Bonsoir! Bonjour ! C’est samedi, fin de semaine
qui commence… L’équipe locale a gagné de belle façon hier. Je me prépare un
café… Une victoire c’est toujours un petit bonheur « Vos bras meurtris portent
le flambeau ». Encore cette nuit c’est une tentative, j’essais de vous
dire mon senti mais je manque de mots pourtant je suis pas analphabète… C’est
difficile de dire l’émotion… Je plonge au fond de mon âme en pensant à vous
tous… J’arrache le senti c’est comme de l’eau qui me qui me glisse entre les
doigts… Ce serait simple de vous écrire tout ce qui me passe par la tête mais
ce serait pas « beau ». Cette nuit y’a une odeur de cigarette, je
pense à toute ces nuits passées à danser à go-go, je construisais rien… Aujourd’hui
je ne danse plus je suis plus capable… J’ai le souvenir de la fête des soixante
ans de mon lecteur technicien à la Rolls-Royce c’était amusant… Un autre propos
le monde interlope a pas cessé de faire des affaires pour cause de pandémie, on
est déjà au milieu du mois d’août , soudain j’ai peur j’ai donné mon adresse à
quelqu’un pourtant je devrais pas m’inquiéter… L’entraineur de l’équipe locale a eu un
malaise à la poitrine, il a eu de bon soins il devrait se rétablir rapidement,
j’aime bien ces matchs en après-midi… Je fouille dans mon âme, dans mon senti
quand j’ai pas mal je suis muet c’est quand même pas l’allégresse… Je vous
écris de la nuit, dehors c’est calme plusieurs n’ont plus de fond et vont
essayer d’emprunter aux « amis » pour calmer leurs habitudes. J’ai
pris une douche, je vous l’écris c’est une espèce de manie, je sentais l’écurie
me suis poudré et parfumé, ça fait du bien… Ce matin à la télé c’est l’émission
des petits trains français, j’aime bien… Quand je m’arrête j’écoute ce que ça
dis c’est le silence c’est presque zen… J’espère que vous avez compris que je
parlais de mon brouhaha intérieur habituel… Je pensais au talc pour les
sportif, les sports athlétique, j’en ai pas trouvé à la pharmacie j’ai acheté
de la poudre pour bébé ça fait la job… Un petit mot pour ma lectrice
photographe, j’espère que tout va bien pour le retour à l’école des enfants, j’embrasse
tout le monde très fort… Bon! C’est le baroud final, je pense à tous ces jeunes
fous qui se rassemblent et ne se couvrent pas, ne respectent pas les consignes,
leurs actes suicidaires ça me dérange pas mais quand ils infectent des
personnes qui l’ont pas demandé c’est autre chose… Faudrait les détromper ils
sont pas invincibles. Ouais! Comme d’habitude je sais pas comment terminer, j’espère
que ça vous plait… Voilà!
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! C’est la chute l’épilogue
la conclusion on y est presque, je vous laisse avec mes sentiments les
meilleurs, ça ressemble à une lettre de secrétaire. À la prochaine je l’espère !!!
Ciao !
Bonsoir !
Bonjour ! J’ai mal regardé l’heure je croyais pas qu’on était encore dans la soirée.
