Bonjour!
Bonsoir! Ils sont venus identifier les édifices du goulag, de publicités pour
élever écologiquement les poulets, une toute jeune fille à la philosophie
naturaliste. Je comprends qu’on ait plus
besoin de pétrole mais qu’est-ce qu’on va utiliser à la place… Je pense à cette
guerre psychologique qui se prépare, en fait elle se prépare pas on est en plein
dedans… Je suis somnambule , j’ai versé du café instantané dans une assiette
sans m’en apercevoir. Lentement j’en bois un, j’ai démarré le climatiseur,
cette nuit je suis dans mon senti… J’ai jamais eu besoin de cacher des
bouteilles d’alcool mon alcoolisme je le vivais devant tout le monde. Parfois j’étais
arrêté un moment et sans le vouloir vraiment je prenais ma première bière qui
démolissait tout. Je pense à la formation cohabitation à laquelle je participe
mardi. http://legoulag.blogspot.ca/2017/09/schizophrenique-barcelone-et-madrid-9.html?spref=fb Encore pour ceux qui préfèrent l’intensité…
Je pense à ma bêtise d’avoir cru tout ça ce monde de sexe de drogue et de rock’n’roll,
c’était les années quatre-vingt, j’étais malade, c’était virulent, des années à
écouter la même musique dans le même bar, ça s’appelle perdre son temps. Le
temps passait je devenais de plus en plus irrécupérable… Me souviens de ma
fixation sur les caméras vidéo… J’ai dérangé une agente de main d’œuvre longtemps
avec ça. Nuit de samedi à Dimanche, pense à ce bar discret sur Fairmount près
de Saint-Laurent, le genre d’endroit où j’étais dérangeant parce que c’était
trop cozy… Je suis devenu ça un gars qui écris sans trop savoir quoi ni
pourquoi. C’est assez terrible de voir combien on traîne de choses de notre
adolescence, on pense toujours à revenir au plaisir d’avant mais c’est
impossible et à un moment on réalise que c’est mieux abstinents. C’est encore
mon sujet de prédilection, je pense au stigmate comment on croit que je suis
différent… Les faits c’est que je veux l’être différent, pas pareil mais pas
méchant, le stigmate c’est surtout quand je le dis que je suis schizophrène
paranoïde, on me donne des attitudes des intentions de malade. Comment dire que
je fait pas de procès d’intention, je suis ce que je suis et on a le droit de
pensés ce qu’on veut de moi. Tout à coup ça sent le parfum… Je crois que mes
lecteurs de l’Outaouais partent ce soir, si ils se sentent la moitié de ce que je
sens quand je pars ils vont faire bon voyage… Parfum de gomme à mâcher, je vais
vous illustrer ça avec la Puerta de Toledo à Madrid. Le début de ce texte à été
écris inconscient à la sortie d’un rêve, je dormais debout. Ça fait peur… J’ai
sortis un échantillon de parfum ça sent bon. Aujourd’hui je sors pas je veux
pas dépenser. Lentement je vais arriver à terminer ce texte. Tout ça c’est
pétrie d’angoisse…Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’en
rajoute comme on met du crémage sur le gâteau, du glaçage… À la prochaine j’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard
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