samedi 15 juillet 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je vous écris de la nuit, cette nuit qui parfois m’ennuis. Le climatiseur ronronne hier les Alouettes le club de football a perdus. Moi j’étais assaillis par une grande fatigue je pensais aux amis en Floride. J’ai hâte à lundi je devrais avoir un autre projet d’écriture, je me croise les doigts. J’ai mis de la musique, écrire à la première personne du singulier ça a ses limites c’est toujours en soi qu’on trouve les quelques mots en cherchant dans un verbiage moteur. Le problème c’est de ne plus savoir quand s’arrêter il faut faire face à la nuit. Les agents immobilier sont passés par les bars qu’ont aimait fréquenté maintenant c’est devenus des condominiums, les bars ont disparus pour moi, il faut sortir de ces thèmes alcooliques ça sert à rien de toujours revenir à ça, faut savoir attendre la vie d’avant semblait tellement plus excitante quoi que maintenant le voyage est beaucoup plus présent, une photo d’un azulejo contemporain va illustrer ce texte, ma dernière marotte le Portugal adoré ces gens si accueillants.. Sortir de ma torpeur de cette idée de maladie qui n’est plus là cette nuit. La musique est sur les succès des années quatre vingt c’était hier. Et puis après ? Mais après quoi écrire au présent, aller en Grèce dans les îles faut savoir perdre son temps quoi que c’est très beau mes passions sont plutôt urbaine, Rio De Janeiro serait une destination, souvenir de ce chauffeur de taxi qui me nommait les colonies Portugaises. Avancer mon écriture de cette façon c’est difficile les mots s’enfuient, à la fin on verras bien. La nuit avance, le texte moins vite une pensée pour Hugo pour Flaubert c’est permis ! Ceux là qui ont fait la littérature, ceux là qu’on oublie pas. Bon ! On raconte ! On raconte le plaisir des voyages comment parfois les agents de bord sont désagréables mais on s’y fait… Voilà c’est une tentative de finale, c’est pas une partition faut trouver le sens, déjà vieux avec les textes on est rendus depuis longtemps à la vidéo, les jeunes faut les connaitres. C’est la chute, la conclusion, l’épilogue, quelques mots encore dans mon sac comme toujours c’est les remerciements d’avoir lu jusque là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! So long !!! Arrivederci !!! Obrigado !!! À la prochaine espéré encore et encore !!! Ciao !!!

15/07/2023  


jeudi 13 juillet 2023

 

Bonjour ! Bonsoir ! C’ était une nuit pleine de rêves après les orages et les alertes tornades de ce soir. Cherchez pas trop les changements climatiques ils sont là … Aujourd’hui la femme de ménage devrais passé hier un voisin m’a demandé si je m’ennuyais du Portugal c’était un si beau et si bon voyage, je me suis bien débrouillé. Je vais plutôt prendre la direction de mon monde intérieur de ce souffle émotif perpétuel je pense au patriarche qui disait que son père notre grand-père cherchait le mouvement perpétuel… Dans mon cas l’émotion perpétuelle seras là tant que j’aurai un souffle. Si on parvenait a faire de l’énergie avec ces états  d’âme ce serait très écologique sans parler de l’économie. Animer donner vie à une cafetière, un grille pain où une bouilloire avec le spasme des pleurs on pense à mourir de rire aussi les derniers éclats et larmes qui éclairerais une pièce on en redemanderais.. Les émotions c’est de l’énergie on pourrais s’y mettre en groupe pour faire avancer un autobus si quelqu’un s’avisait de demander pourquoi tout ce monde pleure la réponse serait là ça ferait des deuils payants. Je parlerai pas des toux et des vents de toutes sortes qui eux aussi pourrais être réutiliser ça pourrais aussi s’appeler la dynamique des pleurs. On aurais plus besoin des sirops de toutes sortes ont tousserais tout notre saoul et assez pour animer les glandes lacrymales qui donneraient une énergie a recharger les batteries, on serait d’une énergie inconsciente a réanimer la psyché. Je pense aussi au stimulant lavage de dents qui comme une dynamo procurerais l’énergie nécessaire à une radio. Tout ça ça grouille ça bouge c’est vivant on pourrais avoir une façon d’accumuler simple, je parlerai pas de vos pompes matinales qui animeraient votre rasoir. Ça pourrais aussi servir l’hiver une fois transformé en chauffage d’appoint J’oublie pas le souffle que ça prend quand on se mouche ça pourrais servir a charger une dynamo, c’est pas vraiment de l’énergie propre mais enfin ! Tout ça a partir du corps humain. Voilà j’espère que vous prenez pas tout ça au sérieux c’étais juste pour rire un peu qui… Non! J’arrête là, comme toujours c’est la chute, la conclusion, l’épilogue je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! J’espère que vous avez aimé ça !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

