Bonsoir!
Bonjour! Faut que je me fasse une idée. Je suis pas publié papier, je suis pas
écrivain. Je suis qu’un pauvre type perdus dans la blogosphère, y’en a des
milliards comme moi et si j’étais bon écrivain ça se saurait. Je suis pas Paul
Valéry ni André Gide. J’écris ça et je pense à l’ami qui est un vrai professeur
d’histoire de l’art, un homme très cultivé… Quoi dire? Y’a des choses que je
garde pour mon cahier, ce soir j’ai reçu le merci de mon petit neveu à qui j’ai
envoyé l’album de bandes dessinées. J’espère qu’il va aimer ça, je suis bien
conscient que c’est pas un jeu électronique que c’est suranné mais parfois y’a
du bon dans les vieilles choses… Si je reviens à mon senti je suis un pépère,
étrangement je pense à Jacques Ferron à son Ciel de Québec qu’il faut que je
relise à L’Amélanchier aussi à Tinamer, mais non je suis pas un homme de lettre
juste un bum qui a trouvé refuge dans la littérature, je mentionne encore les
rockers sanctifiés de Francoeur, merci d’avoir mis la littérature rock sur la
map. Je sais pas si je vais avoir le temps de lire Patrick Straram, Bison ravi…
Je sais la littérature ça vaux pas le cabanon bâtis dans la cour. J’ai voulus y
habiter on m’a pas laisser faire c’était bon pour le chien mais pas pour moi. L’ami
historien de l’art nous a parlé de Toulouse-Lautrec et du sanatorium, je lui
laisse je crois qu’il va en parler à la radio. Je pense à l’absinthe qui rend
pas spécialement brillant. Mon senti c’est toute ces émotions j’essairai d’en
vivre à Washington. Je sais pas si j’ai de la délicatesse, c’est brut ce que j’écris
quoi que c’est pas à moi de juger ça. Je suis un pauvre fou dans le quartier qu’il
a désigné comme étant son goulag occidental… Parfois je mérite des tapes sur la
gueule quoi que je parle pas de la façon que j’écris… Je vais peut-être tenter
une autre expérience d’écriture avec les gars de la radio… Je sais pas pourquoi
j’arrête jamais d’écrire, la fille qui participais à la réunion tout à l’heure
me semblait une militante enragé qui a oublié de demander pourquoi on l’attachait
dans son lit la nuit, la contention ça demande une réponse quand on est
hospitalisé. Moi j’ai été attaché qu’une fois, tellement fou que je l’ai
demandé, je voulais en finir je crois que ça m’a sauvé. Je vais vers la
stigmatisation, quand les gens, j’aime pas beaucoup écrire les gens j’en suis
moi aussi, souffrent et croient que les pauvres prestataires ne souffrent pas c’est
une erreur, voilà le stigmate la douleur solitaire. Je sais pas trop si ce que
j’écris là à du sens. Je crois que plusieurs voudraient niveler par le bas.
Enfin je sais pas si je participe à l’insignifiance générale mais je vous remercie
d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
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