Bonjour!
Bonsoir! J’ai fait la lecture d’un article où on en a contre la culture des
likes, semble que pour ces artistes professionnels c’est une dictature, encore
une fois l’élite qui s’oppose au peuple aux moyens populaires de création et d’expression,
on préfère la critique élitiste des journaux aux likes, se faire démolir par un
critique plutôt que l’apparition sur les réseau sociaux de likes de son œuvre…
Je suis pas trop équipé pour élaborer la dessus mais pour moi c’est l’outil d’expression
par excellence, les artistes eux veulent des critiques érudits, si je les
écoutais je devrais cesser toute mes activité sur mon blog et encore moins
attendre des likes… Le poète disait « Je connais rien » c’est
probablement en ma défaveur, on aime pas les gens qui essaient de penser tout
seul. C’est pas n’importe qui qui peut faire œuvre de culture, Saint-Tite
contre l’orchestre symphonique… Comme toujours faudrait se bercer et s’émouvoir
sans dire un mot, juste être un public passif et ne pas utiliser les médias
sociaux. Assister à l’œuvre de ce metteur en scène et rester muet par pudeur,
comment dire? Je revendique mon droit à l’ignorance, mon désir d’apprendre et d’en
dire un peu plus sur une œuvre auquelle j’ai assisté. Je connais pas beaucoup
la tragédie grecque pas plus que le dramaturge anglais Shakespeare je me fond
dans la culture populaire, ma chose à moi c’est l’art crû, quand je lis des
articles contre les likes je me dis que certain sont trop cuit. Voilà! J’ai un
peu peur de vous écrire ça, j’imagine peut-être trop la portée que ça a,
quelques lecteurs à peine… L’émotion voilà de quoi il s’agit, ce que j’essais
de faire en écrivant ici, vous faire lire mon senti, les grands artistes ont
les moyens moi je suis tout petit. Aujourd’hui on gèle j’espère que mon lecteur
de Deux Montagnes a parlé avec la matriarche. Je trouve plus, je trouve pas, je
suis sans argumentaire voilà pourquoi l’artiste n’aime pas les likes, c’est
toujours difficile d’élaborer sur une vision… J’ai toujours voulu être cultivé
mais la culture c’est comme la confiture… Vous connaissez le reste. J’ai le
droit d’appeler ça une œuvre? C’est toujours ce que je tente, je réécrirai pas
toute la littérature, toute la dramaturgie occidentale mais c’est de ça qu’il s’agit,
créer une œuvre crû… Souvent comme ça quand je prends la pose, c’est raté… Je
continus quand même pour voir où ça va me mener… J’essais plutôt de revenir à
mon senti car c’est ce que je connais… Je suis vieux c’est bien difficile d’apprendre,
il est pas question de vernis. Je vais vous illustrer ça avec la dentelière de
Johannes Vermeer, juste pour que ce sois un peu plus beau… Moi au contraire j’y
vais pas dans la dentelle. Voilà! J’essais de terminer, j’en arrive à la chute.
Quelques mots encore pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! L’épilogue c’est
jamais simple, je voudrais vous revoir!!! À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire