Bonsoir!
Bonjour! La climatisation c’est sympathique dans ces journées de grande
chaleur. J’ai commandé un recueil Spirou sur le site d’Amazon.ca j’avais l’habitude
avec Amazon.fr je sais pas si ma commande va passer. Ce matin j’aimerais bien
recevoir du courrier, plusieurs d’entre vous rentrent au travail j’espère que c’est
climatisé. J’ai souvenir de la job sur le banc à la shop, y’avait de l’huile et
de la poussière de métal qui me collait au dos, il faisait chaud… On ouvrait
les fenêtres je crois qu’il y avait quelques ventilateurs ont suait quand même.
Ça fait longtemps tout ça presque quarante ans. Moi j’étais pas machiniste, je
pense au lecteur technicien à la Rolls-Royce. Il fait tellement chaud le
climatiseur s’arrête pas, je l’ai stoppé à la main je veux le ménager un peu,
il indique vingt-deux degrés, je devrais me concentrer sur ce qui fonctionne…
Il est trois heure quinze contrairement aux idées reçues les grandes chaleur c’est
pas bon pour les itinérants… Je crois qu’il fait frais à la maison du père. On
entends le ron ron de la climatisation… J’ai dormis un peu je suis assez
réveillé ce matin… C’est pas le ron ron à la Maison du Père mais bien ici chez
mes voisins. Souvenirs de balades en auto et de journées à la plage avec la
douce… Le climatiseur viens de démarrer tout seul, vous allez dire que je suis
vraiment fou mais c’est mon seul compagnon pour la nuit, encore un gentil
parfum loin de l’odeur de sueur du travailleur… Je vous l’écris ici je fait une
prière en espérant recevoir du courrier. Mes activités sont suspendues jusqu’à
la fin août, c’est bien, hier je suis allé prendre un café avec l’ami sclérosé,
avec tout ce qu’il endure je devrais me fermer la gueule moi et ma petite folie…
Ouais! C’est mardi encore deux semaines et c’est les vacances de la
construction. Je sais pas si je vous l’ai déjà écrit mais j’ai enregistré ma
carte de transport en commun. Souvenir encore de l’exposition universelle de
mille neuf cent soixante-sept, le centenaire de la confédération, on allais à l’expo
avec le cousin qui avait sa manière bien à lui de nous faire visiter les
pavillons en nous faisant entrer par la sortie j’y comprenais rien… Il nous
reste l’île Sainte-Hélène et l’île Notre-Dame, le circuit de formule un Gilles
Villeneuve et la plage Doré, une promesse que le regretté maire avait fait qu’on
allais pouvoir se baigner dans l’eau du fleuve. Quand je vous écris de façon
débridé j’ai de la difficulté à terminer. Je pense à cet intervenant qui avais
tenté l’écriture et qui avait décidé lui-même que c’étais n’importe quoi, que
ça valait rien… Moi je vous fait lire vous me le dites si ça vaut pas un token.
Je termine lentement avec le jour qui se lève. Je vais lire LaPresse+ et
terminer de lire mon roman policier. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
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