Bonsoir!
Bonjour! Ce soir je suis de retour des pays chaud où plutôt d’un pays chaud
Cuba. Je sais pas comment vous écrire, je suis connus chez les québéquois on me
traite de maquereau de tapette, de niaiseux du web et bien d’autre chose encore
dont je me souviens plus… Je crois que les gens aiment pas les vacanciers
solitaire même le service est parfois moins bon quoi que lorsque les cubaines s’y
mettent y’a pas meilleur services. Y’avait tous ces vacanciers qui me
dénigraient me traitaient de gros crottés… Remarquez quand j’entends ça j’ai
tendance a croire que j’ai raison. Y’a longtemps que je vous ai pas parlé de
mon sentis comment je me retrouve chez moi à l’abri, seul mais sans ennuis. Je
crois être mégalomane pour le bon peuple le web, je le répète c’est du
niaisage. Pourtant Cuba c’est supposé être reposant, oui! Je me suis reposé au
soleil sur le patio en lisant un mauvais roman policier Cubain, mauvais peut
être mais ça se lisait tout seul et y’avait une certaine érudition. J’attendais
rien de ce voyage j’en attends pas plus de ce retour, je me suis laissé aller j’ai
pris le taxi, rien n’empêche pour eux tous ceux-là qui me « connaissent »
je suis une grosse salope. Je cesse là de me dénigrer… J’ai « travaillé »
sur un texte je vais le proposer à l’édimestre des humeurs culturelles y’a du
travail a faire encore. Pour revenir à mon sentis je suis pas le démon j’ai pas
tous les défauts du monde mais ceux que j’ai me font mal… J’aime toujours ça
vous écrire ce blog ça a la valeur que je lui donne, à les entendre je devrais
rester dans le troupeau pas dire, écrire un mot. Juste le silence et les
pleurs, le stigmate aussi de la schizophrénie et du suicidaire. Je pense à la
fin des années soixante-dix où les gens laissaient leurs maisons ouvertes aux
quatre vents je me retrouvais parfois là sans trop savoir ce que j’y faisais,
psychotique. C’est vraiment épuisant ce qui se passe dans ma tête, ce
dénigrement déchirant je demande pas d’excuse les gens ont leurs orgueil. Je me vois vieillir pourtant j’ai pas envie de
devenir un vieux con, une vieille vadrouille. Parfois j’ai peur de tomber dans
la dépression mais je connais trop ça, les pleurs et la bêtise. « C’est comme ça que ça se passe
quelque part dans l’espace sur une boule qui roule dans l’infini »-Daniel
Lavoie. Je suis un pauvre maboule mais je vois pas comment je pourrais faire
autrement. Je crois que demain je vais aller au marché c’est une destination
moins exotique que les plages de Varadero mais oh combien plus familière. Il
est presque neuf heure le vol a pas été très long mais c’est quand même
fatigant trois où quatre heure a ne dire que tout au plus cinq phrases
remarquez que pour un misanthrope c’est pas si pire. Je m’arrête là-dessus et
espère que vous reviendrez. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard
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