Bonsoir!
Bonjour! Ce matin je suis allé prendre des photos d’avions à ville
Saint-Laurent. J’ai pris conscience que je suis encore capable de marcher, c’est
des avions que je voulais photographier mais j’ai jamais vus autant de
voitures. Si rien ne change je vais être bon pour marcher dans mon voyage et
comme on était dans l’ouest de Montréal, j’en ai profité pour pratiquer mon
anglais qui est pas trop mal, j’ai demandé des renseignements à un gars qui
travaillais chez Air Canada, il portais une veste avec l’unifolié rouge le
sigle d’Air Canada, j’ai jasé un peu à l’arrêt d’autobus avec un vieux monsieur
qui s’est payé ma gueule… Ville Saint-Laurent c’est des souvenirs d’il y a plus
de trente ans où je ramassais des ballots de papier pour le recyclage, l’hiver
c’était très froid, on faisait aussi la tournée de bureaux gouvernementaux à
Montréal on y cueillais des poches de papier, surtout de la première classe du
papier informatique. C’est la nuit de vendredi à samedi, y’a plein de jeunes
hommes qui vont en boîte comme disent les français plusieurs espèrent
rencontrer la femme de leurs vies mais l’alcool et les femmes ça a jamais fait
bon ménage. Je sais vraiment pas ce que je fais de pas correct pour me sentir
persécuté comme ça, le mot clé c’est sentir à partir de là je peux vous écrire
sur mon senti… Je pense au stress post traumatique des vétérans de l’armée
Canadienne, comment ce sont des hommes brisés, dans la nuit des voitures
passent on y écoute de la musique planante, éthérée je dirais. Étrangement hier
en revenant de ville Saint-Laurent je me sentais en voyage, c’est ce que la
proximité des avions provoque chez moi. Je me suis couché tôt j’arrivais pas à
dormir voilà pourquoi je vous écris… Dans l’autobus trente-quatre
Sainte-Catherine j’ai croisé une agent de voyage d’Air Canada. Ce matin dans
LaPresse+ c’est la section voyage… Vous voyez je suis obsédé par tout ce qui s’appelle
partir, encore deux saisons à attendre et San Francisco me voilà sur les ailes
d’Air Canada. Ai parlé un peu avec mon lecteur de Deux-Montagnes, c’est certain
que j’ai réservé un peu tôt mais j’en serai que plus heureux quand la date de
départ vas arriver. La patience, attendre, c’est une chose que j’ai mis
beaucoup de temps à assimiler, maintenant j’arrive toujours tôt à mes
rendez-vous. Minuit arrive et j’ai presque terminé, comme il est beaucoup
question d’avions je veux pas trop écrire de chute… Une conclusion pour ce
texte qui finis et cette nuit qui débute… Je vous parlais d’attendre pour moi c’est
comme un terrain neutre, un intermède dans ma vie, j’ai attendue longtemps à l’urgence
pour pas grand-chose… Voilà! J’y suis presque, j’ai trouvé à vous écrire, vous
pourrez lire quelque minutes Voilà, je termine, je vous aurai encore raconté.
Je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là si vous permettez j’étire
encore avec quelques mots. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
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