Puisqu’il me
faut tout dire
Que le
diable m’emporte
Chez les
anglos pourris
Qui demandent
La chienne
de mes chiens
L’usage de
mes mains
Pour étouffer
encore
Celui des
serins
Sans lendemain
Sans mots
sans rien
Pour toujours
Du sang du
bain
Tuant le
prochain
D’un cœur sans
frein
Sans refrain
oserez vous
Le pain le
mot malin
Assassin d’un
train
De la mort
vilain
Une proie
une fin
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