Bonsoir!
Bonjour! Nuit de vendredi à samedi, y’a beaucoup de monde dans le bas de la ville
on fait la fête, on se cherche une blonde pourtant on va se perdre dans l’alcool
et on auras rencontré personne… J’ai longtemps fait ça sortir la nuit pour trouver
l’âme sœur… Je trouvais toujours une copine quand je sortais du circuit des
boîtes de nuit. N’empêche je buvais quand même à part peut-être quand j’étais
avec l’écrivaine bipolaire de la rive sud. Je me souviens l’avoir rencontré
dans une soirée micro-ouvert où je lisais mes plus mauvais vers, tout de suite
elle m’a amenée chez elle pour me montrer une guitare qu’elle avait à vendre…
Je me souviens aussi de son frère qui étais venus me rencontré dans ma toute
petite chambre, elle avait trouvé refuge dans une maison des femmes où elle
devait rester jusqu’à la fin de ses jours, elle était dans sa phase down de la
bipolarité, je sais pas si j’avais bien fait je l’avais aidé à déménager, c’est
il y a plus de vingt-cinq ans à cette époque je crois qu’on en voulait à ma
vie, elle se promenait entre les larmes et le rire quand à moi je crois que la
mort m’attendais… J’en suis sortis j’étais à mes premiers pas dans la sobriété,
j’avais fait la rencontre d’une chanteuse étonnante que j’avais amené en
studio, ça été mon dernier contact avec le monde nocturne, le night-life. Je
suis pas tellement au présent avec ça, cette nuit en est une de souvenirs. J’ai
réussis à survivre, j’ai beaucoup rêvé ce soir y’avait le propriétaire qui
transportais de la terre dans une brouette et qui me promettais du travail, y’avait
aussi une photo dans le journal d’un grand chanteur country qui, c’était écris,
avait été en tournée avec des grandes vedettes d’ici. Ce rêve et ce souvenir me
font mal, j’ai toujours raison d’être paranoïaque, j’ai peur du monde interlope…
Je me souviens de ces bars que je trouvais grands, j’y suis retourné à jeun et
c’était tout petit , avec mon amie bipolaire j’avais rencontré le propriétaire
slave d’un minuscule bar du bas de la ville… Je pense que j’endormais dans l’alcool
mon désir d’écrire, l’amie en question se débattais entre ses hauts et ses bas
alcoolisés. Je me rappelle de ça et je sens une menace pourtant j’ai jamais
vendus personnes. La menace, la peur, l’angoisse c’est la schizophrénie…
Pourtant j’aimerais bien rencontré une autre femme… Ouais! C’est vraiment une
histoire du bas de la ville centrifuge qui attire ceux qui ne sont pas bien
attaché vers le centre, les quartiers mal famé.
J’arrive presque à la chute en pensant beaucoup aux femmes. J’accueille plus
personne chez moi. C’est plus simple comme ça, ma dernière relation je crois qu’elle
voulait me faire déménager, paranoïa? Avec le temps j’ai appris que je devais
rester chez moi. Voilà! C’est mon senti de cette nuit. Je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
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