jeudi 13 août 2020

sarbacane


Bonsoir ! Bonjour ! J’ai mal regardé l’heure je croyais pas qu’on était encore dans la soirée. Le climatiseur s’est arrêté… Je pourrais en faire un personnage principal avec ce que font les gens je crois pas qu’on soit à bout de la covid-19… Je pense à la super-maman dont s’étais l’anniversaire de mariage. Je les félicite tous les deux… Je me suis préparé un café ce matin je vais faire des courses au supermarché. Je suis toujours étonné de voir comment les gens agissent comme des animaux… L’ancienne voisine est passée sur la passerelle bien qu’elle n’ais pas d’affaire là… Vendredi, l’équipe locale joue cet après-midi je crois qu’il y a plusieurs lecteurs lectrices qui sont encore en voyage, je sais pas pourquoi je pense au beffroi de Lille on retrouve ça surtout dans le nord de la France… Je me range du côté de ma lectrice privilégiée, je partirai pas de sitôt… Mais il faut bien rêver… Sarbacane c’est le titre d’un cd de l’auteur compositeur interprète Francis Cabrel je l’aime bien à l’époque où les copains m’hébergeaient je l’écoutais sur un walkman ça me détendais, j’en pleurais presque… Cabrel c’est le sud moi c’est le nord…  J’entends le train… Dans le corridor ça circule avec des bouteilles on prend sa petite bière du week-end… J’ai rendez-vous téléphonique lundi matin avec le médecin j’ai un problème je sais pas si il va pouvoir faire quelque chose… Cette nuit le studio est humide, j’essaye de vous faire un portrait de mon état d’esprit… J’ai mis tout ce temps à me rétablir et bientôt déjà ce seras la fin… Je disais des animaux! Ils gueulent dehors j’ai pas le contrôle là-dessus. Y’a longtemps déjà on me racontais que certains édifices étaient pour les cinquante-cinq ans et plus, je suis rendu à soixante-quatre ans et mon loyer est subventionné heureusement… Bon les bars sont fermés, on pense à ouvrir des ressources pour une consommation d’alcool contrôlé voir pour une réduction des méfaits à ce que les gens boivent pas de la merde… J’ai connus des alcooliques actifs qui en sont mort c’était terrible leurs amour de la bouteille… Cette nuit il fait pas trop chaud c’est pas trop humide… À toute les fois que je vous écris je tente la même chose vous décrire vous nommer mes émotions mes sentiments, c’est pas facile les métaphores, les figures de style c’est pas simple… Quand même je veux une écriture authentique … Je suis content j’ai dormis un peu et je réussis à vous écrire… Quelques mots encore pour une chute décente, la même chose voilà mon personnage à l’air frais qui reviens, il ronronne et ronronne… Je veux pas finir de la façon habituelle, je pense à des amies d’enfance que je ne reconnaitrais pas… Voilà je vous aurai encore une fois écrit la mise-en-scène de ma vie. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère. Voilà c’était l’épilogue, au revoir!!! À bientôt!!! Encore merci beaucoup!!!

Bernard

Amusement


Bonsoir! Bonjour! L’équipe locale a perdu ce soir, déjà jeudi demain. J’ai pris une douche avant le souper, le climatiseur me donne des courbatures. Je me soigne avec des tylenol, la pharmacie peut faire de magnifiques poèmes avec le nom des médicaments… Me voilà de retour ai croqué du roi Lion ne me gronder pas j’ai appris comme ça! Une pensée pour les amis Libanais pour les secouristes partis les aider,  on fait une courte prière faute de pouvoir y aller, de toute façon on nuirais plus qu’autre chose…Cette nuit il fait très chaud c’est difficile pour le climatiseur…  J’essais d’y aller moins vite d’écouter ce que dis mon cœur. Je remercie tous ces gens qui marquent avoir aimer et les autres qui font des commentaires… Je sais pas si ça serais très cher de louer une chambre d’hôte en Provence et d’y passer quelques mois voir si la magie de Pagnol fonctionnerais… Ce serait pas pour tout de suite on peut pas encore partir facilement… Je me vois très bien avec mon calepin de notes sur une terrasse dans un village accueillant essayant de prendre le rythme de l’endroit en écoutant la cigale… Presque aux antipodes je pense à Cuba La Havane une casa particular ça aussi ce serait bien mais y’a toujours cette covid-19… Partir toujours partir même si on ne parle que le sabir avec quelques soupir et des souvenirs à retenir et vieillir une mauvaise affaire à sentir… C’est jeudi je me crois déjà dans le week-end. Allez j’y vais encore avec mon senti j’ai pas un sentiment d’urgence pour vous écrire cette nuit, le poulet que j’ai mangé hier avait quelque chose de provençal… Pour l’émotion le sentiment j’écoute j’entends rien, suis sec sans larmes… Cet état je peux presque dire qu’il est confortable…  Cette nuit y’a un parfum de café de mail de gare, ça sent bon… Le climatiseur est passé à un autre réglage pourtant je lui avais pas touché… Je l’ai redémarré… C’est bon c’est frais j’aime bien la solitude de la nuit accompagné par le ronronnement des machines de confort… Je me rappelle ces sorties d’un bar à une brasserie à une discothèque à un bistro je sais pas ce que je cherchais moi peut-être… J’attendais souvent quelqu’un qui ne venait pas seul j’ étais triste et quand il était là je ne décollais pas… Des chums de boèssons… Je croyais que le climatiseur était congelé mais non c’est juste l’humidité. Je l’ai mis sur pause. Voilà ! Je suis presque à la chute, à l’épilogue, ce que je vous raconte ça s’est passé quand même assez vite, j’ai changé de vie et j’ai pas vue le temps passé… Comme toujours j’ai de la difficulté avec la conclusion,  l’émotion elle est pas là ne me demandez pas pourquoi. J’espère vous avoir fait plaisir avec ce texte, je termine bien éveillé… Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Lâchez pas on y est, à la prochaine je l’espère !!!

Bernard

mardi 11 août 2020

Autrefois


Bonsoir ! Bonjour ! Voilà un autre texte, je regarde des téléséries en pensant aux rédacteurs, aux scripteurs… En y pensant bien les médias c’est aussi une affaire d’écriture. Je pense aux analphabètes y’en a beaucoup, des maisons, des appartements sans un journal, sans un livre… J’ai eu et j’ai encore tant de plaisir à lire et à écrire comme j’ai pas étudié j’ai pas eu la chance de fréquenter un milieu « intellectuel ». J’ai bien essayé mais j’y suis pas arrivé, les études s’accordaient mal avec mes habitudes… Je vais y aller avec mon senti, je pense à ma fratrie à mon lecteur de Deux-Montagnes avec qui j’échangeais sur le bonheur à mon âge de n’être pas trop malade…

Les mots sont dur

Les mots sont doux

Les gardés pur

C’est tiguidou

Y’a rien de sur

C’est comme les poux

Leur piqure

Sans dessus dessous



La rimaille l’azur

C’est pour vous

Je voudrais bien écrire des chefs d’œuvre sans trop y prétendre… Je crois que je vous l’ais déjà écris je suis un faiseur solitaire. J’aurais tant aimé être un artiste comme dans la chanson mais ce sont des textes de confinements,  je suis enfermé chez moi j’ose pas trop sortir seul… Je pense à la deuxième vague de la COVID-19… Parfois j’en veux aux gens qui ont réussis enfin ça sert à rien ma vie est presque finie. Pauvre vieux « poète » sur le déclin, la poésie c’est pour la jeunesse et son exubérance… Encore, le vieux poète interné on lui rendait visite pour qu’il récite quelques un de ses mauvais vers, la muse était partie, la mélancolie aussi il récitait la mauvaise poésie de son confinement… Mon confinement est volontaire je veux pas prendre la chance d’être infecté… Mon loyer est payé, souvent ceux qui disent qu’on respecte pas leurs droits ont pas remplis leurs devoir, ils ont même empiété sur la vie privée du voisin… J’ai enlevé mon t-shirt ça fait très prestataire… Lavé la vaisselle… Je sais pas pourquoi j’écris plus tous ce qui me passe par la tête, la peur de blesser quelqu’un peut-être… Je sais pas si vous appréciez mes vers de mirliton, on parle pas du grand art, je vous écris ça en pensant à écrire de la poésie plus contemporaine sinon plus savante

