Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je vais juste mentionner le
regard critique de certains sur l’écriture « médiatique »
électronique semble selon eux que ça a moins de valeur que l’édition papier.
Moi je crois pas c’est un peu comme la bande dessinée y’a un moment on disait
que c’étais infantile maintenant noblesse oblige on appelle ça des romans
graphique. Je vois pas ce qu’il y a d’inférieur a livré des textes électronique,
le défi il est là mettre du cœur de l’âme dans la machine ça fait une
plateforme de plus. J’essais juste de rejoindre de faire passé des émotions aux
lecteurs potentiel d’un blog. Je crois que je me répète ça fait des années que
j’ai ce discours là d’autre diront que je suis un loser pourtant les lettres ça
devrait tout accueillir avec une vision humaine et sensible. Je pense aux
jeunes qui jouent sur le réseau ceux à qui j’offre mes textes qui ont pas la
patience où le courage d’ouvrir un livre, l’écran est très présent ce sont des
lectures qui peuvent mener à la littérature. Pour « l’auteur » que je
suis le défi c’est d’avoir une présence dans les médias. Les écrivains les plus
médiatisés dénigrent souvent les formes d’écriture qui sont pas là leur. Bon!
Assez chiâlé, dehors c’est ensoleillé, l’écriture c’est ma survie, y’a un grand
vent je suis content de pas être dans la rue. J’imagine les rafales dangereuses
sur les grandes routes… Je reviens à mon écriture j’ai peut-être tout
simplement pas de talent enfin ça sert à rien de m’auto-stigmatiser je « travaille »
comme beaucoup de choses c’est plus de travail que d’inspiration. Je sais pas
si en vieillissant mes textes seront comme le vin et prendront de la valeur.
Parfois je manque d’humilité, s’agis d’écrire pas de chercher les honneurs et
le succès, tiens tout à coup je pense aux cafés aux eaux minérales sur les
terrasses Parisiennes, c’est pas terminé je vais y retourner. Dimanche! Je me
souviens chez le paternel c’était le jour de la visite, des cousins venaient
discuter parfois il les invitais à souper. J’écoutais, je parlais pas beaucoup…
Quand le beau-frère restait souper c’était agréable, le paternel lui demandait
souvent de payer. J’ai fait comme dans la chanson la vie m’a buté. Voilà c’est
tout pour aujourd’hui je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là. À la
prochaine je l’espère. Au revoir.
20/11/2022
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