14/07/2023


mercredi 12 juillet 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Jeudi jour de paye pour les honnêtes travailleurs dans le temps j’allais à la Brasserie des Seigneurs entre le boulevard du même nom, le chemin Gascon et l’autoroute vingt cinq et je buvais de la bière inconscient de l’ivresse c’est un manège qui a duré longtemps disons que c’étais le prélude à la folie à la schizophrénie. La gang s’est défaite et moi j’ai été envahis par un lourd sentiment de solitude, sans loyer, sans argent et l’angoisse qui me rongeais. Longtemps j’ai fréquenté les copains avec les mêmes mauvaises habitudes on dis bien qui se ressemble s’assemble. J’ai commencé à me rétablir quand j’ai cessé les mauvaises fréquentations et que je n’ai pas pris mon premier verre. Maintenant je suis retraité ça va mieux j’essais d’aider mon prochain. Je pense au arrête de boire de Rock et belles oreilles (161) Arrête de Boire (Remix) : Rock et Belles Oreilles (RBO) - YouTube ça se veux drôle a première vue mais si on y pense c’est assez épeurant et dramatique c’est assez affolant de voir qu’on peux plus arrêter… Le jeudi quand on me payait je rentrais prendre une douche et me changer pour aussitôt descendre dans le bas de la ville et entrer au bar et boire. Ce soir je vous raconte rien d’édifiant j’achète quand même l’idée que c’est une maladie. Quand j’étais saoul mort on me laissait pas m’accoter sur la table pour cuver mon alcool. J’ai trop bu parce que j’étais alcoolique ? Où je suis alcoolique parce que j’ai trop bu ? Enfin l’idée c’est de pas en prendre. Je suis heureux abstinent mais j’ai de la peine d’avoir vécu une vie désorganiser de n’avoir su rien bâtir je suis pas Charles Bukowsky… Je comprenais rien, je comprenais pas que toute mes mauvaises actions étaient du à la consommation d’alcool et de drogue à la fin j’en prend toute la responsabilité ma vie s’est défaite à partir de mon adolescence j’ai jamais su devenir un homme. Voilà ! Je devrais pas parler de ces choses là aujourd’hui j’ai pas bu et j’espère que ça va continuer comme ça. Je me rétablis toujours un peu plus chaque jour. Comme toujours c’est la chute l’épilogue la conclusion, je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bye !!! Arrivederci !!!