Le climatiseur s’est arrêté… Je pourrais en faire un personnage principal avec
ce que font les gens je crois pas qu’on soit à bout de la covid-19… Je pense à
la super-maman dont s’étais l’anniversaire de mariage. Je les félicite tous les
deux… Je me suis préparé un café ce matin je vais faire des courses au
supermarché. Je suis toujours étonné de voir comment les gens agissent comme
des animaux… L’ancienne voisine est passée sur la passerelle bien qu’elle n’ais
pas d’affaire là… Vendredi, l’équipe locale joue cet après-midi je
crois qu’il y a plusieurs lecteurs lectrices qui sont encore en voyage, je sais
pas pourquoi je pense au beffroi de Lille on retrouve ça surtout dans le nord
de la France… Je me range du côté de ma lectrice privilégiée, je partirai pas
de sitôt… Mais il faut bien rêver… Sarbacane c’est le titre d’un cd de l’auteur
compositeur interprète Francis Cabrel je l’aime bien à l’époque où les copains
m’hébergeaient je l’écoutais sur un walkman ça me détendais, j’en pleurais
presque… Cabrel c’est le sud moi c’est le nord… J’entends le train… Dans le corridor ça
circule avec des bouteilles on prend sa petite bière du week-end… J’ai rendez-vous
téléphonique lundi matin avec le médecin j’ai un problème je sais pas si il va
pouvoir faire quelque chose… Cette nuit le studio est humide, j’essaye de vous
faire un portrait de mon état d’esprit… J’ai mis tout ce temps à me rétablir et
bientôt déjà ce seras la fin… Je disais des animaux! Ils gueulent dehors j’ai
pas le contrôle là-dessus. Y’a longtemps déjà on me racontais que certains
édifices étaient pour les cinquante-cinq ans et plus, je suis rendu à soixante-quatre
ans et mon loyer est subventionné heureusement… Bon les bars sont fermés, on
pense à ouvrir des ressources pour une consommation d’alcool contrôlé voir pour
une réduction des méfaits à ce que les gens boivent pas de la merde… J’ai
connus des alcooliques actifs qui en sont mort c’était terrible leurs amour de
la bouteille… Cette nuit il fait pas trop chaud c’est pas trop humide… À toute
les fois que je vous écris je tente la même chose vous décrire vous nommer mes
émotions mes sentiments, c’est pas facile les métaphores, les figures de style
c’est pas simple… Quand même je veux une écriture authentique … Je suis content
j’ai dormis un peu et je réussis à vous écrire… Quelques mots encore pour une
chute décente, la même chose voilà mon personnage à l’air frais qui reviens, il
ronronne et ronronne… Je veux pas finir de la façon habituelle, je pense à des
amies d’enfance que je ne reconnaitrais pas… Voilà je vous aurai encore une fois
écrit la mise-en-scène de ma vie. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine je l’espère. Voilà c’était l’épilogue, au revoir!!!
À bientôt!!! Encore merci beaucoup!!!
Bonsoir! Bonjour! L’équipe locale a perdu ce soir,
déjà jeudi demain. J’ai pris une douche avant le souper, le climatiseur me
donne des courbatures. Je me soigne avec des tylenol, la pharmacie peut faire
de magnifiques poèmes avec le nom des médicaments… Me voilà de retour ai croqué
du roi Lion ne me gronder pas j’ai appris comme ça! Une pensée pour les amis
Libanais pour les secouristes partis les aider,on fait une courte prière faute de pouvoir y aller, de toute façon on
nuirais plus qu’autre chose…Cette nuit il fait très chaud c’est difficile pour
le climatiseur…J’essais d’y aller moins
vite d’écouter ce que dis mon cœur. Je remercie tous ces gens qui marquent
avoir aimer et les autres qui font des commentaires… Je sais pas si ça serais
très cher de louer une chambre d’hôte en Provence et d’y passer quelques mois
voir si la magie de Pagnol fonctionnerais… Ce serait pas pour tout de suite on
peut pas encore partir facilement… Je me vois très bien avec mon calepin de
notes sur une terrasse dans un village accueillant essayant de prendre le rythme
de l’endroit en écoutant la cigale… Presque aux antipodes je pense à Cuba La
Havane une casa particular ça aussi ce serait bien mais y’a toujours cette
covid-19… Partir toujours partir même si on ne parle que le sabir avec quelques
soupir et des souvenirs à retenir et vieillir une mauvaise affaire à sentir… C’est
jeudi je me crois déjà dans le week-end. Allez j’y vais encore avec mon senti j’ai
pas un sentiment d’urgence pour vous écrire cette nuit, le poulet que j’ai
mangé hier avait quelque chose de provençal… Pour l’émotion le sentiment j’écoute
j’entends rien, suis sec sans larmes… Cet état je peux presque dire qu’il est
confortable… Cette nuit y’a un parfum de
café de mail de gare, ça sent bon… Le climatiseur est passé à un autre réglage
pourtant je lui avais pas touché… Je l’ai redémarré… C’est bon c’est frais j’aime
bien la solitude de la nuit accompagné par le ronronnement des machines de
confort… Je me rappelle ces sorties d’un bar à une brasserie à une discothèque
à un bistro je sais pas ce que je cherchais moi peut-être… J’attendais souvent
quelqu’un qui ne venait pas seul j’ étais triste et quand il était là je ne décollais pas… Des
chums de boèssons… Je croyais que le climatiseur était congelé mais non c’est
juste l’humidité. Je l’ai mis sur pause. Voilà ! Je suis presque à la
chute, à l’épilogue, ce que je vous raconte ça s’est passé quand même assez vite,
j’ai changé de vie et j’ai pas vue le temps passé… Comme toujours j’ai de la
difficulté avec la conclusion,l’émotion
elle est pas là ne me demandez pas pourquoi. J’espère vous avoir fait plaisir
avec ce texte, je termine bien éveillé… Comme toujours je vous remercie d’avoir
lu jusque-là !!! Lâchez pas on y est, à la prochaine je l’espère !!!
