Bonsoir ! Bonjour ! Il fait un temps superbe, ce matin je
suis allé au supermarché. J’ai marché plus longtemps qu’à l’habitude. Ce soir
les muses dorment, seul sans elles c’est difficile. J’ai quand même passé une
belle journée, de bons moments. Je pense toujours partir mais encore dans un
an. C’est le week-end qui commence, faut dire que la journée a bien commencé
avec un court échange d’un monsieur au marché, il était sympathique. Parfois y’a
des moments de bonheur comme ça, c’est de l’humanité agréable. Je remercie mes
snowbirds de prendre le temps de communiquer avec moi, y’a rien d’urgent, j’ai
bien aimé le messenger de mon bôf ce matin. En vieillissant je fatigue plus
vite pourtant… Y’a plus de neige, les cyclistes sont heureux quand je parle de
vélo je pense à l’ancien chroniqueur de La Presse, Pierre Foglia il nous
écrivait souvent sur ses balades à Frelishburgh, un village où j’ai travaillé,
pas longtemps, dans un verger, je sais pas ce qui est le plus difficile monté
une échelle pour cueillir où monté une pente des Cantons de l’Est à vélo. L’ami praticien à la retraite pourrait
répondre à ça. Je crois qu’il a rangé ses skis et sortie son vélo pour les
temps printanier, son mulet. C’est encourageant on dirais qu’on s’en va du bon
bord des choses pour citer l’écrivain. Comme toujours quand il fait beau je
pense aux bistros et aux terrasses de Paris, toujours agréable de se faire
chauffer les os au soleil. Dans le goulag centre-sud y’a pas de terrasse et le
quartier latin est plus très fréquentable si il l’a jamais été. Je pense qu’il
y a déjà des bars qui restent ouvert jusqu’à huit heure du matin en vrai fou je
pense que c’est une façon de régler les problèmes de ceux qui ont pas d’endroit
où loger. Le paradis des alcooliques actifs. Je pense à David Goudreault, je
sais pas si son dernier show a été un succès ? Je viens de tomber dans une rage
de sucre, j’ai mangé une pointe de tarte au sucre et au sirop d’érable. C’est
un vendredi soir que j’osais pas imaginer, tranquille chez moi. Voilà! Je
termine ! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! Comme toujours je vous remercie
d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère
!
16/03/2024