Bonjour!
Bonsoir! Semble qu’il y a plus personne qui lis depuis que j’ai changé mon
horaire de publication. Ce soir je me suis levé en pensant qu’il était cinq
heure du matin. Mais non! Il est neuf heure quarante-cinq. Je sais pas comment
les enfants de la super-maman réagissent quand elle part comme ça? Moi quand la
matriarche partais, c’est pas arrivé souvent, j’avais très peur qu’elle ne
revienne pas. Aujourd’hui c’est la section voyage dans LaPresse+ c’est toujours
intéressant… J’attends quand même une demie année avant de partir, j’ai appris
hier que San Francisco est la deuxième ville la plus populeuse aux États-Unis.
Je vais avoir le temps de faire des économies, je devrais avoir des activités
avec l’institut. Mais non on est pas encore samedi, je remercie ceux qui restent
même après le changement d’heure de publication. J’espère qu’il est rien arrivé
de fâcheux aux amis de Brossard… Je viens de voir que l’ami viens de « liker »
un texte, merci! J’arrive pas vraiment à écrire avec la sensibilité d’un malade
ignare, je suis certain que vous avez déjà lu des textes comme ça, une écriture
de cinquième ou sixième années scolaire d’un mauvais élève, une tonalité crû où
brute… Quand je pense à ça je ne suis qu’un cancre ordinaire, sans génie dirait
la matriarche. Y’a de la beauté dans l’écriture d’un enfant… Je suis trop préoccupé
du résultat j’arrive pas à la naïveté… Trop tôt pour écrire un poème de Noël
spontanée, j’aime bien quand on écrit sur les cadeaux et la tourtière au mois
de juillet. Ce matin je pense à la Havane, à cette serveuse qui voulait
absolument que je revienne… J’ai beaucoup aimé l’architecture que j’ai
retrouvé en Espagne, ne jamais oublier que Cuba a longtemps été une colonie. La visite à la Havane c’est ce que j’ai le
plus apprécié de mon séjour à Varadero… Ce week-end la météo annonce de la
neige, déjà! J’aime beaucoup les arabesques forgées des maisons cubaines de
style espagnol. Ici rien de nouveau, je me rétablis, il est encore tôt à l’époque
j’allais finir la nuit dans un bar de seconde zone, toujours dans l’espoir de
rencontrer quelqu’un mais l’alcool avait toujours le dessus, je peux même pas
parler d’ivresse c’est trop beau, j’étais saoul! Je me rappelle je laissais un
vingt dollars chez moi pour payer le taxi du retour, ça non plus ça a pas tenu
longtemps j’en avais besoin pour boire. Je me souviens avoir habité sur le
plateau, un appartement pour handicapé, je suis pas fier de vous dire ça mais
voilà ce que fait l’alcool on est jamais au bon endroit. Depuis que je m’abstiens
la vie est plus facile, les mots qui me passent dans la tête plutôt que d’essayer
de les endormir à coups de scotch je les écris ici. Voilà c’est la chute, comme
toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! J’espère que cette écriture vous plait, je termine en vous
souhaitant à la prochaine!!! Ciao!!!
Bernard
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