Bonsoir !
Bonjour ! Voilà un autre texte, je regarde des téléséries en pensant aux
rédacteurs, aux scripteurs… En y pensant bien les médias c’est aussi une
affaire d’écriture. Je pense aux analphabètes y’en a beaucoup, des maisons, des
appartements sans un journal, sans un livre… J’ai eu et j’ai
encore tant de plaisir à lire et à écrire comme j’ai pas étudié j’ai pas eu la
chance de fréquenter un milieu « intellectuel ». J’ai bien essayé
mais j’y suis pas arrivé, les études s’accordaient mal avec mes habitudes… Je
vais y aller avec mon senti, je pense à ma fratrie à mon lecteur de
Deux-Montagnes avec qui j’échangeais sur le bonheur à mon âge de n’être pas
trop malade…
Les mots sont dur
Les mots sont doux
Les gardés pur
C’est tiguidou
Y’a rien de sur
C’est comme les poux
Leur piqure
Sans dessus dessous
La rimaille l’azur
C’est pour vous
Je voudrais bien écrire des chefs d’œuvre sans trop y
prétendre… Je crois que je vous l’ais déjà écris je suis un faiseur solitaire.
J’aurais tant aimé être un artiste comme dans la chanson mais ce sont des
textes de confinements,je suis enfermé
chez moi j’ose pas trop sortir seul… Je pense à la deuxième vague de la
COVID-19… Parfois j’en veux aux gens qui ont réussis enfin ça sert à rien ma
vie est presque finie. Pauvre vieux « poète » sur le déclin, la
poésie c’est pour la jeunesse et son exubérance… Encore, le vieux poète interné
on lui rendait visite pour qu’il récite quelques un de ses mauvais vers, la
muse était partie, la mélancolie aussi il récitait la mauvaise poésie de son
confinement… Mon confinement est volontaire je veux pas prendre la chance d’être
infecté… Mon loyer est payé, souvent ceux qui disent qu’on respecte pas leurs
droits ont pas remplis leurs devoir, ils ont même empiété sur la vie privée du
voisin… J’ai enlevé mon t-shirt ça fait très prestataire… Lavé la vaisselle… Je
sais pas pourquoi j’écris plus tous ce qui me passe par la tête, la peur de
blesser quelqu’un peut-être… Je sais pas si vous appréciez mes vers de
mirliton, on parle pas du grand art, je vous écris ça en pensant à écrire de la
poésie plus contemporaine sinon plus savante
Recule mon chien
Ton plateau ta moulée
C’est les miens
Les grands mots ont sauté
Bestial
Faute de spatial
Jouez le jeu,
le confinement c’est près de la réclusion avec les fers aux pieds. Je suis pas
dans une cellule c’est permis d’écrire, je suis libre si c’était pas de la
COVID-19 j’irais où je veux… Bon! J’essaye de trouver une conclusion qui n’a
pas mal vieillis, une nouvelle musique, ça semble impossible… Ce matin à la
radio y’avait de bons texte… Voilà! C’est la conclusion, c’est pas un grand cri
à peine un murmure j’en profite pour tous vous saluer. Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère !!!
Bonsoir !
Bonjour ! Je suis toujours heureux de revenir vous écrire… J’ai reçu mes
cartouches d’encre, c’est bien… Je suis bien réveillé, à la radio j’ai entendu
un comédien dire qu’il fallait se demander ce qu’on allait amener à l’édifice
de la littérature (l’écriture) avant de commencer à écrire. Je trouve que ce
sont des propos bête, Victor Lévi Beaulieu écrirais,on le sait jamaisavant toujours après… Je démarre de belle
façon ce soir j’espère pouvoir garder le rythme…. Y’en a toujours un pour
attiser la polémique je préfère écrire avant d’être sénile. On avait offert un
ensemble de calligraphie au patriarche il est mort sans écrire un mot… J’ai le
thème musical de la série sur les cent plus beaux lieux français qui joue dans
ma tête… J’ai décidé d’économiser l’ encre je vais tester quandj’aurai besoin d’utiliser, quand j’écris ça
je suis trop concret j’arrive pas au senti, à la (poésie)… C’est pas tellement
que je veux être vaporeux, pelleteux de nuages écrire ça demande toujours du
solide… J’ai le nom de plusieurs écrivains et poètes, je pense à un en
particulier que j’ai rencontré y’a longtemps il était fort sur la divine
bouteille… Je pense aux moments sur radio centre-ville à mes participations à
l’émission Folie-Douce. Tout a changé… Même quand on se rend pas compte qu’on
est une loque on bois… C’est mal écris , on est une loque on bois et on se
demande ce qui ne va pas… L’alcool est pas toujours aidant dans la création… Je
reste pas là-dessus j’en parle trop… Je pense au gars qui ramassait des
contenants consignés, il disait ne vivre que de ça je le crois pas, ça fait pas
le compte… Ouais! Je suis probablement à côté de la track… Cette
nuit j’ai pas de douleur… J’ai dormis un peu hier soir j’ai regardé une
émission sur le château de Pierrefonds en France, son créateur à le même
patronyme qu’un praticien ressource à la retraite de ma connaissance… Je pense
aux trains aux petites lignes françaises qui semblent bien intéressantes, au
train à grande vitesse Paris-Bordeaux à cette technique extraordinaire avec
laquelle ils ont soudé les rails… C’est pas mal transport mon affaire de
l’avion au train je laisse les automobiles à mon lecteurcollectionneur de Deux-Montagnes. Je vais
vous illustrer ça avec le hall de la gare de New-York… Parfois la nuit je suis
moins paranoiaque … Quand j’écris ça c’est comme si j’attirais les souffrants qui
gueulent dehors à s’en fendre l’âme… Je sais, déjà y’en a qui sont fauché comme
les blés va falloir qu’ils commencent leurs petits traffic leurs petits
emprunts, c’est long longtemps… C’est toujours mon journal du confinement ici
tout est « normal » les pauvres restent pauvre pour certains la vie
reste chienne et ça continue comme ça déjà jusqu’à la fin du mois. Voilà! C’est
la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bonsoir !
Bonjour ! Me v’là… Je me suis couché j’arrivais pas à dormir… J’ai
hâte au prochain match de hockey de l’équipe locale. Je sais bien que les
sportifs sont pas fort sur le senti, je crois qu’ils appellent ça de la
sensiblerie… Je me souviendrai toujours du grand Guy Lafleur qui lis ses poèmes
à la télévision… Je sais pas si y’a des joueurs de hockey qui deviennent
peintre le contraire existe y’a un grand peintre qui s’est inspiré des couleurs
de l’équipe locale… Cette semaine j’attends des cartouches d’encre que j’ai
commandé, me voilà dans ma soixante cinquième année…
Et le temps
Qui dis va t’en
Avec le vent
Pourtant
Plus lentement
Distant
Choquant
S’éloignant
L’adverbe tannant
Écoeurant…
Je vous
raconterai pas le dernier match mais ça a rendu beaucoup de monde heureux, un
petit baume sur une grosse plaie… Il est encore temps pour les vacanciers de s’asseoir
dehors et de profiter du soleil… Ça m’a pris du temps avant de comprendre que
la rondelle allait plus vite que les joueurs… Bon! C’est assez de sport pour ce
soir… Je continus à regarder les émissions sur la France, j’ai bien peur de
paspouvoiry aller avant longtemps. Je suis toujours ému
d’entendre parler de la résistance française à la deuxième guerre mondiale, d’avoir
le privilège d’aller dans ce pays, j’ai le souvenir du musée de Besançon… J’ai
été malade, la peur, la nuit m’empêchait de dormir comment vous dire cette
invivable angoisse, l’oreille collée sur les murs à attendre un ennemi qui n’existe
pas, c’est le plus dangereux la folie
perdus sans savoir où j’en suis rendus. Je vous raconte pas tout ce que l’angoisse
me faisait faire c’est horrible… J’espère avoir retrouvé un peu de sens vous
écrire permet ça, tout de même ça aurasété une drôle de saison… Je me vois dans le malaise de cette folie, la
fébrilité et l’impossibilité de dormir, malheureux rester coucher toute la journée…
Quand même j’ai essayé, je me suis battus dans la folie… Je crois qu’il y en a
qui partent en vacance d’autre en reviennent ça fait un lundi difficile… Je
pense à l’honnêteté, si j’étais vraiment honnête j’écrirais pas, je bosserais à
la sueur de mon front pourtant il ne me reste qu’un an avantla retraite… Encore faut-il que je me rende
là… Voilà! Quelques mots encore aujourd’hui je crois que je vais me payer une
poutine et un burger au restaurant… J’ai un restaurant en tête mais je me
rappelle plus son nom… Je vous termine ça après une douche ça fait du bien le
parfum européen… Jecherche l’inspiration
pour une conclusion, lundi la nuit dehors c’est silencieux, toujours une pensée
pour le Liban… Hier la voisine est revenue je sais pas pourquoi elle a pas les
clés et ils ont vidés ce qui restait… C’est l’épilogue comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! On y est pas tout à fait, à la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!!
Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je vous
présente une œuvre de l’artiste Robert Therrien , sans titre autre que celui de
cône plié, Therrien encourage les multiples interprétations de cette œuvre un
émail et cire sur boisde 228.6x 91.44 x
10.16 cm. Therrien est un artiste américain connu pour ses grandes sculptures,
il possède une maitrise en beau art de l’université de Southern California. En
1991 le musée de la reine Sofie a fait une rétrospective de son œuvre. Therrien
est décédé le 17 juin 2019 à 71 ans. Je sais pas trop quoi écrire quand je
regarde ce tableau, y’a quelque chose au-delà de la beauté, une sanguine
peut-être… Je pense au très beau musée d’art moderne de San Francisco où j’ai
vu cette œuvre. Je dirais qu’elle est dépouillé et unique… Je suis pas un
expert en art plastique quand je pense aux cônes c’est surtout ceux que je vois
dans les rues fermées de Montréal, les travaux d’infrastructure… Je vais
essayer de me diriger sur ce qui me touche… J’ai suivis les conseils de ma
lectrice retraitée du syndicat des enseignants du collège de l’Outaouais, je
regarde la série Marco Polo avec de magnifiques images… C’est la nuit, j’écris
j’essais d’exprimer mon senti… J’ai hâte de pouvoir partir en voyage de façon
sécuritaire. Je me vois faisant de l’auto-stop en Provence je suis trop vieux
pour ça. J’aimerais bien m’installer quelques mois dans un village pour écrire…
Pour l’instantj’essais de m’inspirer de
chercher les muses où je suis… Je pense à cette route en France bordé de
magnifiques et énormes platanes, j’aimerais bien la voir pour vrai. Je vous
parle pas du Liban, j’espère qu’il va sortir quelque chose de bien de ce chaos,
les corrompus il est temps qu’ils payent pour leurs agression sur le peuple… C’est
dimanche, j’ose pas sortir, je pense à ceux qui nous servent Jésus n’importe
comment, à toute les sauces, il mérite mieux que ça… Hier, c’était mon samedi
télé, y’a des émissions que je regardais pour une deuxième fois, elles sont
apaisantes… Je trouve pas, je trouve plus si ce n’est que ça vous aurez lu,
quelques pas je n’ai pas pu, c’est un cas un individu pourquoi j’ai vue… Pendant
ce temps-là la nuit avance je suis bien réveillé quelques mots encore pour
terminer, partez pas tout de suite même si c’est toujours meilleur réchauffé…
Nous y voilà la partie toujours la plus difficile, j’arrive pas à une
conclusion à un épilogue fort… C’est encore l’été je me tiens quand même
confiné, je minimise mes sorties… Je pense à ceux qui trop malade ne pouvaient
garder leurs jobs, ils avaient moins peur du chômage que le commun des mortels…
Moi j’écris et je travaille pour vous mes lecteurs… C’est presque terminé, y’a
un parfum de parmesan… Je pense à la bouffe italienne, spaghetti, lasagne,
pizza… Je termine là-dessus. Merci d’avoir lu jusque là !!! À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt !!!
Ciao !!!