Recule mon chien

Ton plateau ta moulée

C’est les miens

Les grands mots ont sauté

Bestial

Faute de spatial

 Jouez le jeu, le confinement c’est près de la réclusion avec les fers aux pieds. Je suis pas dans une cellule c’est permis d’écrire, je suis libre si c’était pas de la COVID-19 j’irais où je veux… Bon! J’essaye de trouver une conclusion qui n’a pas mal vieillis, une nouvelle musique, ça semble impossible… Ce matin à la radio y’avait de bons texte… Voilà! C’est la conclusion, c’est pas un grand cri à peine un murmure j’en profite pour tous vous saluer. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard

lundi 10 août 2020

Gazou


Bonsoir ! Bonjour ! Je suis toujours heureux de revenir vous écrire… J’ai reçu mes cartouches d’encre, c’est bien… Je suis bien réveillé, à la radio j’ai entendu un comédien dire qu’il fallait se demander ce qu’on allait amener à l’édifice de la littérature (l’écriture) avant de commencer à écrire. Je trouve que ce sont des propos bête, Victor Lévi Beaulieu écrirais,  on le sait jamais  avant toujours après… Je démarre de belle façon ce soir j’espère pouvoir garder le rythme…. Y’en a toujours un pour attiser la polémique je préfère écrire avant d’être sénile. On avait offert un ensemble de calligraphie au patriarche il est mort sans écrire un mot… J’ai le thème musical de la série sur les cent plus beaux lieux français qui joue dans ma tête… J’ai décidé d’économiser l’ encre je vais tester quand  j’aurai besoin d’utiliser, quand j’écris ça je suis trop concret j’arrive pas au senti, à la (poésie)… C’est pas tellement que je veux être vaporeux, pelleteux de nuages écrire ça demande toujours du solide… J’ai le nom de plusieurs écrivains et poètes, je pense à un en particulier que j’ai rencontré y’a longtemps il était fort sur la divine bouteille… Je pense aux moments sur radio centre-ville à mes participations à l’émission Folie-Douce. Tout a changé… Même quand on se rend pas compte qu’on est une loque on bois… C’est mal écris , on est une loque on bois et on se demande ce qui ne va pas… L’alcool est pas toujours aidant dans la création… Je reste pas là-dessus j’en parle trop… Je pense au gars qui ramassait des contenants consignés, il disait ne vivre que de ça je le crois pas, ça fait pas le compte… Ouais! Je suis probablement à côté de la track… Cette nuit j’ai pas de douleur… J’ai dormis un peu hier soir j’ai regardé une émission sur le château de Pierrefonds en France, son créateur à le même patronyme qu’un praticien ressource à la retraite de ma connaissance… Je pense aux trains aux petites lignes françaises qui semblent bien intéressantes, au train à grande vitesse Paris-Bordeaux à cette technique extraordinaire avec laquelle ils ont soudé les rails… C’est pas mal transport mon affaire de l’avion au train je laisse les automobiles à mon lecteur  collectionneur de Deux-Montagnes. Je vais vous illustrer ça avec le hall de la gare de New-York… Parfois la nuit je suis moins paranoiaque … Quand j’écris ça c’est comme si j’attirais les souffrants qui gueulent dehors à s’en fendre l’âme… Je sais, déjà y’en a qui sont fauché comme les blés va falloir qu’ils commencent leurs petits traffic leurs petits emprunts, c’est long longtemps… C’est toujours mon journal du confinement ici tout est « normal » les pauvres restent pauvre pour certains la vie reste chienne et ça continue comme ça déjà jusqu’à la fin du mois. Voilà! C’est la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 9 août 2020

Amour


Bonsoir ! Bonjour ! Me v’là… Je me suis couché j’arrivais pas à dormir… J’ai hâte au prochain match de hockey de l’équipe locale. Je sais bien que les sportifs sont pas fort sur le senti, je crois qu’ils appellent ça de la sensiblerie… Je me souviendrai toujours du grand Guy Lafleur qui lis ses poèmes à la télévision… Je sais pas si y’a des joueurs de hockey qui deviennent peintre le contraire existe y’a un grand peintre qui s’est inspiré des couleurs de l’équipe locale… Cette semaine j’attends des cartouches d’encre que j’ai commandé, me voilà dans ma soixante cinquième année…

