Bonjour!
Bonsoir! Cet après-midi j’ai des larmes dans les yeux comme si on pouvait les
avoir ailleurs peut-être des larmes de sang au cœur pour faire poète de
malheur. C’est ma prose qui saigne parce que mal aimée en désir de vérité… Ce
senti que je tente de dire, parce que souvent la mort me parle me rattrape moi
l’angoissé prisonnier de la peur. J’aimerais tant, j’aimerais tant avoir les
mots du vrai poète, du vrai poète heureux vivant. Comment y arrivé à ce bonheur
promis, à ce poème trahis trop près du verbe loin du non-dit. Pourtant je prie,
je dis merci une supplique espoir de paradis… et les genoux je plie dans le
langage de la nuit je répète toujours mon espoir de poésie du bonheur le bris
des heures l’ennuis, je vous écris, je vous écris avant le cri du temps maudit.
Ce sont de mauvais mots frais, écris d’un trait, imparfait… Avant je voulais,
maintenant je ne sais que cette prose que cette pique que ces phrases que je
nique. Mais oui c’est sadique une sorte de phrase ludique et des mots
impudiques. À vouloir tout dire on écris souvent le pire vendrais sa chair pour
un empire… Je veux je vais au vent mauvais, le poète écrivais moi je parlais il
écoutais… Je ramène à coups d’amen, ainsi soit-il toujours sur le fil et la
peur pile. Faux prêtre j’invente des prières au plus fort que soi dans la soie,
dans la foi sans savoir pourquoi. Y’a longtemps déjà j’étais là sans en faire
de cas. Je trouve pas le rythme. Tout ça c’est un essais tentative d’écrire ce
qui plait. Sans bon sens, sans maudit bon sens que l’automatisme comme un
traumatisme dans une sorte de mimétisme, c’est à n’y rien comprendre juste à
attendre de se faire prendre dans l’errance des mots l’espérance. Pourtant au
fil de la phrase y’a comme des métastases de l’adéène sans extase, juste le mal
de la base. Puisqu’il faut y voir avant le grand soir dans une sorte d’espoir
une saveur de poire, que je tiens devant le miroir. Le terroir, le terroir non
le tiroir de son linge de soir de ses habits qu’il faut voir. Je ferme l’armoire
des mots sans pouvoir pour revenir au désespoir, vous me direz c’est le
garde-robe mais je cherche l’opprobre… J’aurai écris malgré tout, malgré qui…
Eux ils savent moi j’ai pas appris, en mode survie. Je pense que c’est correct
ce que j’écris, vous y arrivez moi je relis. Y’a pas de thèse ni de parenthèse
si je m’écoutais j’écrirais je baise, je baise les fraises. Voilà! Je disparait
dans quelques mots, dans quelques mots idiots, vous l’avez tant je suis sans
marmots. Ce seras ça ma poésie pour aujourd’hui, j’espère que ça vous a plus,
lentement je termine en essayant d’écrire une chute joués à la flute, un gars
qui s’en va voir les putes. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire