vendredi 21 décembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Tranquillement décembre s’en va, il va me rester trois mois avant de partir en voyage… Dehors y’a de la brume, j’aimerais qu’il y ait de la neige… Plus que trois jours avant Noël… Parfois ces temps-ci de l’année le patriarche rentrais tard du boulot, il ramassait les restes du buffet de la fête qu’il avait organisé pour les employés. Le patriarche aimais bien préparé un punch sans alcool moi les derniers temps ça faisait mon affaire. Il ramenait aussi pour la matriarche un cadeau en métal précieux donné par le juif qui achetait la scrap de métal. Souvenir de ces réceptions où ça buvait chantait et mangeait… La matriarche s’était donné, ça a plus de quarante ans tout ça… Ces moment-là je les ai pas oubliés c’était avant que je tombe malade, après la solitude s’est mis à me peser… Partout où j’étais c’était lourd j’arrivais pas à rire. J’étais toujours tôt le matin de Noël chez le patriarche, c’étais des Noëls douloureux comme si on me piquait un poignard dans le cœur… Je m’assoyais dans la grosse berçante et je me berçais, le cœur au bord des larmes. Les grandes fêtes que donnait le patriarche était terminé… Je suis jamais vraiment arrivé à discuter avec le patriarche, il parlais de la shop et moi j’aimais pas ça, il était incapable de voir que j’étais malade, ce sont de vieux souvenirs j’ai pas de rancune… Le dernier des aïeul est décédé on entendras plus d’accordéon… Je suis heureux d’avoir réussis à me rétablir. Souvenir aussi d’avoir lu un poème devant la compagne de l’aïeul elle avait aimé ça et l’oncle avait été touché… C’est la portée de mon écriture ça reste dans la famille à la limite presque confidentiel. J’arrive jamais à de grandes choses… Y’a eu des hivers où on a plus pelletée que ça, on me servait jamais de petit blanc, d’alcool fort ça me rendait fou… Un hiver aux habitations du stade olympique où je cassais de la glace et me gelait les pieds. Maintenant j’attends d’être étonné, le patriarche a jamais voulus écrire son histoire, je crois qu’il y avait quelques affaires pas reluisantes… Me souviens aussi des décorations de Noël de la matriarche, étrangement pour cette fête toute chrétienne on trouvait rien de mieux qu’écouter du rock anglais avec l’espérance de changer le monde… Je pense que cette nuit je vous ai tout raconté… Je sais pas si mon lecteur de Deux-Montagnes à le Wi-Fi dans l’avion. J’ai rejeté beaucoup de choses de l’univers du patriarche mais je réalise maintenant que le mien est pas beaucoup mieux, on fête toujours Noël en cherchant la paix… Le patriarche avait ses histoires de chantier dans le bois moi les miennes sont urbaines et montréalaises. Voilà! J’en suis à la chute, lâchez moi pas, quelques mots encore comme toujours pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! Ça y est presque je reviendrai demain c’est difficile de terminer. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Souper et diner de Noël, on peut pas se plaindre qu’on crève de faim. Je suis un peu mêlé dans mes journées, le week-end arrive… J’ai appris que ma voisine d’en haut étais maintenant itinérante, je crois qu’elle s’est isolée et ne payais plus ses comptes, la vie pour elle est maintenant très difficile pourtant c’était une bonne voisine, je lui souhaite de se trouver un abri pour le temps des fêtes. Ici aux appartements on a vieillis on ne fait plus la fête comme avant, ça fait plus de vingt ans que j’habite ici, y’a plus de ces soirées où on échangeais des cadeaux, écoutais de la musique et où je jouais de la guitare, comme on dis c’était le bon temps… Aujourd’hui il pleut ce soir ça va se transformer en neige on auras peut-être un Noël blanc… Ce soir les ouvriers vont finir plus tôt question de fraterniser entre collègues… Y’a tout ceux qui ont des enfants et qui bossent pour leur faire un beau Noël… Je pense qu’à Montréal y’a cinquante-trois pour cent de célibataires. Plusieurs se recomposent des familles avec les amis, aujourd’hui c’est la journée la plus occupée pour les achats… Je suis toujours en rétablissement, parfois la paranoïa surgie quand je l’attends le moins… Vendredi aussi dans les bureaux on va diner au resto avec les collègues… Bientôt janvier, j’aime beaucoup vous écrire en pensant aux petits enfants. Je crois qu’ils terminent l’école cet après-midi… Aujourd’hui c’est vraiment l’hiver qui commence je vais le passer en préparant mon voyage… Je salue les amis de Brossard et leurs souhaite de belles fêtes. Tout à coup je suis un peu triste, je peux plus m’amuser vraiment comme dans l’enfance. Du temps de l’innocence… Je vois ce gars étendu dans la porte du bureau de la sécurité du revenu, il croit peut-être qu’il auras son chèque plus vite… J’ai hâte de rencontrer mes frères et dis bon voyage à celui qui ne sera pas là… Dans le parc la neige a fondue, je voudrais faire de la poésie mais comme