Bonsoir!
Bonjour! C’est la nuit, lentement je vous écris en me réveillant. Ce matin je
vous présente Madeleine de Verchères un bronze de 1913 de Louis-Philippe Hébert
érigée dans le parc des Pionniers à Verchères au Québec une statue de 7,2
mètres de haut qui commémore la défense du fort de Verchères contre des
Iroquois, le monument a été désigné lieu historique national en 1923. De nos
jours je crois pas que ce soit politiquement correct de dire s’être défendu
contre les Iroquois. Je reviens à mon sentis, j’ai dormis un peu. J’ai de la
difficulté a me réveiller ce matin, j’entends les camions qui passent, pense
aux fuites de Gaz Métropolitain. Je me fouille l’intérieur un doigt dans le nez,
ai pris une douche et me suis parfumé, j’entends les voisins ronfler. J’aime ça
quand je sens bon, c’est de la coquetterie avant dans mes psychoses j’avais le
sentiment de puer, je pouvais prendre quatre ou cinq douches par jour… La nuit
avance c’est calme dans l’édifice pour dormir je dois manger, je suis peut-être
un outre-mangeur mais je crois pas, ce matin j’ai pas encore mangé. Je dois
rester prêt de moi nommer ce qui m’habite, c’est difficile, cent fois sur le
métier tu remettras ton ouvrage. Je « tisse » les mots c’est pas
toujours beau, je regarde l’écran et je cherche ce que je peux exprimer, bon j’y
vais-je plonge, je vous envois ça sans trop y penser, y’avait ce gars qui ne
pensait qu’au sexe sans voir le mal qu’il faisait. Ces pauvres femmes abusées
pourtant on avait affaire à deux adultes
moi la sexualité je suis plus capable, je me sent plus serein de pas en avoir…
Y’a une douce odeur ça ressemble à la marijuana mais c’est pas ça c’est le
mélange de mon parfum et de mon odeur corporelle. Vous me demandez d’écrire je
le fait j’espère que vous lisez. Je crois qu’il y en a qui trouvent ça bon. C’est
officiellement le printemps Bon ce matin je tomberai pas dans les mal, je
trépignerai pas, j’aurai pas de convulsions, juste un petit matin tranquille
chez moi. C’est presque le silence dans ma tête le long soliloque semble s’être
arrêté ça me force à pensés à ce que je vous écris, je pense aux chroniques
littéraire de LaPresse+ ce matin, je vais les lire. C’est toujours la nuit, je
me demande qui rode à cette heure. Je me rappelle on entrait dans un café avant
que ça ferme et on se faisait servir de l’alcool passé les heures. C’était un
monde d’homme on y croisait rarement des femmes, elles étaient moins folles…
Encore quelques mots, c’est toujours la nuit, je crois que je bâtis, je sais
pas si les fondations de mon écriture sont bonnes. Je compte sur vous pour me
le dire, je suis pas dans la swompe, je pense à l’homme d’affaire de Ville d’Anjou
propriétaire d’un bistro, je le reconnaitrais pas. Je termine là-dessus en vous
remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard
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