Bonsoir ! Bonjour ! Ce matin je vais vous écrire de mon point de vue de « démarcheur » comment entendu dans le métro, c’est soit que je fait une démarche ? Sois que je défait la marche je sais pas trop. C’est encore la nuit hier j’étais à l’hôpital où on me prend pour un twit. J’ai attendus de longues heures pour qu’on examine mon œil heureusement tout va bien. Je m’auto-dénigre je devrais pas, attendre à l’hôpital je connais ça. Je suis pas quelqu’un d’important juste un pauvre homme seul qui connait personne. Cet après midi je rencontre un ami pour lui vendre mon livre. La démarche ça peut aussi être l’écriture où ma façon de marcher. Franchement je crois que c’est l’écriture, mais non j’écoute pas aux portes, les gens peuvent dire ce qu’ils veulent j’ai des restes de paranoïa. Hier matin j’ai parlé avec la matriarche, pas longtemps, mais c’étais bien. Je me suis acheté un nouveau cahier et de la lecture. Je crois que mon blog c’est une démarche peut-être un peu trop commerciale. Je me rappelle plus qui disait « le malheur de l’homme c’est d’être incapable de rester seul dans une chambre ». Je me disait qu’attendre à l’hôpital ça peux mener à la psychose où en tout cas l’aggraver , c’est  difficile j’essais de me poser, envers et contre tous je continus ce blog. Je suis allé à la Coop universitaire métro Berri, j’ai été très mal servis. J’ai quitté fâché sans rien acheter. Je pense à l’ami maintenant de Saint-Pacôme ce seras son premier Noël à la campagne. Le premier décembre je vais commencer à écrire dans mon cahier. Je me suis préparé un deuxième café, parfois je trouve que la vie est dure et difficile. J’ai souvenir de matins heureux et délicieux c’est ça qui me tiens en vie. Je connaissais rien, j’ai vécu plusieurs échecs je me suis quand même rendus jusqu’à aujourd’hui. Cette semaine la femme de ménage va passer. J’espère que la pharmacie seras là ce matin. Encore souvenir de ces semaines passées en psychiatrie, c’étais long, si long… J’ai pas envie de suivre le fil de l’autodénigrement, parfois je trouve les gens si sur d’eux ça arrive souvent quand ils sont deux. Seul ils sont pas mieux que moi désemparé. Voilà! Je termine c’est la chute, l’épilogue, la conclusion. À la prochaine je l’espère !!!

29/11/2023

 

Bonsoir! Bonjour ! J’espère que vous allez bien. Je pense à mes années infernales de chambreur c’était invivable mais diable j’ai survécu. Mardi déjà ça passe vite aujourd’hui j’ai rendez-vous avec l’ophtalmologue. Ça devrais aller. Je remercie ma lectrice privilégiée pour les bons commentaires sur mon livre. J’ai un autre projet en tête je vais débuter bientôt. Parfois je réalise que j’ai pas eu de grand frère, c’était moi le grand frère pas très très exemplaire.  C’est la nuit je reste debout pour vous écrire… Je baille, hier à la répétition je m’en suis donné à cœur joie dans le rôle de « bitch » de service. Les gens ont ris. Ces répétitions ça me demande beaucoup mais je veux tenir jusqu’à la fin. C’est une occasion d’écrire, aujourd’hui je vais aller à la librairie pour essayer de trouver quelque chose à lire, je sais déjà quoi. Rêvé que j’étais dans une salle de spectacle derrière moi y’avait une femme que j’apprécie je flirtais avec elle, sur la scène c’était un show de spoken word, la salle était bondé sur la scène y’avait un soleil intense éblouissant, un rond de lumière, un comédien a tiré le rideau en disant savoir ce qu’on vivait. J’essais de comprendre ce que ça dis ce rêve de gros soleil encore faut il croire que les rêves disent quelques chose. Je pense à Icare qui est monté trop près du soleil et qui a chuté quand ses ailes ont fondues. C’est un peu ça trop près du bonheur on tombe et on se fait mal comme si il fallait rester dans le malheur, la douleur. Comme vous voyez j’ai dormis ça m’a fait du bien , cette nuit j’ai pas de douleur à la fesse au dos et à la jambe, j’espère que ça guéris. “ Sunshine on my shoulder makes me happy, sunshine in my eyes can make me cry “- John Denver. Hier il a neigé elle est pas restée c’était juste une petite visite pour nous montrer ce qui nous attend. Parfois je rêve d’avoir une moto mais j’ai pas de talent pour conduire je me tuerais de toute façon c’est presque l’hiver c’est pas le temps. Hier soir j’ai bien soupé j’étais heureux. Voilà! C’est la chute, l’épilogue , la conclusion !!! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

28/11/2022

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce matin à la télé j’ai entendu une grande poète et deux romanciers qui donnent à tout le monde le droit d’écrire ! C’est bien même très bien ça chasse ma culpabilité. Je serais quoi sans l’écriture ? Sans la lecture ? Mort surement et ignorant. C’est la soirée de dimanche à lundi demain plusieurs vont faire du piquetage, la grève, hier avec l’ami on a un peu parlé de Karl Marx. Ce matin à la radio un historien parlais de la création du parti communiste ici au Québec des factions rivales dans ce parti qui n’a jamais réussis a s’unifier, des idéologies différentes je crois, moi j’ai toujours été à gauche mais y’a longtemps que je crois plus au grand soir. Quand j’y pense la Chine n’est pas un exemple, le Vietnam, la Corée du nord et le Cambodge aussi sans parler de Cuba et de la Russie. Ici c’est une sociale démocratie mais y’a encore du monde qui crèvent de faim pourtant on est un pays riche qui laisse ses habitants dormir dehors en plein hiver. Je suis de ceux là les pauvres, les indigents depuis longtemps pourtant… « Tant qui me resteras kèk chose dans le frigidaire… » je sais l’argent c’est important faut avoir manqué de tout et devoir cogné à la porte du presbytère à l’époque c’étais là qu’on s’adressais y’avait pas de banque alimentaire, ouais ! L’argent pourtant personne n’en a assez, des loyers trop chers des revenus trop bas, je comprend j’étais comme ça. J’ai peur d’avoir des problèmes parce que j’écris ça… Je sais pas si ça existe encore la Saint-Vincent-de-Paul surement y’a encore des pauvres, c’était déprimant de manger à la soupe populaire de se faire répondre avec mépris pour avoir de quoi à bouffer. Les fêtes de fin d’année qui arrivent, y’auras combien de malheureux, de tristesse, j’attend rien je préfère le spirituel, la solitude, la prière. J’ai pas de morale a faire a personne y’a quand même des gens qui souffrent. Je le répète et je persiste je suis de ceux là. Une chose qu’ils n’auront pas c’est ma capacité a rêver, c’est important, on nous appelle les pelleteux de nuages va pour ça! Voilà! C’est la chute, l’épilogue, la finale !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

27/11/2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je sais pas, j’attaquerais bien la poésie mais elle me laisse sans voix comme si j’étais arrivé au bout des mots. Au fond c’est toujours le temps qu’on prend a essayer d’écrire autre chose que des bêtises.

 

Et là verbomoteur c’est pas clair. En revenir, lire et partir dans des contrées d’insomnies, refuser de vivre le cauchemar. Le cycle épars de la mort n’être plus que cendre sans savoir.

 

Pute au calorifère en chaleur arrêter à l’écart sans savoir, la mettre bien profond comme au cinéma voir et verras en accord

 

Pourtant je sais plus ce que j’écris ce que je veux dire. C’est pas essentiel à la lecture je veux qu’on sois ému ça le feras pas, émotion maladive de la schizophrénie non pas grand poète mais grand malade.

 

S’atteler au non dit et lire entre les lignes l’échouerie totale a l’épreuve des mots toujours me taire où chercher le point sensible. Ils peuvent et veulent dans l’obscurité

 

Que de mots pour si peu.

 

Voilà c’est ça cette nuit la mauvaise poésie du « poète » fou.

 

Lentement j’avance j’aurai écris c’est tout ce que je peut dire. Je sais pas pourquoi je pense au co-voiturage, les gens aiment pas, pour me faire peur ils dépassaient à droite à toute vitesse c’est du ressentis de la peur mais puisqu’il faut vivre malgré tout j’étais heureux qu’on me laisse descendre de cette voiture j’ai encore le nom du gars en tête. Je suis devenus une personne qui fait peur aux enfants toujours le nez dans les livres comment dire qu’avec la lecture on brise les frontières, on entre dans l’univers de l’autre d’autre vies à tout les livres sans trop s’en faire on explore.  La fantaisie et la fantasmagorie ça réjouis les cœurs d’enfants. Je vous aurai permis d’entrer dans mon âme, de voir le bonhomme comment est son intérieur émotif. C’est toujours la nuit on arrive à minuit j’ai plus envie de jouer avec ma vie. Je sais pas si on peut appeler ce que j’écris un ouvrage, j’aimerais bien. En attendant je me serai calmé. C’est pour le mieux. Voilà c’est terminé c’est la chute, la finale, l’épilogue. Quelques mots encore le malaise est disparus. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bye !!!

26/11/2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir c’est très froid Je sais pas si les refuges sont ouvert. À la radio ils ont évoqué la chanson de Zebda, Le bruit et l’odeur, en parlant de la directive des bibliothèques de Montréal tu pue tu t’en vas dehors. J’y vais moins souvent maintenant j’ai peur de ramener des punaises. Hier j’ai regardé un match de hockey l’équipe locale a gagné en tirs de barrage. Je reviens j’ai dormis quelques heures. Toujours à la recherche d’ une façon de vous écrire mes émotions en ce moment je suis pas très ému y’a pas grand choses à dire. J’ai sortis le sac de chips B.B.Q. à l’ancienne comme c’est écrit d’autre diraient tu mange tes émotions pourtant… J’ai plus un rapport oral avec la bouffe j’aime bien me sentir la bouche pleine, c’est gênant. J’ai vidé et terminé le sac, ai ouvert la radio une émission de Radio-Canada en reprise, un chanteur avec l’accent du Lac Saint-Jean un gars de Saint-Prime. J’écris encore et toujours, une autre émission avec un écrivain qui donne des classes de maître que je devrais suivre mais que je ne ferai pas. J’écoute l’écrivain je me sent très sous-doué. Aujourd’hui je vais aller voir l’ami dans son centre hospitalier de soins de longue durée. L’orgueil va me tuer, sans aide j’essaye de faire les choses. L’émotion voilà… Je reste seul a vouloir je ne sais quoi, a taper des petits caractères d’imprimeries dans l’écran. Je suis déjà trop vieux pour débuter, je suis paralysé a écouter parler les écrivains, je suis pas dans un milieu académique. La première personne du singulier c’est impossible de m’en passer c’est un journal personnel, intime… Ne reste que narcisse qui se regarde s’écoute malheureux et son droit de se planter frette, net, sec. Je veux pas essayer d’avoir une bourse du conseil des arts, vraiment, j’ai pas assez de talent. Vous allez me dire il faut y croire…Pourtant le doute est la matière première, je sais rien, je connais rien, vous allez me dire de transformer ça en quelque chose de positif mais j’y arrive pas encore une fois. Voilà !!! quelques mots avant de finir. Je me questionne encore faut pas l’écrire. C’est la chute, la conclusion, l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

25/11/2023

 

Bonsoir ! Bonjour! Hier je me suis fait couper les cheveux et suis allé faire des courses. La douleur a ma fesse semble disparaitre, des années d’injection d’antipsychotique retard ça donne ça. Au supermarché la caissière s’est mise a fredonner un air inconnus. J’ai pas aimé ça c’est l’angoisse je crois, vendredi la semaine se termine, les syndiqués nationaux sont en grève. Sur Netflix ont vois des voitures, des gens qui fument d’autre qui se droguent je pense qu’ils font du placement de produit avec les automobiles. La série que je regarde se passe à Rome dans un campement de roulotes gitans. C’est toujours la nuit j’étais retourné au lit je me rappelle plus à quoi j’ai rêvé mais c’était angoissant. Comme toujours j’essais de vous dire… C’est pas simple je suis toujours dans cet état où je crois être envahis chez moi, ça se présente comme si on entrait quand je suis pas là et plaçait de petites choses que j’avais oublié je sais pas si c’est clair c’est ça la schizophrénie. J’ai fait le dépôt légal pour mes bouquins, écrire toujours écrire, j’entend un avion qui passe. Je me suis avancé j’ai dis aux voisins que dans deux ans j’irais à Rome, l’Italie c’est à voir. Maintenant je me tourne vers mon monde intérieur même si ce n’est que de ça qu’il s’agit, Ouais! Dans le concret je viens de prendre une douche et je me suis parfumé, plus tôt hier je me suis rasé j’aime bien les parfums ça me rappelle toujours les voyages. Le voisin a commenté mon livre il m’a dis l’avoir lu d’un trait ça lui a plu. J’aime beaucoup arriver à une édition papier je crois que ce sont de beaux objets. J’écoute mais je trouve pas pourtant j’ai pas tout dis. Hier j’ai téléphoné à la matriarche a peine si je lui ai parlé. Je termine et je vais lire le journal, l’ami m’a dis qu’il dormait bien, tant mieux… Mais oui je suis anxieux j’espère reprendre la marche pour me calmer. À un moment je vais aller à la librairie Gallimard sur la rue Saint-Laurent pour acheter un roman. J’essais de me souvenir de mes voyages ce ne sont que de petites choses. Voilà! Je termine, c’est la chute, l’épilogue, la conclusion, J’espère que ça vous plait. Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

24/11/2023

Bonjour! Bonsoir ! Je sais, je sais faut pas se plaindre faut être heureux malgré tout. Prendre l’écriture comme si on était incapable de vivre sans elle. Mais oui je pique ça à un autre, y’a des animatrices qui veulent nous en montrer comme les religieuses d’une époque, là j’ai des gros mots qui me viennent en tête. Je suis jaloux j’ai pas la carapace et le talent, la culture aussi j’ai trop lu trop vécu de vies, je suis devenus un vieux bougonneux à la première personne du singulier, rien de réjouissant. Je devrais me résigner et construire des tours Effel en cure dent où en bâton de popsicle. Encore une fois je sais, je sais que c’est une vieille image. Trop vieux pour la révolte, je me range pourtant je suis intranquille, anxieux, morose les temps s’y prêtent. Quand on pleure en regardant la parade de la coupe Grey ça montre la puérilité, la juvénilité de son être, des émotions à vivre devant les images de la guerre. Je suis choqué à l’os, choqué à l’os de la fesse, une douleur qui s’étire, a me demander ce que j’ai a dire d’essentiel pour survivre. Rien mais dont rien, a me dire que je devrais en finir, que je répète ad nauséam, on en veut pas de drame… Êtes vous heureux, heureuse ? Moi j’essaye j’y arrive pas toujours les grands intellectuels disent que je suis neurasthénique un mot passé de mode. En plus oui en plus on veux toujours que tu prenne un atelier et là je crache dans la soupe. Mes conneries je devrais les garder pour moi, me détacher de ce que j’écris, en inventer. Je sais pas pourquoi je m’entête a des entreprises pareilles me semble que je devrais pas m’auto-stigmatiser que j’ai le droit moi aussi. Je pense au rose en sachant que la vie c’est des nuances de gris. La réalité, ma réalité est pas si mal tant que je suis pas psychotique. Je reviens aux drames cette façons de les mettre en scène… Je suis tanné d’être un chien, un chien savant qu’il disait. J’ai pas a écrire tout ça gardez le pour vous, moi je l’étale… Ça m’enrage de savoir qu’il y a une façon de faire, je veux pas le savoir. Aujourd’hui je m’excuserai même pas, c’est ça écrire vous attendez surement autre chose, c’était ça, je reste là .

23/11/2023