toujours j’y arrive pas, j’explore mon senti essais de nommer ces sentiments pourtant… Parfois je crois que mes lecteurs comprennent trop ce que j’écris… Je crois souvent qu’un vrai poète est incompris sinon maudit… Quand même, l’immense poète avait inventé un langage, l’exploréen, on comprends pas plus ce qu’il voulait dire peut-être fallait-il ressentir tout simplement… Je veux pas oublier personne pour Noël, tout ceux qui me lisent ont une pensée de moi… Je veux pas aller trop vite en affaire en garder un peu à vous raconter… J’entends un avion dans cette journée triste et grise. Je pense déjà à l’impôt il est un peu tôt, je crois qu’à partir d’aujourd’hui les journées vont s’allonger. Voilà! J’en suis presque à la chute, j’espère que ça vous amène un peu de bonheur de me lire. C’est toujours difficile de terminer. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

jeudi 20 décembre 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Bientôt quatre jours avant Noël. Hier j’étais heureux de parler avec notre lectrice secrétaire exécutive retraité du syndicat des enseignants du cégep de l’Outaouais, c’était bien on a jasé de ses petits-enfants qu’elle adore… Je crois qu’avec les fêtes je vais avoir de nouveau lecteurs je leurs souhaite la bienvenue. Cette nuit il pleut, on annonce du verglas, j’espère que les poteaux tomberont pas. La lectrice m’a parlé de son futur voyage en Arizona et moi du mien à San Francisco… On se disait que c’était mieux d’y aller un jour à la fois mais que pour les voyages valait mieux se préparer… Dans la poste y’avait des documents à préparer avant le mois de février pour la subvention au loyer… Je suis allé au bureau de la sécurité sociale pour demander un document… On va me le faire parvenir par la poste… On m’a raconté comment l’Arizona c’est loin et qu’il y a beaucoup de monde il fait chaud. L’équipe locale a gagné son match en visite au Colorado… Cette nuit je sais pas trop comment vous traduire mon senti… Je pense qu’aujourd’hui on va préparer de la soupe, semble qu’un petit gars veux plus lire, il veux pas de livre en cadeau mais je crois que ça va vite lui revenir. Semble que la côte ouest c’est bien, j’ai hâte de monter dans l’avion, je pensais coucher à l’hôtel avant de partir mais je crois qu’un taxi couterais moins cher… Je vais demander à mon ami qu’il vienne me reconduire en voiture. Encore un tout petit peu plus que trois mois en fait l’hiver à passer. C’est officiellement la saison froide, hier j’ai regardé une photo d’il y a quelques années un séjour en Guadeloupe… Je serai allé dans de bien beaux endroits, je continue à me rétablir comme ça un jour à la fois… Hier la voisine du bas, une chinoise, est venue manger avec nous c’était sympathique même si elle ne dit pas un maudit mot de français.  Pourquoi tant de salmigondis? Je sais pas comment écrire autrement, j’avais le souvenir de Noël chez le patriarche, parfois j’amenais ma guitare et j’allais avec les enfants dans la chambre du fond pour leurs inventer une chanson, un blues, à leurs prénoms je crois qu’ils aimaient ça, ici je salut bien bas mes lecteurs du Mont-Bleue à Hull… Quelques dodos encore et c’est Noël. Vendredi déjà, je dois régler des choses avec l’office municipal d’habitation, avant février, je crois que c’est jouable que ça va le faire… Je me répète, il est temps que j’arrive, cette nuit mes écritures sont pas très sensibles. Je les vois encore petits les enfants, mais c’est eux qui en ont maintenant, ils ont toutes mes pensées de bonheur pour Noël… Quand on se rétablis c’est pas interdit de vivre des émotions souvent ce sont les épices de la vie. Encore quelques mots, la chute pour terminer, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 19 décembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Vingt décembre encore cinq jours avant Noël. Jeudi quelques écartés sont encore à la brasserie pour eux Noël où pas y’a pas de différence. Je me souviens m’être fait dire au Chaval Blanc que j’étais pas intégré et aussi au Café Campus à l’époque de la rue Descelle en sortant de la piste de danse un anglophone m’avait suggéré de consulter, ce que j’ai fait après bien des embûches des années plus tard… Je pratiquais la danse à go-go, une sorte d’expression corporelle de l’ivrogne… J’ai jamais compris les principes de cette danse « libre » si on dansait seul ou en couple, dans ces endroits y’avait pas grand-chose à faire on buvait, on dansait et si on était chanceux on parlait y’avait aussi ces nombreuses visites au toilette pour se vider la vessie… C’est pas possible perdre son temps d’une manière pareille. Je vais essayer de pas boire aujourd’hui… Aujourd’hui c’est le souper communautaire de Noël, j’ai mis de la musique de circonstance juste pour me mettre un peu dans l’ambiance, c’est émouvant… Je pense à tous ceux qui sont partis, ceux qui seront pas avec nous encore cette année, on