Bonjour!
Bonsoir! J’en commence un autre, il fait vraiment un temps superbe. Je crois
bien illustrer avec une photo d’Espagne. J’aurai fait plusieurs milles avec ces
photos http://legoulag.blogspot.ca/2017/08/schizophrenique-barcelone-et-madrid-1.html Voilà encore une fois pour ceux qui manquent
de lecture ça va jusqu’à dix. J’aime à croire que c’est intemporel. Cet après-midi
c’était café dans le parc avec l’ami. Je prends mon temps… Mon petit bonheur c’est
de vous écrire, j’arrive pas à parler en schizophrène. Parfois y’a des gens qui
m’adressent la parole dans un langage incompréhensible, c’est ce que j’appelle
langage schizophrénique, j’ai pas encore la parlure de ce genre là. Je cherche
à faire sonner la langue, le temps m’amène à des propos que je ne veux pas
avoir, je veux pas me perdre dans la licence et la litote… En dire moins! Vous
n’auriez plus rien à lire, je préfère être prosaique… Dehors y’a une voiture
qui klaxonne. J’aime bien l’application blogger, y écrire. Je sais y’en a qui
aiment quand je suis laconique. C’est rare, les mots sont là pourquoi pas s’en
servir. Tout ça c’est des propos d’apprenti poète. Je pense surtout au grand
Pierre Perrault et à « la suite des choses » je continue malgré tout
avec vous et parfois à court de mots… Ce soir je crois que le voisin cuisine
des pommes de terre, une espèce de poésie culinaire avec son parfum. De quelles grandes écoles sortent nos nouveaux
poètes? On les formes pour la chose économique, la langue de bois et fuck la
poésie… Une nation de gérant, voilà ce qu’on veut… C’est bête à manger du foin,
j’allais écrire à manger du chien, mais question rentabilité le gérant serais
content. Je vais pas m’embêter à essayer de terminer avant les actualités. Les
nouvelles c’est toujours le drame, ça me fait parfois mal. Vous cherchez
peut-être de quel senti il s’agit, c’est pas celui de la nuit. Je me réjouis
vous voyez, on peut pas toujours être triste faut célébrer une arrivée dans les
mots. Je sais pas pourquoi je pense à la Harley blanche d’une connaissance, une
moto presque de police. En anglais on dis « poetry » pourtant je suis
pas à court de vocabulaire pour nommer… La vaisselle trempe dans l’évier, c’est
tout simplement le quotidien, y’a rien de magnifique, le curé dirais c’est l’ordinaire.
Mais j’ai jamais eu affaire aux ecclésiastiques, j’ai perdus le fil à chercher
la bonne façon d’écrire. Je cherche pas la cure, si ce n’est celle qui va me
soigner, m’amener vers le rétablissement, la spiritualité je ne peux en faire
abstraction… Vous m’envoyez me faire voir, une consultation chez le chamane… Je
vais revenir avec des cigarettes et après avoir joué dans les machines, pas de
sweat lodge je suis pas amérindien. Je pensais pas que mon senti se dirigerais
vers ça… Je suis pas amateur de bingo, je préfère l’art. Je crois que j’en ai
assez écris, je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
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