Et le temps

Qui dis va t’en

Avec le vent

Pourtant

Plus lentement

Distant

Choquant

S’éloignant

L’adverbe tannant

Écoeurant…

 Je vous raconterai pas le dernier match mais ça a rendu beaucoup de monde heureux, un petit baume sur une grosse plaie… Il est encore temps pour les vacanciers de s’asseoir dehors et de profiter du soleil… Ça m’a pris du temps avant de comprendre que la rondelle allait plus vite que les joueurs… Bon! C’est assez de sport pour ce soir… Je continus à regarder les émissions sur la France, j’ai bien peur de pas  pouvoir  y aller avant longtemps. Je suis toujours ému d’entendre parler de la résistance française à la deuxième guerre mondiale, d’avoir le privilège d’aller dans ce pays, j’ai le souvenir du musée de Besançon… J’ai été malade, la peur, la nuit m’empêchait de dormir comment vous dire cette invivable angoisse, l’oreille collée sur les murs à attendre un ennemi qui n’existe pas, c’est le plus dangereux  la folie perdus sans savoir où j’en suis rendus. Je vous raconte pas tout ce que l’angoisse me faisait faire c’est horrible… J’espère avoir retrouvé un peu de sens vous écrire permet ça, tout de même ça auras  été une drôle de saison… Je me vois dans le malaise de cette folie, la fébrilité et l’impossibilité de dormir, malheureux rester coucher toute la journée… Quand même j’ai essayé, je me suis battus dans la folie… Je crois qu’il y en a qui partent en vacance d’autre en reviennent ça fait un lundi difficile… Je pense à l’honnêteté, si j’étais vraiment honnête j’écrirais pas, je bosserais à la sueur de mon front pourtant il ne me reste qu’un an avant  la retraite… Encore faut-il que je me rende là… Voilà! Quelques mots encore aujourd’hui je crois que je vais me payer une poutine et un burger au restaurant… J’ai un restaurant en tête mais je me rappelle plus son nom… Je vous termine ça après une douche ça fait du bien le parfum européen… Je  cherche l’inspiration pour une conclusion, lundi la nuit dehors c’est silencieux, toujours une pensée pour le Liban… Hier la voisine est revenue je sais pas pourquoi elle a pas les clés et ils ont vidés ce qui restait… C’est l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! On y est pas tout à fait, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard


samedi 8 août 2020

Soir


 Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je vous présente une œuvre de l’artiste Robert Therrien , sans titre autre que celui de cône plié, Therrien encourage les multiples interprétations de cette œuvre un émail et cire sur bois  de 228.6x 91.44 x 10.16 cm. Therrien est un artiste américain connu pour ses grandes sculptures, il possède une maitrise en beau art de l’université de Southern California. En 1991 le musée de la reine Sofie a fait une rétrospective de son œuvre. Therrien est décédé le 17 juin 2019 à 71 ans. Je sais pas trop quoi écrire quand je regarde ce tableau, y’a quelque chose au-delà de la beauté, une sanguine peut-être… Je pense au très beau musée d’art moderne de San Francisco où j’ai vu cette œuvre. Je dirais qu’elle est dépouillé et unique… Je suis pas un expert en art plastique quand je pense aux cônes c’est surtout ceux que je vois dans les rues fermées de Montréal, les travaux d’infrastructure… Je vais essayer de me diriger sur ce qui me touche… J’ai suivis les conseils de ma lectrice retraitée du syndicat des enseignants du collège de l’Outaouais, je regarde la série Marco Polo avec de magnifiques images… C’est la nuit, j’écris j’essais d’exprimer mon senti… J’ai hâte de pouvoir partir en voyage de façon sécuritaire. Je me vois faisant de l’auto-stop en Provence je suis trop vieux pour ça. J’aimerais bien m’installer quelques mois dans un village pour écrire… Pour l’instant  j’essais de m’inspirer de chercher les muses où je suis… Je pense à cette route en France bordé de magnifiques et énormes platanes, j’aimerais bien la voir pour vrai. Je vous parle pas du Liban, j’espère qu’il va sortir quelque chose de bien de ce chaos, les corrompus il est temps qu’ils payent pour leurs agression sur le peuple… C’est dimanche, j’ose pas sortir, je pense à ceux qui nous servent Jésus n’importe comment, à toute les sauces, il mérite mieux que ça… Hier, c’était mon samedi télé, y’a des émissions que je regardais pour une deuxième fois, elles sont apaisantes… Je trouve pas, je trouve plus si ce n’est que ça vous aurez lu, quelques pas je n’ai pas pu, c’est un cas un individu pourquoi j’ai vue… Pendant ce temps-là la nuit avance je suis bien réveillé quelques mots encore pour terminer, partez pas tout de suite même si c’est toujours meilleur réchauffé… Nous y voilà la partie toujours la plus difficile, j’arrive pas à une conclusion à un épilogue fort… C’est encore l’été je me tiens quand même confiné, je minimise mes sorties… Je pense à ceux qui trop malade ne pouvaient garder leurs jobs, ils avaient moins peur du chômage que le commun des mortels… Moi j’écris et je travaille pour vous mes lecteurs… C’est presque terminé, y’a un parfum de parmesan… Je pense à la bouffe italienne, spaghetti, lasagne, pizza… Je termine là-dessus. Merci d’avoir lu jusque là !!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt !!! Ciao !!!

