Bonjour!
Bonsoir! Cet après-midi je cherchais le sculpteur d’une œuvre sur la Place
Paul-Émile Borduas dans le quartier latin. J’ai trouvé la photo mais jamais
aucune mention de l’artiste. Pour illustrer je me suis donc rabattus sur un
silo du Vieux-Montréal, le seul qui reste je crois. Je sais c’est toujours
préférable de parler de l’architecte mais faites vos recherches. C’est confus
mon affaire aujourd’hui, disons que je suis pas de l’époque du Refus Global,
mon manifeste à moi disait que les élus c’était tous des trous-du-cul rien pour
faire peur mais un manque de décorum pour les autorités. Le printemps est
arrivé rien ne change, c’est toujours l’austérité… Je voulais vous parler des
fonctionnaires comment ont en leur demandais, mais je connais pas ça je suis
prestataire pas fonctionnaire. Je veux toujours vous parler de mon sentis mais
parfois ça semble impossible, je dors le jour, je dors la nuit je suis tout
mêlé, vais-je y arriver? Je dois absolument rester connecter avec mes émotions
sinon je deviens psychopathe. Je pense au In cold blood de Truman Capote, c’est
de la folie ce que j’écris là… J’écoute mon âme et essaye d’écrire de la
romance, de la romance du goulag occidental où on mange des patates bouillies à
la mode poor british, irish,… Bon! Devrais-je m’acheter un shack à
Saint-David-de-Falardeau? J’aime trop le goulag occidental je veux rester près
de l’aéroport. C’est pas le mal de l’âme que j’ai c’est le mal des poumons, des
glaires! C’est dégueulasses… L’ami viens de me téléphoner on a pas de réunion
du groupe d’entraide demain, je pense que ça nous affaiblis comme groupe ces
activités extérieures. J’avais ouvert la télévision, je l’ai fermé on peux pas
vraiment dire que je suis déconnecté, la machine gobe ce que je lui donne, je
pense que c’est très enfantin ce que j’écris là. Je suis toujours a essayer de
voir ce qu’un auteur adulte sérieux écrirais. Je veux mettre d’autre mots qu’amour
dans ce que j’écris, je veux que ce soit plus effectif affectif. Je m’arrête,
réfléchis pense à ce silo à comment parfois ça deviens une façon de travailler,
mais c’est pas pour les ouvriers la force des choses font qu’ils travaillent
avec différentes équipes, peut être que je me trompe? À l’usine j’étais très
seul dans ma production. Je me souviens plus de ce que ça veux dire « se
faire rouler dans la farine », c’est mentir, embellir les choses, on
étoufferas pas dans le silo. Je sais pas comment je suis arrivé à ça, on peux
me reprocher bien des choses mais je suis pas menteur. Je pense à vous qui
rentrez au boulot demain moi j’ai une répétition en fait je répète toute la
semaine. Je vous souhaite une excellente semaine. J’essais comme souvent de
terminer ce texte d’une manière élégante. Je salue tout mes lecteurs en les
remerciant d’avoir lu jusque là!!! Encore quelques mots pour vous dire que j’apprécie
votre lecture. À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!
Bernard
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