13/07/2023


mardi 11 juillet 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je m’adresse ici à ma lectrice érudite des impatients qui me suis elle aussi de près juste lui dire merci pour ses courriels encourageants. Mercredi déjà! Je suis pas mal désoeuvré. Je viens de manger un chausson aux pommes, je sais pas si je vous ai déjà raconté qu’un temps je boycottait les produits où on retrouvais des pommes à cause du sort qu’on faisait aux cueilleurs, je me rendais là avec toute ma bonne volonté en travailleur honnête on ne me gardais jamais, j’ai jamais su pourquoi ça fait que les pommes très peu pour moi j’ai aussi la même expérience avec les fraises et les bleuets, rien de très payant en si peu de temps adieu travailleurs des champs après on se demande pourquoi y’a personne pour la cueillette on exploite les sud-américains. Peut-être que c’est ma méconnaissance du travail agricole au fond je suis essentiellement urbain. J’entretien pas de potager et les plantes que j’essais de garder chez moi fanent toutes. Je pense à Lenny de l’œuvre de Steinbeck Des souris et des hommes, on va tu n’avoir des tites souris ! ?  À l’époque de la crise de vingt-neuf, ils jumpaient les trains pour aller travailler dans les grandes exploitations agricoles de l’ouest américain. J’en connais qui allaient au tabac en Ontario pendant qu’ici dans Lanaudière près de Joliette on manquait de travailleurs. Le tabac je sais pas ce qui a remplacé sa culture, on suivait le temps des récoltes une après l’autre… C’est dire comment parfois c’est difficile de gagner quelques dollars et ça vous enlève toute envie de jouer dans la terre. Je deviendrai pas maraîcher . Je reste chez moi les cultivateurs engagent pas, j’en connais d’autre aussi qui ont tenté un retour à la terre loin de la ville comme on pouvais s’y attendre ils ont pas réussis. Mon histoire avec l’agriculture c’est toujours la même, « ça chauffe ça chauffe moé j’aime ça l’agriculture va falloir que j’arrose ça plusieurs fois par semaine » Pierre Harel. J’ai jamais fait les foins j’étais trop jeunes pour soulever une balle de foin et j’étais incapable de conduire un tracteur. Voilà pour ma chronique agraire, aratoire ? C’est la fin la chute la conclusion comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là. Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Arrivederci !!! Obrigado

12/07/2023

 


lundi 10 juillet 2023

 

Bonsoir ! Bonjour! J’espère que vous allez bien. Je salue bien bas la lectrice qui prend la peine de me commenter elle donne vie à tout ce que doit être la « littérature » un échange. Merci! Cette nuit comme toujours je cherche mon propos. Je pense à mon premier resto à Porto je suis tombé sur des gens sympathiques qui m’ont servis la célèbre Franceshina le repas typique de Porto. J’essais de me trouver une destination pour l’an prochain cette fois ci j’aimerais  bien le Vietnam où la Thaïlande mais accompagné, c’est encore loin je verrai… Je pense aux changements climatiques c’est rien d’attirant. Bon ! J’ y vais maintenant dans l’ordre de l’émotion comme toujours j’essais de nommer cette émotive précarité, cet état d’esprit que les psys se plaisent à analyser ce versement presque déversement dans l’oedipe devant l’écran, les mots qui me renvoient la balle et que j’essais de dire et d’écrire, sans pouvoir le suivre je pense au philosophe Deleuze, l’anti-oedipe un concept très compliqué pour moi. Enfin comme toujours chez les plus récents psy et philosophes il est question de sexualité disont que je n’ai plus cette vie là je la trouvais malheureuse et douloureuse. Je crois qu’il est possible de se rétablir de se réaliser sans avoir une vie sexuelle en analyse transactionnelle on parle de sublimer… J’ai longtemps été à la recherche d’une partenaire je manquais de subtilité mon corps transpirais le désir… Tout ça c’est terminé maintenant je m’abstiens tout ça c’est de l’ordre de la confidence. Je peux pas écarter Narcisse avec qui j’ai longtemps partagé dans les bars à miroir, mon soliloque se faisait des commentaires devant mon reflet, ça me menait que dans la folie la schizophrénie plutôt que l’oedipe. Combien de temps combien de mots avant de faire le saut vers l’antithèse l’anti mots ne vivre que le sursaut d’un noyé à l’eau un malheureux plein pot une peau sur le dos une envie un désir un défaut. Voilà! On y est presque, c’est lourd ce que je vous écris cette nuit, je pense à ce miroir tellement présent chez les toxicomanes, il deviens tordus et distordus. N’empêche la douleur ne disparait qu’un moment. C’est la chute, la conclusion, l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! N’ hésitez pas à me communiquer votre appréciation. Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

11/07/2023


 

