Bonsoir!
Bonjour! Lu un texte sur le suicide, on le considère comme la vrai la seule
question fondamentale. Je pense à cette chanson de Brassens « Mourir pour
des idées, oui, mais de mort lente ». Plutôt que le suicide on devrais
offrir une sortie de ce monde de souffrance, là où ça deviens difficile c’est
dans le monde carcéral, devrait on libérer les gens qui font des tentatives
dans les murs? Je peux pas m’empêcher de pensés aux itinérants, sans toits sans
travail la vie les faits chers payés leurs erreurs. Je crois que je vais
revenir à mon sentis, j’ai pas de réponse aux problèmes que j’évoque
précédemment, ça me fait quand même mal de pensés à ça, la prison où la mort,
moi je suis simplement fou, c’est vivable mais parfois je souffre à vouloir en
finir mais je me raccroche toujours. La ville, la société c’est ça, des destins
qui se croisent parfois pour le mieux, d’autre fois pour le pire. Cette nuit j’ai
mal pourtant je m’en tire avec la gratitude, merci d’avoir un lit un toit et à
manger pour le reste à part les livres je crois pas que le matériel soulage les
douleurs de l’âme. Je crois que le mot raccroché que j’utilise précédemment est
équivoque, je sais pas trop quoi écrire peut être que je tiens bon. C’est quand
je veux faire le philosophe que je suis au pire. Je m’en veux un peu, ma vie d’avant
est toujours très présente, la semaine prochaine on travaille la création collective,
j’ai hate. Je pense au père qui parlait d’une façon incompréhensible dans une
réunion politique télévisé, c’est là qu’il a raté sa chance d’être sénateur, il
voyait ça comme la poule aux œufs d’or parlés en à Duffy. Ici la nuit les
voisins sont tranquille, y’a personne qui fait comme moi dans le temps à la
maison de chambre. J’écoutais de la musique la fenêtre ouverte. Je me pensais
le DJ de Montréal. Tout à coup y’a un parfum de soupe, poulet et nouilles y’a
rien de meilleur… Je suis comme à boutte, je m’écoute ça se passe dans ma tête
c’est loin d’être le silence je compose sans décomposé. Ai sortis les biscuits
salés, cette nuit c’est très Montréal, très goulag occidental. Je vous écris ça
pendant que dehors il pleut, ça se passe au plexus mon affaire heureusement je
suis pas boxeur. Dans ma tête je me dénigre je vous l’écris pas c’est toujours
la même histoire. Je suis pas le plus grand des hommes mais quand même à chaque
victoire que j’ai sur moi je grandis intérieurement. Peut-être qu’à force de l’écrire
je vais le croire, s’estimer voilà une chose importante sans oublier l’humilité.
Je crois que cette nuit et ce texte vont bien se terminer. Je suis heureux d’écrire
avec la machine c’est pas très organique mais pour lire vous pouvez toujours
imprimé. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!À
bientôt!!!
Bernard
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