Bonsoir!
Bonjour! Une très belle journée et je remercie mon lecteur de Deux-Montagnes et
la matriarche. J’ai assisté à un très beau concert à l’oratoire, de l’orgue et
du chant choral, je peux pas en parler beaucoup je connais pas ça… J’ai eu quelques
souvenirs, comme j’ai dit à la matriarche, le printemps est vraiment là quand j’assiste
à des concerts de musique classique. J’ai ouvert la fenêtre j’entends les
oiseaux chanter. Je sais pas pourquoi je
pense au Portage où je suis jamais allé… Tout à coup j’ai de la peine peut-être
parce que j’ai donné tout ce trouble à mon lecteur dans la circulation… Ça a
coupé ma routine d’écriture… Je le répète quand même j’ai beaucoup apprécié, c’est
mon senti pour ce soir je voudrais écrire quelque chose pour vous faire plaisir
peut-être aussi à l’oncle qui chante si bien. Demain c’est le cabaret À notre
santé, littéraire et théâtral présenté par l’association des libraires du
Québec. Il est temps que ça arrive, je me répète et j’ai le trac… Je veux
surtout pas porter malchance à personne… Je crois que je dormirai pas de la
nuit. Encore ce soir c’est un défi pour moi d’écrire je pourrais tout sacrer ça
la et me bercer… Pourtant c’est la façon que j’ai choisis de me rétablir…
Mettre en mots la douleur comme une mouette blessée au printemps. Je sais c’est
pas une très belle image mais je la laisse-là, la matriarche m’a rappelée Gerry
le regretté… La basilique de l’oratoire c’est quand même magnifique, des lieux
bénis. Demain je vais faire de mon mieux, essayer de faire de la belle ouvrage…
Je sais, je reste quand même fou je peux vous le certifier j’ai mes papiers
directement de chez les psychiatres… Mais parait qu’avec de la foi on déplace
des montagnes, moi j’essaye juste de déplacer mon pauvre corps battus. Aujourd’hui
y’avait du monde partout sur le plateau et le goulag était désert, chez moi c’est
comme ça c’est pas un quartier branché mais l’ancien faubourg à m’l’asse un
quartier populaire, un quartier qui appartiens au peuple… Encore ce soir je
vous aurai donné mon goddam best! Plus que ça je meurs, j’essais de ménager les
susceptibilités. Je sais pas pourquoi je pense à la rue des Érables à Dolbeau,
la première maison que j’ai conscience d’avoir habité… Je suis vraiment un
pauvre habitant qui crois qu’écrire est rédempteur, je me sauve pas je me tue,
quand j’aurai tout dis ce senti je remercirai… Merci les snowbirds d’avoir
ramené le beau temps… Je vais essayer de terminer ça sur une note optimiste, le
beau est en avant, aujourd’hui l’oratoire me faisait pensés au Sacré-Cœur à
Paris, je crois que c’est ce qui va illustrer, une photo de Paris prise du
Sacré-Cœur notre Saint-Joseph vaux bien ça. Voilà! C’est pas une chute j’essais
de remonter. Je vous remercie tous d’avoir lu jusque-là!!! Je vous laisse au
coucher du soleil et j’espère que vous serai là à la prochaine!
Bernard
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