Bonjour!
Bonsoir! Je recommence, j’ai perdus un document, c’est peut-être pour le mieux,
j’y écrivais que je suis misanthrope, que je voulais plus sortir mais je
voulais m’isoler pourtant j’aime bien prendre l’avion quoi que c’est là qu’on
devrais dormir mais c’est difficile. Y’a ces gens en avant de moi qui avaient
acheté une couverture et l’on laissé sur le plancher de l’avion en arrivant. Je
vous ai déjà parlé aussi de mon sympathique chauffeur de Madrid qui m’a
souhaité bon voyage en partant, c’est un bon moment. Y’a aussi cette jeune
québécoise qui travaillait au Centre d’art de la Reine Sofia et qui parlais un
français impeccable. Je suis fou je me répète, la vérité c’est que j’aime bien
les gens, rien de nouveau sous le soleil. Je croyais me renouveler en partant
pour l’Espagne, vous pouvez me lire sur Schizophrénique à Barcelone et à Madrid
sur ce blog… De un à dix, je sais pas ce que je ferais si je laissais tomber
mon rêve d’être écrivain. Vous semblez pas avoir appréciez le blog précédent…
Je crois que je suis un pisse-copie, voilà où j’en viens quand j’ai pas d’inspiration
je me dénigre. Y’a Umberto Eco qui dis qu’on est des tarés des imbéciles parce
qu’on écris, il veut pas laisser ça à n’importe qui, disons que je relirai pas
le nom de la rose… Je vais aller jusqu’au bout de cette mauvaise écriture
arrêter de me mentir et continuer à lire pour finir. C’est rien d’historique ce
que j’écris cet après-midi, donnez-moi un peu de souplesse, vous aimeriez
savoir mon senti, c’est moins que rien, je suis un gars finis, le senti, je le
racontais à l’ami, c’est difficile on l’écris et l’atteins un peu quand on a
mal, c’est rien de jubilatoire. Je me fouille l’intérieur c’est toujours une
histoire d’âme je crois, une parenté entre le sentiment et le senti, comment
écrire une plénitude qu’on à pas. Vous me direz fait semblant mais ça me tente
pas, je préfère la vérité. Je sais, je sais je suis un pauvre type qui délire
et crois écrire quelque chose d’essentiel pour la littérature « moderne »
vous voyez comme je suis fou, mais au moins j’évite la sale job de passé les
livres au pilon. On se réfugie toujours dans le plus mauvais pour pas avoir l’excuse
du mieux, vous voyez c’est comme ça les phrases alambiquées sous prétexte de
littérature. Je pense encore à Eco, ça nous ferait un bon dictateur pas trop
fort sur la liberté d’expression, lisez mes moutons et tentez pas d’écrire c’est
trop long… Un petit verre de vin, quelques pleurs avec les copains et on rentre
à la maison pour le match de foot, l’écriture on remet ça à plus tard, je l’écrirai
bien un jour le roman du siècle, à ma retraite? Voilà ce que je pense de tout
ça. Je termine ici en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Je reviendrai
pour l’instant je vous souhaite à la prochaine!!!
Bernard
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