Bonjour!
Bonsoir! Je m’en vais dans les pays chaud. Ce matin il neige dans le goulag. Je me sens tout drôle j’ai hâte de partir,
presque pas de circulation automobile dans le goulag occidental. J’ai très mal
dormis, je crois que je vais sortir m’acheter un cahier et de la lecture pour
les vacances. J’essais de vous écrire un texte qui a du sens. J’ai écouté mon
conseiller lecteur de Deux-Montagnes, assez parlé je suis passés à l’action. Je
pense à l’avion j’ai hâte, je le répète, j’ai mon billet électronique. Je commence
a faire mes bagages ai sortis mes culottes courtes. Semble que la plage est
belle. Je suis loin de mon senti ce matin, un peu anxieux, je vais le croire
quand je serai dans l’avion. Dehors ça poudre, c’est un samedi d’hiver je suis
vraiment mordu des voyages. J’écoute ce qui se passe dans ma tête je sors, sors
pas, une longue voix d’hésitation. Y’a longtemps que j’ai pas eu l’hallucination
des envahisseurs. J’ai peur qu’écrire là-dessus ça va les faire revenir. Je
prends mon temps tout le monde semble heureux que je parte. Ai bu un verre d’eau,
lu LaPresse+ pas très intéressante aujourd’hui. On y parle des fugues de ces
jeunes filles, je déteste les maquereaux. J’aimerais quand même pas revivre mon
adolescence. Heureusement c’est finis tout ça maintenant je suis un vieux
bonhomme en rétablissement. J’écris oui j’écris et je lis, j’entends la radio d’une
voiture qui passe. Je suis toujours assis au même endroit, y’a de la musique
dans l’édifice, les voisins discutent. L’autobus passe, les passagers montent.
En voyage je serai pas branché wi-fi ils ont des stations internet, je vais
essayer de me rappeler mes mots de passe sinon c’est pas grave, je vais
profiter de la plage. Ai parlé au camarade peintre, il dis que le voyage va me
faire du bien. Mais oui! J’aime ça prendre l’avion. Je crois que je suis
désagréable quand je téléphone à tout le monde pour dire que je pars. Je vais
pas grimper l’Himalaya c’est juste des vacances à Cuba. J’ai du miel collé dans
le poil aujourd’hui la photo c’est une sculpture située dans la cour arrière
des habitations De Maisonneuve. L’œuvre a inspiré à Francine Lemieux fille de l’artiste
cette réflexion « Tout comme un voilier voguant sur l’océan à voile
déchirée; nos pionniers ont fait face aux entraves que la vie leur apportait en
étant tenaces et courageux. » F.Maurice Lemieux (1931-1994) a fréquenté l’école
d’Arts et Métiers de Valleyfield. Il produit ses premières sculptures dans les
années cinquante. Il participe à la Biennale de Madrid en 1957 et réalise en
1961 une imposante sculpture murale pour le séminaire Saint-Jean-Iberville
entre 1964 et 1971 il réside à Los Angeles ou il met au point un nouveau
matériau qu’il nomme « aluminium-mousse » Au début des années 1980,
il crée Calcite une œuvre permanente pour le métro de La Savane à Montréal. À
voile déchirée est un titre attribué par l’ayant droit de Maurice Lemieux, l’œuvre
était initialement sans titre. C’est une sculpture d’art public dont la date de
fin de production est de 1972. Les matériaux sont de l’acier peint, les
dimensions générales sont 469 x 315 x 394 cm derrière les Habitations De
Maisonneuve au 2485 boulevard de Maisonneuve est à Montréal. Je termine donc là-dessus,
j’ai mon billet électronique. Je pense que je vais avoir du plaisir. Je vous
remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard
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