Bonjour!
Bonsoir! Ce matin je suis allé prendre un café au marché Atwater avec une
charmante amie. Je l’attendais pas au bon café on a finis par se retrouver on a
flâné un peu le long de la piste cyclable. Je suis arrivé trop tôt au
rendez-vous et je suis peut-être partis trop tôt. J’ai eu chaud, on a discuté c’était
bien. Je trouve ça quand même difficile d’être dans la foule, y’avait beaucoup
de monde. Je vous raconte pas tout ce que je vie, je me censure… La
climatisation fonctionne bien. Je me suis rappelé les années où je vivais dans
la Petite-Bourgogne. Y’a des dames anglophones qui m’ont demandé de prendre
leurs photos. Je l’ai fait j’espère qu’elle était bonne. Ça m’a rappelé ces
années où je partais de chez moi et je marchais le long de la rue Notre-Dame jusque
dans le vieux Montréal pour ensuite suivre le canal Lachine, j’y allais tôt le
matin y’avait moins de monde. J’ai un peu parlé voyage avec l’amie, c’est au
Brésil qu’on parle portugais en Argentine on parle espagnol. Je sais pas si ce
serais une bonne idée de partir pour Buenos Aires, je vais réfléchir m’informer.
Je regrette un peu de pas avoir appris d’autre langue. Je reviens à mon senti,
y’a des femmes qui n’aiment pas qu’on les regardes, faudrait marcher la tête
entre les jambes… En regardant le trottoir, celle-là elles sont souvent
accompagnées d’un compagnon jaloux , lentement le mois d’août passe et moi je
vieillis. Je pense à l’anniversaire de la super-maman et de ses deux marmots.
Si je me souviens bien le tango c’est Argentin, en anglais ils disent « it
takes two to tango » y’a aussi cet instrument le bandonéon différent de l’accordéon.
On se rappelle d’Astor Piazzolla un grand bandonéoniste qui nous a fait vivre l’émotion
musicale argentine. C’est toujours sinueux ce que je vous écris, je saute d’un
propos à l’autre… Cette semaine c’est tranquille, j’ai juste un pic-nic
vendredi j’espère qu’il feras beau. Le soleil plombe, dehors on cherche l’ombre,
y’a des cyclistes et des joggers le long de la piste, d’autre se contentent de
marcher. Parfois quand je reviens chez-moi après être sortis c’est comme si j’avais
pas le droit de vivre, je sais ce sont les propos d’un pauvre malade… Les gens
passent et sont à leurs affaires… L’amie avait une belle plume qu’elle a perdue
à la suite de son accident cérébral vasculaire. Je pense jamais à ça que je
pourrais tout perdre le petit peu de talent que j’ai. Y’a des gens très courageux…
Me suis servis une boisson à l’orange italienne. J’essaye de terminer avec un
certain bon sens, si l’amie me lis je la remercie de m’avoir tenue compagnie ce
midi. Encore quelque mots, c’était un beau dimanche d’été à Montréal.
Cosmopolite à souhait chacun y a pris ce qu’il voulait. Je termine là-dessus en
vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! C’est pas terminé j’espère que vous
serez là à la prochaine!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire