Bonsoir!
Bonjour! J’en ai sauté une couple hier, les derniers semblaient pas vous
intéresser. J’admets que parfois j’ai un ton un peu braillard… C’est le senti
qui fait des siennes. Ce matin j’ai une réunion, quand bien même je pleurerais
un peu c’est pas très grave… Hier à la télé ils parlaient de Bladerunner, le
réalisateur en est un très bon. Je vais attendre un peu et aller voir le film…
Hier soir quand je me suis couché j’ai entendu un gars dehors qui a crié « tas
de marde! » Je l’ai pris pour moi, ça vous montre le peu d’estime que j’ai
de moi. Pourtant j’essais de faire des actions qui vont la remonter cette
estime, je me relis et je vois pas où je fais mal… Je vous écrirai pas sur mes thèmes de
prédilections… J’espère n’avoir blessé personne avec mes blogs précédents,
dehors y’a un grand vent… Je crois qu’on écris pas grand-chose en ménageant la
chèvre et le choux. Il est presque une heure… À l’époque on me surnommait « le
paquet »… Je remercie le lecteur qui s’est servis d’une de mes photos pour
ouvrir sa page. Y’a ces gars fatigué qui sortent et conduisent c’est dangereux.
La nuit c’est toujours difficile de parler d’autre chose que de l’alcool, moi
votre ami le tas de marde, vous conseille de pas conduire… Je m’auto-stigmatise
facilement… Pour les lecteurs de longue date vous l’avez certainement remarqué…
J’aimerais beaucoup avoir les mots du poètes, cette semaine à la salle Fred
Barry on met en scène la poétesse Josée Yvon avec la femme la plus dangereuse
du Québec, voilà autre chose que j’aimerais aller voir. Le couple regretté
Vanier-Yvon sont comme deux amis qui m’ont quitté, on à beau dire ce qu’on veut
c’était de grands poètes qui nous découpaient l’âme à coups de scalpel
lexicaux, de poignards analogique. Me souviens de cette soirée de poésie au
théâtre Lachapelle c’est étonnant combien y’avait de monde, de poètes. Le théâtre à toujours eu ce lien intime avec
la poésie parce que parfois il faut dire… Si vous êtes de ceux que la poésie
ménage vous ne la méritez pas, la poésie faut que ça frappe comme un batte et
parfois même vous bouscule les entrailles. C’est bien faible ces mots-là près
de ceux des maîtres, je voudrais faire pareil j’y arrive pas, je suis juste un
chien plagiaire et boiteux, la chienne me pogne quand je pense à m’éviscérer,
les tripes à l’air pour crier à la douleur des intestins… La voix me dis fait
pas ton cave, t’est même pas sale, tu bave, tu bave… C’est pas Cendrillon c’est
juste un conte pour éviter la prison où la scandaleuse hôpital, voilà pour
guérir la mutilation des parties, des organes génitaux encore faut-il savoir ce
que c’est … Voilà le grand chien ignorant que je suis essais d’ouvrir une porte
poétique, il ne peut défoncer… Je termine en vous remerciant d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
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