Bonjour!
Bonsoir! J’ai vérifié sur mon compte le dépôt à été fait. Encore une autre
exception, le club de Hockey de Montréal, Le Canadien a vaincu les Sénateurs d’Ottawa
huit à trois! Pas de commentaire. Je me prépare un café, j’essais d’y aller
avec mon senti, l’eau bouille c’est la nuit, vous aimez quand ça veut
intensément dire quelque chose… Je pense au danger d’avoir des commotions dans
le sport, ce matin je suis en sécurité je vais faire les courses. Je pense à
cette chute dans l’alcool et la drogue, vingt-cinq ans que j’aurais pu passez à
bâtir quelque chose, en anglais on dit addict. J’étais accroché , des moments comme aujourd’hui étais souvent
des échecs. J’ai le bonheur d’avoir un peu de foi et de croire au programme des
A.A. quelques années déjà que je suis sobre, je suis content ma vie est bien
remplie. Je sais pas trop comment ça se passe dans les bars qui ont un distributeur
de monnaie, la folie s’arrête pas là. Je vais changer de sujet je l’ai couvert
de long en large comme si je n’avais fait que ça dans toute ma vie. Je disais
déjà dans mes années de bringues qu’il valait mieux pensés à se changer soi
avant de vouloir changer le monde. Je ne bois plus c’est déjà un gros
changement, les gens qui m’entouraient ont tous quelque chose sur la conscience,
quoi? J’ai oublié c’est pas important c’est moi qui dois m’amender. Je dis
merci à l’amie qui a placé une toune de Tom Waits sur Facebook. Je suis
toujours étonné de voir la quantité de gens qui s’identifient à ces chansons.
Je suis heureux cette nuit, dehors c’est calme, j’ai enlevé le climatiseur.
Comme souvent c’est un texte faible… Ai terminé la lecture du livre de Dan
Bigras, je croyais pas qu’il s’en passait tant que ça chez les gens éduqués
dans les chaumières d’Outremont, c’est pas un jugement c’est juste un constat
qu’il y a personne, fortunés où pas, à l’abri de la maladie. Aujourd’hui c’est
l’halloween, je conseille au parent d’accompagner les enfants et avec eux de
faire le tri dans les bonbons qu’ils vont recevoir. Me souviens des bonbons à
la cenne de chez Fournel en revenant de l’école. Cette nuit je suis content de
vous écrire, j’espère que vous le serez autant de me lire… Le last-call
approche, tout le monde est triste, on a rien fait rien dis juste bus comme ça
pour rien sans raison, on est saoul et on sait pas pourquoi pourtant on ne
reconnais plus l’ivresse… On a espéré retrouver l’émotion de la première gorgée
de bière, c’est inutile on la retrouveras jamais. On a que le souvenir de cette
première ivresse… Je vous ai encore écris sur cette maudite boisson, comment
elle en détruit certain. Je sais pas ce qui m’a marqué le plus l’alcool où le
chemin qui m’a mené à cet alcoolisme. Je termine en vous remerciant d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard
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