Bonsoir!
Bonjour! J’ai des problèmes ce soir je me crois en enfer. Je sais que sur les
réseaux sociaux on peut pas dire tout ce qu’on veut… Je pourrais retourner en
arrière et débrancher tout ça, télévision, téléphone, ordinateur, radio, et
vivre comme un ermite… Juste signaler à ma lectrice snowbirds de l’Outaouais qu’on
m’a prescrit le médicament qu’elle me conseillait… Je veux pas être une victime
mais je me sent quand-même persécuté… Pauvre fou! Je sais plus où aller où me
cacher… Le senti, le senti, quand ça va mal j’ai tout dis… Quand même je
parlerais de rétablissement parfois je connais de gros recul, paranoïa ce que
je fait… Encore une fois, pauvre fou! D’une folie maladive qui s’avance en
avant pour dire qu’il se rétablis, un rétablissement qui parfois fait mal, je
pense au je suis malade de Serge Lama, à la version de Lara Fabian, souvenir de
mon neveu, maintenant papa, qui venais parfois passé des week-ends chez moi, on
avait beaucoup de plaisir… Faut que je me rappelle des choses positives… Bien
que parfois je crois qu’on me fait payer cher ce que je suis. Aussi bien vous
le dire je connais rien… Je sais pas ce que je veux, j’ai de la difficulté à
vivre avec mon prochain… Écrire, la belle affaire!!! Disait le grand écrivain. Une épave voilà ce
que je suis si tout le monde étais comme moi y’aurais pas beaucoup de médecins.
Le cave se souviens plus si il avait des buts dans sa jeunesse, j’étais fucké
mais fucké pas grand-chose entre les deux oreilles. Ce soir la météo annonce de
la neige, de un à cinq centimètres… Bien que ce sois pas toujours comme ça, ce
soir je me déteste, je me déteste d’être ce que je suis, une loque… Je mange
des biscuits à l’avoine… Je sais y’a pas grand monde qui me lis c’est pas un
best-sellers, c’est juste un blog à la mode d’il y a quelques années. Je pense
aux gens intelligents à ce qu’ils font… J’y arrive pas à me mettre dans leurs
peau. Je vous demanderais juste de réfléchir à ce que c’est de marcher dans mes
bottines. J’ai pas tout demandé, je peux dire que la vie m’a montré quelques
choses. Il m’en reste encore à apprendre petit vieux que je suis devenus. Je
pense à Pépère et à Mémère, je suis rendu là, ce matin j’ai parlé avec la
Matriarche de Son’Oncle Georges de la vrai poésie… Lentement je me calme, je
couche chez moi le loyer est payé. Soudainement y’a une odeur de parfum, ça se
termine bien quand ça sent bon… Le goulag occidental lentement ce civilise, y’a
moins de monde qui couche dehors quoi qu’il y en ait qui veulent rien savoir
des refuges et des soins… Je vous termine ça en quelques mots pour rajouter au
délire. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque’là!!! N’hézitez pas à
me faire vos commentaires. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
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