Bonsoir!
Bonjour! Encore cette nuit j’ajoute ma voix de schizophrène en espérant qu’elle
soit poétique. Je veux un peu trop je crois, j’y arriverai pas de cette manière-là
mais j’essaye quand même… Y’a de grands souliers a chaussé dans la poésie québécoise,
les poètes me sont toujours apparus comme des surhommes de Nietzche, des
surhumains si j’ai bien compris autant dans la peine que dans la joie. J’ai un peu
peur de jouer dans ce champ-là, peur du nazisme qu’il peut évoquer. J’ai lu
Nietzche mais je ne me souviens que de ce concept. Je devrais me taire mais la
nuit me rend volubile… Sous le régime nazi on m’aurais éliminé c’est ce qu’on
faisait des invalides. Ce que j’écris c’est ma contribution à la société, bien
maigre mais présent et vivant…
Philosophe où poète? Je sais pas,
j’ai pas réussis à développer une pensée qui a du sens, après ces longues nuits
accompagnées d’éther tout ce que je peut dire est volatile… Je sais pas si je
peux parler de concrétude, de pieds sur terre dans l’authenticité et la vérité.
J’appelle, j’appelle
À la
poésie à cette narration
Du senti
Mais non, il
avait tort
Y’a encore
des causes
À la
grandeur de l’homme…
Ça me vas
pas trop bien, mais j’aurai un peu tenté, ce matin je vais poster le recueil au
petit gars. Je vais aussi m’acheter des cahiers pour rédiger cette pièce sur laquelle on va travailler… Je sais
pas si je vais être capable de travailler comme ça… J’ai demandé à Dieu qu’il
me donne une réponse pour le départ à Lille, je l’ai Prié, vous trouvez ça
rigolo? Mais c’est ma dernière instance quand l’angoisse est trop forte… Je
plonge en moi
Et j’adore
Les pas les
marques
Sur le
sentier sentimental
L’amour
fauché
Réchauffé
Ce voyage, j’espère que la neige auras fondu.
Je m’en vais chez les chtis. C’est la nuit étrangement je me sent comme un
dimanche, je vois les poètes dans le désespoir, écrivant accompagné d’une
caisse de bière, s’enfonçant dans la douleur éthylique en retirant des joyaux
poétique. Vous vous demandez surement à quoi je veux en venir? Je tiens mon
bout, juste dire que c’est possible, que tout est encore possible c’est pas la
fin des temps on marche pas la tête haute en sifflant. J’aimerais bien que le
désespoir m’abandonne.
Thématique
solitude
Près du mot
Avec l’envie
D’en écrire
gros
Impérial impériaux
Comme un salaud
Cette nuit j’ai
essayé une autre forme, je voulais juste aller chercher des émotions
différentes je sais pas si j’y suis arrivé. Lentement j’approche de la chute,
je tombe ai perdus l’équilibre narratif, ça n’a pas de bon sens, si sens il y à…
Je termine en pensant à ce départ, j’espère que je vais le faire. Je vais me
préparer pour la communication. Je veux
rien briser, juste adorer. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Il
est minuit le temps que je finisse. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Ciao!!!
Bernard
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