Bernard

vendredi 7 août 2020

Merci tout le monde


Bonsoir ! Bonjour ! J’ai sommeil, j’ai trop mangé de croissant… C’est officiel l’équipe locale s’est classé pour les éliminatoires, les gens sont heureux mais j’en ai vu qui respectaient pas les règles. Bon! Je me relève, j’essais comme toujours d’y aller avec mon senti. J’ai redémarré le climatiseur… Beaucoup de difficulté cette nuit… Je suis contant que l’équipe locale ais gagné, lentement je me réveille. Je remercie tout ceux qui m’ont envoyé des vœux de joyeux anniversaire… Bien que j’ais jamais joué dans une ligue organisé j’aime le hockey. À la fin de mon adolescence j’aimais regarder jouer l’équipe des copains.  Si je veux être franc je dirais que la « culture » m’intéressais beaucoup plus, littérature, peinture, sculpture, multi-média, malheureusement j’étais seul, parfois la musique nous rassemblait… Je pense aux rockers avec qui je travaillais ils levaient le coude solide… Moi aussi d’ailleurs, j’en suis devenus fou, psychotique. Je me rappelle avoir signé un lot de papier quand j’ai commencé à me faire soigner en psychiatrie. J’avais tellement peur j’aurais signé n’importe quoi, ce que j’ai fait , je crois. J’ai réussis à me réveiller c’est mieux… J’ai longtemps été crédule je croyais tout ce qu’on me racontais comme si c’était possible d’être payé pour étudier, de finir mon secondaire, c’est loin tout ça… Le temps passe cette nuit,  parfois je suis content d’avoir éloigné le désespoir, d’être ce que je suis et qui je suis en faisant abstraction de la schizophrénie… Ce que vous lisez pour moi c’est un grand tableau. Je crois qu’il y a encore des gens qui savent pas que la voisine est déménagé qu’elle s’adonne à ses petits trafics ailleurs . Je ramène l’émotion dans tout ça, j’ai peur… Le climatiseur s’est arrêté… J’écris, c’est pas du show bizzness on est pas dans « America got talent ». Je pense à tous ces vieux amis qui sont revenus en ligne, à la famille aussi… J’essais de mettre mon cœur dans ce que j’écris, un jour à la fois je réussis à « créer » quelque chose, tout à coup la tristesse s’empare de moi, je sais pas pourquoi je vais pleurer… Ce qui me désole c’est que j’ai plus de rythme, la musique est partie j’écris que de l’ennuis rien me souris, rien me souris, les voitures crient, les indiens cree aussi, c’est de la folie, de la folie de nuit… Et puis, et puis je souris loin de l’envie cherchant la sortie le replis et merci merci merci donnez moi le crédit, la saillis l’étalon gris… Voilà ! C’est presque terminé pour cette nuit, j’ai tenté la poésie sentie mais derrière y’a le bruit… Les mots fuient, j’oublie le paradis… Vous me direz c’est facile je l’écris. Dans la nuit de vendredi y’a toujours une musique qui jaillis  sans soucis. Voilà ! C’est finis quelques mots encore, je garde ma façon comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici !!! Lâchez pas je termine, à la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard