Bonjour!
Bonsoir! Y fait frette, on gèle! C’est la nuit, je sais pas quelle thématique
aborder. Je dors très mal, me prépare un café la nuit est déjà avancée. Dans ma
tête c’est pas le silence et pas tout à fait des niaiseries… Je cherche une
phrase imparable si vrai qu’elle nous rendras tous muet, du genre que font les
poètes pour nous couper le sifflet. C’est pas l’autre qui devras l’écrire mais
moi, je veux que ce soit tangible ce que
j’écris, authentique aussi… Je cherche comment faire je m’avance mot à mots… Je
ment très mal, j’imagine aussi très mal… J’ai fait la gaffe de dire que j’entendais
des voix, j’en entends une et c’est la mienne bâdré moé pas avec ça. C’est ma
conscience qui parle… J’essais de la provoquer la voix qu’elle déverse son
verbe pour que je fasse quelque chose avec… Je me souviens c’était pas tellement
la voix q u’un ronronnement de
camion devant la maison et j’avais peur je pensais qu’on allait me tuer. Quand
je me suis mis à consulter un psy et qu’il me donnais un rendez-vous à chaque
semaine je me suis dit que tout n’étais pas perdus. Je notais quand même le
numéro des plaques d’immatriculation des voitures. Y’a longtemps de ça j’avais
croisé le psy au salon des métiers d’art, ça semble plus très à la mode la
babiole faite à la main. Parfois quand je visite une exposition, une galerie je
cherche le spirituel quand je le trouve ça se tais dans ma tête un peu comme là
quand je vous écris et que j’essais de faire suivre l’esprit. Souvent on dis qu’une
chose spirituelle est drôle, je crois pas ça, j’essais d’être plus intense que
le rire. Je vous dirais que je veux rire gratis j’ai pas envie de payer un
comédien, mes excuses à l’ami comédien . Voilà où j’en suis ma conscience se
lance la balle de l’hémisphère gauche à l’hémisphère droit… Me souviens d’un
copain qui consultais un psy, il me disait qu’il le connaissait personnellement
c’est impossible, de toute façon je crois que ses visites au psy c’était pour
avoir ce que chez les toxicomanes on appelle des « downers » des
calmants pour les lendemains de veille. À soère, mais à soère on gèle et j’ai
couché sur mes bottes pour ne pas qu’on me les vole, c’était y’a longtemps
maintenant je suis seul chez moi et personne ne peut m’envahir. Si tu crois que
les autres te font boire penses y un peu, la bière tu la tien dans ta main, ton
verre aussi et contrairement à l’idée connue l’alcool ça réchauffe pas… Encore
quelques mots c’est pas si froid que ça on entends pas les clous claquer. Je
termine en vous disant qu’il y en a plus de voix et j’espère quand même que le
tout a été un peu poétique. Comme d’habitude je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
Et encore pour plus tard à la prochaine j’espère!!!
Bernard
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