Bonsoir!
Bonjour! Je vous écris de la nuit qui débute. Hier j’ai fait une tempête d’idée,
un brainstorming si vous préférez pour trouver des mots avec une forte occurrence
sur la toile qui nous amènerais sur le nouveau site du Centre intégré universitaire
de santé et de services sociaux de l’est de l’île de Montréal, des mots avec
lesquels on aurait rapidement une réponse à notre questionnement santé mentale.
J’ai bien aimé la réunion il vas y en avoir d’autre… J’ai pas encore eu le
dédommagement du cabaret littéraire et théâtral ça devrais se faire la semaine
prochaine bon! J’y vais avec mon senti mon respir saccadé mes mots de mal
aimée, je ne sais ce que vous direz, j’ai dû me lever ne pas rester couché et
cesser de m’emmerdez à trouver une bonne idée, et c’est pas terminé me souviens
de la sœur qui me disais que les rimes en é, er, ez était les plus faciles
quand même j’essais de faire du sens avec tout ça… le climatiseur est arrêté,
il fait quand même frais chez moi sous mon toit, je l’ai redémarré… Je veux y
mettre de la force dans cette écriture, hier j’ai fait part de mon intérêt à
relancer les Humeurs culturelles, http://www.iusmm.ca/humeursculturelles.html ils vont en parler, je trouverais ça
malheureux de perdre tout ça!!! Je pense que ça irais dans le sens d’un nouveau
site pour l’institut. Hier je me suis couché à dix-neuf heure et j’ai dormis jusqu’à
vingt-deux heures trente , j’ai beau vouloir j’ai pas l’inspiration et de ce
soir je ne suis qu’un pion même si j’ai l’espoir la sensation le jeu miroir la
description ce faire valoir cette illumination du désespoir sans autre nom qu’une
bonne poire qui cherche le renom le pouvoir et la réalisation. Mais non! Mais
non! Je ne terminerai pas en prison ce soir en pensant aux illusions. Je
cherche encore le ton, le savoir et le nom de cette scansion, une autre
histoire du parangon de la mémoire son ascension toujours le soir à la maison,
attention! Attention! Ça sent la déraison la passion noire, l’application, tu
veux savoir ça tourne pas rond, sacrilège ciboire dans mon énumération et je ne vais
plus vers cette pension, ce mouroir sans nom sans faire valoir sans
intervention… Pourtant prions, prions et même parlons, parlons de l’allumoir de
cette saison, de cette chaleur de la suffocation, j’espère que la foire vous
plait, pardons! Je triche dans ma respiration un entonnoir de mots mâchoire de
perdition. J’arrive au soir de ces inscriptions sur l’écran noir de vos
saisons, enfin suivons, suivons l’encensoir peinons… Tout ça c’est du ron-ron
rien d’une histoire juste de la passion et un grimoire, bye! Bye! La
compréhension. Aimons! Aimons sans faux espoir, sans partition, chantons,
chantons à l’oreille sans partition sans chorale de renom. Tout ça c’est du
plomb une balançoire sans prénom. Voilà! Je termine comme à l’habitude en vous
remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
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