à du chialage, mon senti
est rarement transparent y’a souvent de la peine et des larmes c’est la rançon
de celui qui veux être « vrai ». Je suis pas journaliste juste un
bloggeur qui souhaite vous avoir comme lecteur de ses écritures quotidiennes…
Je pense à mon enfance à ce nouveau voisin avec qui j’arrivais pas à m’entendre
il me crachait dessus, ça se terminais toujours comme ça après avoir essayé d’échanger
des cartes de hockey… Y’a cinquante ans de ça j’allais chercher un nouveau
voisin pour me rendre à l’école, c’étais pour l’aider mais lui me bourrais de
menteries ça été long avant que je réalise ça… À l’entendre il sortais avec
toute les petites filles qu’on croisait, moi parfois j’avais des chances mais j’étais
trop balourd, je rêve encore à elle cinquante ans plus tard. C’est vrai que je
savais pas vraiment quoi faire avec les femmes ça été long avant de me déniaiser,
encore aujourd’hui je suis pas tout à fait à l’aise… Je sais pas si tous ceux
qui ont fréquenté le collège privé ont eu des vies meilleures que moi, ils sont
rentré dans le rang moi je peux dire que j’ai pas pris le pas et j’ai vécu… J’ai
pas appris à avoir de l’estime de moi, bien que j’en ai un peu plus… Voilà! Je
sais pas ce que ça vous dis tout ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À
la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard
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