Bonsoir!
Bonjour! Viens de me réveiller je vais essayer de mettre un peu de chaleur
poétique dans ce printemps tardif. Je cherche toujours la belle image celle qui
nous fait soupirer de plaisir à sa lecture, là je vous décris la mécanique c’est
pas nécessairement poétique. Je rêve du vert des platanes, des terres qu’on
laboure déjà même en hauts-de-France. Je suis ancré au sol de ce pays où l’hiver
s’étire dans la froidure, la ville est maintenant grise on cherche les
bourgeons, écrire, dire toujours pour se rétablir, pour aimer… Aimer ces temps
riches et agréables qui passent et que j’ai peur de perdre en tombant dans le
délire psychotique… Un mot que j’ai toujours hésité à écrire je suis heureux!
Profitez-en c’est rare… Tout ce temps ça auras pris tout ce temps pour me créer
une étincelle de bonheur que l’intrus pourras briser dès qu’il en prendra
connaissance… Le bonheur c’est là quand je vous écris, quand je cherche l’image
radieuse dans la nuit, c’est aussi une prière comme un en cas ce serait vrai
cette histoire de Dieu. Je suis un homme de peu de foi elle fluctue à tous les
jours mais parfois l’espoir est bien présent dans la prière que je Lui offre au
matin. Ça ne finiras pas comme ça, ce serait trop triste si après y’avait rien,
je pense à l’esprit, à la spiritualité, y’a des vedettes de la télé qui croient
pas aux vertus du Notre Père, ceux qui la récitent ce sont pas tous des idiots.
Je m’éloigne de la poésie que je retrouve toujours dans les mots… Dire dans le
plus clair, au plus clair d’une rédaction heureuse, j’écris et je pense à vous
tous amis lecteurs qui me faites plaisir. Je m’élance dans les phrases sans
sujet autre que moi, que mon senti amoureux… Je reviens à la spiritualité à
cette foi que je voudrais plus grande, je sais pas pourquoi je la vois accueillante
parce qu’elle est aussi dans l’autre qui nous parle qui se confie. C’est
presque un délire mystique que je vous écris cette nuit… Mais non je ferai pas
de miracles on est pas à Lourdes ni à l’oratoire, cette époque est remplis de
malades mentaux que la foi n’a pas guéris, qu’elle a laissé là dans le fossé du
cheminement à marcher dans les eaux usées… J’aime bien vous écrire d’une
certaine façon ça me fait grandir, j’essais de pas penser aux êtres détestables
qu’il y a dans ma vie et qui me jugent parce que j’écris. Ça me fait mal, ça me
fait mal je les entends d’ici me dénigrer mais je vais rester dans le bonheur
de ceux qui y croient. J’ai cru un instant que la douleur étais partis mais
elle est toujours là, je sais pas pourquoi cet être me fait mal quand je pense
à lui. Va t’en je te chasse, si ça te conviens pas tant pis! Voilà je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard
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