Bonsoir ! Bonjour ! Je continue a écrire même si ce que je ressent est négatif. Je continue en sachant pas comment continuer. J’ai le sentiment d’être connus mais négativement. Je vous raconte ça a partir de mon débarquement en avion, pas un bonjour un au revoir où un merci je trouve ça triste je l’aimais bien cette compagnie aérienne. Enfin je vais me concentrer sur les marques d’affections des gens que j’ai rencontré, je pense à cette jolie femme au musée à Lisbonne gentille et sympathique… Je vais essayer d’en revenir de vous écrire du positif. La tête me tourne. Je pense à toute cette paperasse que j’ai signé pour qu’on se serve de mon image c’est probablement pas aussi regardé que je le crois mais ça nourris ma paranoïa. Hier j’ai regardé l’émission des racines et des ailes, de beaux paysages, un excellent regard sur les artisans du Rhône. Mon premier voyage en France était dans cette région là, je me souviens bien mais pour l’instant j’ai des souvenirs plus frais du Portugal. Je pense à ce sympathique monsieur qui a trouvé le restaurant où j’allais avec le GPS de son téléphone j’y étais presque. Je crois que je vous l’ai déjà raconté. Je me souviens pas vous avoir dis que j’étais passé à Fatima en autobus je suis pas descendus y’en avait que pour cinq minutes mais non y’a pas eu de miracles. Entre Porto et Lisbonne sur les bords de l’autoroute on peut voir des oliveraies c’est très beau. Je pense à ça le long de l’autoroute c’est pas comme ici dévisagé par des panneaux publicitaires. Les commis à la réception du Sana Rex sont très serviables quand je suis arrivé, à ma demande on m’a tout de suite indiqué l’excellent restaurant Santa Marta de cuisine traditionnelle c’étais très bon. Du poisson … C’est la nuit je vous écris dites moi si ça vous intéresse encore, je suis à court de mots. Quelques mots encore avant de terminer la nuit m’auras toujours fasciné. Je reviens au mépris en sortant de l’avion pour moi c’est une forme de stigmatisation… Voilà ! Je suis rendus à la conclusion à la chute à l’épilogue j’espère que ça vous plait n’hésitez pas a m’écrire. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Obrigado !!!

10/07/2023

 

 


samedi 8 juillet 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Voilà je suis debout, J’ai rêvé je cherchais quelqu’un pour compléter un trio de la préhistoire quand je suis près du but je me réveille, je suis dans une sorte de cité quadrillé avec des méandres à la parisienne. Quand j’y pense bien c’est Paris la plus grosse et grande destination touristique au monde, les plus riches y ont tout simplement un pied à terre, de savoir ça m’enlève le désir d’y retourner. Je crois que ma prochaine destination ce seras en Asie ça coûte rien de l’écrire en attendant je me remémore mon séjour au Portugal. Porto et Lisbonne des villes pleines de charme la balade en Tuk-Tuk dans le vieux Porto je me suis un peu fait brassé mais ça valait le coup, voilà mon âme se ferme deviens muette c’est toujours la même maudite blessure cette balafre derrière mes lunettes qui saignait et personne ne s’arrêtais je croyais que j’allais mourir c’est une sorte de stress post-traumatique. J’ai eu peur mais peur ça fait longtemps mais je m’en souviens encore. C’est ça qui me parle un discours d’angoisse permanent, j’aurai essayé de vivre jusque-là voilà pour l’angoisse que je me fabrique. Schizophrénie ! Mais c’est pas sans raison après cet accident le reste n’a été que folie jusqu’à aujourd’hui. La plaie physiquement il l’avait réparée mais pour le traumatisme on a laissé seul le pauvre enfant que j’étais ça m’a toujours hanté, l’abandon. Je pensais terminer ces écritures mais j’ai encore du jus. Parfois j’ai envie d’en finir de tout sacrer ça la et me laisser mourir.  Toujours mais toujours la tête habitée par ce babillage inutile, je laisse aller y’a déjà trop longtemps que ça m’occupe et me préoccupe. Cette nuit le climatiseur est bien utile, c’est frais. Ce sont de vieilles histoires que je vous raconte mais c’est la trame de ma vie, ce jeune joueur de football à l’urgence et ses membres cassés il en rigolait. Je vous aurai écris de ma veille nocturne, quelques mots encore je cherche à vous dire c’est pas trop profond ça reste en surface. Donc c’est un peu ça mon inconscient avec les urgences d’hôpitaux et les ambulances, je suis en rétablissement je n’y vais plus, il était temps. C’est la chute, la conclusion, l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À la prochaine je l’espère !!!

09/07/2023