Bonsoir! Bonjour!
Je viens de me réveiller j’en profite pour vous écrire quelques mots, j’attends
un peu on annonce de la neige pour cette nuit… Mon malaise dorsal va disparaitre,
il neige… Je me suis recouché, j’ai dormis et maintenant je vous écris.
Vendredi, la semaine se termine je cherche toujours mon senti… Hier soir vers
cinq heure trente j’étais à l’institut, j’ai essayé de voir la directrice de la
fondation, c’étais pas possible. J’ai discuté avec une adjointe je voulais
juste dire merci pour le billet de la pièce de théâtre chez Jean Duceppe. Elle
m’a dis qu’elle ferais le message. J’ai eu une discussion intéressante avec l’adjointe
qui m’a elle aussi confirmé que je ferais un beau voyage. J’ai hâte, si vous
saviez comme j’ai hâte de partir, je veux pas être méchant je crois que j’en ai
terminé avec le conseil d’administration des usagers. Il est trois heure cinq
les bars viennent de fermer, souvenir de ce copain qui me disait de faire
attention quand je sortais la nuit je comprends maintenant pourquoi… Cette nuit
je peux dire que j’ai le senti à plat. Hier on m’a rappelé que dans la dernière
création avec le Théâtre du Nouveau Monde je jouais une espèce de transgenre,
quelqu’un de très féminin pourtant je suis pas homosexuel, toujours étonné de
voir comment les gens confondent la réalité et la fiction. En ce moment je
pense à la prochaine production… Je suis vraiment réveillé c’est plus facile d’écrire…
Je racontais mon inspiration comment tout venait de moi. Le monde que je connais
le mieux c’est celui de mon senti… En ce moment je pense à mes sensations
aéroportuaires comment j’aime ça, écrire aussi ces moments avant le départ
perdus dans la foule… J’aimerais ça renouvelé mon écriture va falloir que j’attende.
C’est le défi écrire son senti à tous les jours en essayant de créer du
nouveau. Dehors c’est tout blanc c’est l’hiver, on est passé si vite de la
chaleur à la froidure maintenant c’est la neige… Vivement avril et le départ!
Va falloir vivre l’automne et l’hiver avant… Je pense à tous mes amis je sais
que je ne suis pas seul… Au comité des usagers de l’institut on a affiché l’article
de journal où j’apparais… La nuit quand y’a des gens arrêté dehors j’ai peur et
j’angoisse. J’ai jamais été très très brave. Je crois que ma lectrice a raison
ce ne sont que des petits bobos qui viennent avec l’âge. Je viens de lire son
commentaire que j’avais pas vus. Quelques mots encore avant d’arriver à la
chute, il y a assez de neige pour que les charrues passent, dehors devant l’édifice
y’a un pick-up avec une souffleuse dans sa boîte, ça m’inquiète, je crois qu’ils
attendent quelqu’un pour aller travailler avant que les bureaux ouvrent, le
pick-up est partis… Bon! Voici donc l’hiver, je vais vous écrire la chute pas
très différente. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
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