Bonjour!
Bonsoir! C’est grand soleil réjouissant, week-end pour plusieurs, bien mérité,
sur la rue y’a des anarchistes qui passent armés de leurs téléphones
cellulaire. La technologie au service de Proudhon… Je trouve pas cet après-midi,
à part que les portes claquent. Le ventre me gargouille pourtant j’ai pas faim,
ai essayé de dormir un peu ai pas réussis. J’attends une carte cadeau dans le
courrier elle est pas là, la neige fond. Je cherche une façon de vous écrire
surtout au lecteurs, lectrices discrets. Le téléphone sonne pas, mes appels
sont pas important. Le ciel bleu me rappelle La Guadeloupe et Cuba, j’ai
toujours le désir de partir. En Guadeloupe c’est les semaines de santé mentale,
on croirais pas que dans les pays chaud y’a aussi ces problèmes. À l’hôpital
psychiatrique de Basse-Terre y’a des pavillons avec des cours intérieures, on
peut sortir et s’asseoir au soleil. Une psychose dans les îles de quoi ça a l’air,
psychotique sur la plage entouré de touristes, de quoi enragés. La voisine viens de passé avec son chum sur la
passerelle il m’a traité d’estie de beigne… Je me dénigre moi-même suffisamment,
j’ai pas besoin des autres pour le faire. Ça me fait mal d’entendre ça, ce
jugement mais qui c’est lui, un pauvre type. Cette façon de se revaloriser en
dénigrant les autres je déteste ça. Ça me fait mal à l’âme, une douleur
intérieure mais pas dans la tête… Non! Non! Non! J’irai pas le voir j’ai pas envie
de faire du trouble, et de l’autre bord y’a une généreuse voisine asiatique qui
donne du pain, j’en ai mangé il est frais mais j’ai peur de gonflé, il est
encore chaud. Je crois que chez les chinois ils fêtent quelque chose, je sais
pas quoi… On claque les portes c’est fatigant, le pain m’a calmé, les voitures
comme toujours passent et klaxonnent, j’ai une pensée pour les snowbirds avec
leur Courailleuse en Floride… Quand je suis sorti tout à l’heure j’ai pas aimé
l’odeur dans le corridor. Y’a un camion Fedex stationné devant l’édifice je
crois pas que c’est pour moi, j’ai rien commandé il viens de partir. Je me
calme, je me calme, dans le meilleur des mondes je voudrais éviter tout les
irritants, tout ce qui me dérange et Dieu sait que je suis facile a déranger.
Il fait tellement beau les gens rentrent du travail à la marche. Je sortirais bien ce soir mais j’ai personne a
invité, sortir seul c’est plate… Je peux pas toujours être émotif et vous
traduire mon monde d’émotions. J’essaye même pas d’être comique j’y arrive pas
d’autre le font mieux que moi. Je crois que je vous ai déjà écris ça. Lentement
j’arrive à la fin, quelques mots encore pour vous dire la finesse que vous avez
de me lire. Moi j’ai toujours plaisir à vous écrire. Je vous remercie de m’avoir
lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!! Il manque quelques mots
je vous remercie encore une fois!!!
Bernard
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