Bonjour ! Une nuit d’insomnie, j’en profite pour écrire. Si
vous saviez comme j’ai hâte de partir j’ai choisi ma destination préférée. Cinq
mois je vais prendre mon temps. J’attend des nouvelles de ma conseillère en
voyage. Cette année je vais en Provence. Mes jambes se rétablissent… Là bas je
veux surtout aller voir Notre Dame. Je pense à mon ami praticien ressource à la
retraite son dernier voyage m’a inspirée, j’aime beaucoup la France. En février
je participe à deux formations si le Bon Dieu est bon… J’aime beaucoup les airs
d’accordéon parisien. Voilà! J’ai pris une douche me suis parfumé ça me rappelle
toujours les voyages. Bientôt je devrais parler des enjeux de l’itinérance en
milieu semi-rural… À l’époque pour moi la souffrance étais très présente. La
semaine commence, je suis pas trop malheureux, j’ai hâte de prendre le train
pour la Provence. Y’a déjà des publicités de Noël à la télé. Je me pose encore
la question sur comment ont fait pour devenir écrivain. Souvenir d’une lecture
faite à Besançon c’étais très mauvais ce que j’avais écris déjà on m’y avais
proposé un éditeur. Pour l’échange avec les étudiants j’espère qu’ils vont
comprendre les cognements au plafond la nuit, on aurais voulu que je me suïcide
on aurais pas fait mieux. C’est difficile d’écrire comme ça de pièce en pièce
sans arriver à la pleine partie,. La composition c’est une difficulté une
tentative d’atteindre d’un trait le dire perfectible. Il est passé trois heures
la ville est calme le retour m’a quittée. Je répète c’est lundi la semaine
commence entre le travail et les études, je voudrais devenir quelqu’un quelque
chose pourtant ma prose se carie se gâte, les grands poètes se disent dans la
difficulté. on a perdus le disible, le disable. Je fait pas de poésie j’en
écris je cherche à vous écrire le sens
Je crois qu’au printemps j’irai à Aix-en-Provence tenté si c’est possible la
poésie impressionniste, ce matin je reste au tout près du temps, au dire cérébral
que je qualifie toujours mal. Le dire m’apparait impossible l’écrivain parlait
d’écriveux sans espoir pris au piège… Je me lèverai nu dans la lumière du jour
exhibant mes caractères toujours accrochés à la redite. Y’a pas de non dit
juste une feuille de malheur qui voudrais bafouiller les phrases insolites pour
briser un restant d’espoir, j’aurai dis, j’aurai vu, encore une fois merci !
25/11/2024
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