Bonsoir!
Bonjour! J’ai reçu le commentaire d’un lecteur qui veux comprendre mon univers,
c’est simple mon univers c’est ce que tu lis ici, mon senti et souvent la
schizophrénie paranoïde… Aujourd’hui c’était froid et ensoleillé. Je suis resté
étendu tout l’après-midi, je m’en veux un peu ça me donne du retard pour vous
écrire pourtant j’ai rien de plus important à faire. Je pense aux impôts
bientôt, je devrais pas vous en parler mais c’est ça cet après-midi y’a quand
même rien qui presse, les chiffres c’est jamais très poétique. Je veux être
content quand je vais avoir terminé de rédiger. Je pense à l’agent de planification
programmation et recherche à comment il nous fait travailler et nous implique
dans la société c’est bien pour moi la pleine citoyenneté passe par lui,même si
parfois c’est pas facile. Je me rétablis et ça permet de collaborer à Reprendre
Pouvoir le groupe d’entraide, au Cabaret Poétique à la rédaction et au jeu
ainsi qu’à la bibliothèque vivante. Je vous parle pas du mois de mai où je vais
parler des patients partenaires de l’enjeux et des facteurs de réussite avec le
directeur adjoint, une conférence, comme vous voyez je suis occupé c’est ce qui
contribue en partie à mon rétablissement. Je rédige aussi le compte rendu des
réunions de Reprendre Pouvoir et maintenant je suis membre du C.A. du comité
des usagers de L’IUSMM et membre du C.A. d’Antenne Communication ça fait pas
mal de choses juste à lire comme ça je suis déjà fatigué. J’ai l’impression d’avoir
été pris dans une immense toile d’araignée dont je ne pourrai me libérer… Je
suis étourdis c’est ça mon senti pour tout de suite ma plume est pas tellement
belle… J’ai qu’à prendre mon temps. Je fais chauffer une quiche provençale, je
suis le roi des ringards. Ce que je vous écris c’est pas long à lire mais ça
prend du temps à rédiger. On me dis de pas arrêter tant que les mots vont être
là, c’est ce que j’essais de faire, de dire, me dire, dans l’univers d’exilé du
goulag occidental. Je suis déjà nerveux pour la conférence du mois de mai. Je
crois que nous allons nous rencontrer un peu avant pour nous préparer, y’a ces
longs couloirs de l’institut qui sont toujours là mais on en sort parfois j’ai
le sentiment de trainé l’asile sur mon dos qu’elle est en remorque. Ai mangé ma
quiche provençale et ouvert la télé. Je pense que certains lecteurs préfèrent
me lire que de regarder la télé, je m’en plaindrai pas. Lentement le soleil se
couche, le ciel est bleu. Je me souviens toujours des samedi plus tranquille, j’irai
pas ce soir à l’urgence attendre qu’on soigne ma psychose. Je pense à la
voiture de collection de mon lecteur de Deux-Montagnes il a surement hâte de la
sortir. Je sais pas quel genre de traffic fait ma voisine mais ça arrête pas de
circuler sur la passerelle. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
Bernard
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