peut pas revenir en arrière faut en profiter tant qu’on peut pour moi ça veut dire sobre et sans alcool… C’est un peu la thématique du « Petit renne au nez rouge ». J’ai débranché le téléviseur par accident, nos artistes ils ont tous enregistrés des chansons de Noël, c’est des chansons francophones… Ouais! Les gars vont attendre un bonus encore cette année dans mes années de labeur je me souviens pas en avoir reçu un… Souvent le boss payait la bière et le diner, j’avais quand même hâte de rentrer chez moi. C’est loin tout ça plus de trente ans… Souvenir aussi de ces cousins de province incrédules qui pouvaient pas croire que même à Montréal on pouvait être chômeur et vivre sans travailler, j’étais, je suis fou mais je me rétablis… Je pense aux repas de l’hôpital, c’était pas terrible, c’est souvent la première chose qu’on te demande quand t’est hospitalisé. Je me suis souvent battus avec la psychose… Maintenant je tiens tout ça loin de moi. Soixante deuxième Noël, je suis plus un enfant mais un pépère, je me rappelle quand même cette enfance, tout ça passe si vite, bientôt les petits enfants seront grands. Ma vie je sais pas où elle se situe dans le temps est-ce une vie contemporaine de vieux célibataire? Je sais plus trop quoi vous raconter d’habitude la nuit est plus fertile… Comme beaucoup on souhaiterais la paix pour Noël… Avec le temps mes blessures ce sont cicatrisées, je me suis réconcilié avec la vie, un peu tard peut-être… Maintenant j’essais de faire attention à ce que je raconte… Si jamais vous y pensez dites une petite prière pour moi, Noël, les enfants, la famille… Voilà pour cette nuit c’est la chute, je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Berna

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Pas d’enregistrement d’émission de radio, les invités ce sont désistés… J’étais bien préparé pour l’entrevue… Je me sens cheap aujourd’hui c’était la fête de Noël du comité des usagers je suis pas allé et en plus j’ai téléphoné à la coordonnatrice pour savoir si je serais dédommagé pour un atelier thématique sur le rétablissement que je vais donner le dix-sept avril, c’est gênant parfois j’ai des problèmes… Je vous dis, on a à peine commencé l’hiver on pense déjà aux choses du printemps… Ma journée est toute défaite parfois je suis programmé quelques semaines à l’avance et tout est annulé c’est désagréable. Parfois je pense m’équiper d’un téléphone intelligent mais je crois que ça briserais mes habitudes d’écriture. Pour le voyage je crois que tout va rester en ordre… On m’a invité au cocktail bénéfice De feu et de glace au profit de l’institut, c’est le lendemain de mon arrivé mais je crois pas y aller, je suis pas très mondain c’est le genre d’événement que je dois fréquenter le moins possible, il y va de ma sobriété… J’espère que vous comprenez. Je crois que je vais avoir d’autre activités, une autre création collective avec le TNM et peut être une bibliothèque humaine pour le compte de l’association des libraires indépendants. Je vends peut-être la peau de l’ours avant de l’avoir tué, les choses s’en vont peut-être à vau-l’eau… Tout à coup je me sens pas bien, mon senti est brisé, je vous écris et c’est comme si je me noyais. Présentement je lis Nos racines psychédélique de Marc-André Brouillard ça me rappelle beaucoup de choses et comment j’en suis venus à la maladie mentale… C’est pour ça que je crois pas que la légalisation du cannabis sois une si bonne idée. J’ai presque envie d’aller voir à l’urgence si il y a plus d’hospitalisation pour psychoses toxiques et même pour schizophrénie. Mais c’est la liberté… Libre mais fou ça avance à quoi? La folie ça aussi c’est toute une histoire, les fous souvent veulent pas entendre qu’ils le sont ce sont les premiers à stigmatisé leurs pairs, eux oui! Mais pas nous qu’ils disent… Parfois ce ne sont que de simples névroses pas trop douloureuses. J’oserais dire la névrose de tout le monde. Mais pour moi j’ai hérité de la maladie du un pour cent la schizophrénie, on se rétablis mais on est pas guéris. Je devrais pas vous écrire des choses comme ça, c’est le temps des fêtes faut se réjouir, on va rencontrer la famille qui parfois nous manque… Quand je les rencontre je vie toute sorte d’émotions, c’est normal… D’une fois à l’autre je me répète pas mal… Tout ce que je souhaite c’est que vous vous découragiez pas de me lire et moi de vous écrire. Voilà! J’en suis rendus à la chute pour aujourd’hui, ça vaux ce que ça vaux! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore avant de terminer. Merci! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

mardi 18 décembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis un peu déçu, je suis en stand-by pour l’émission de radio c’est possible que les autres invités se présentent pas, le concept, l’idée de l’émission tomberais donc à l’eau… Peut-être qu’ils font partie de ces gens qui aiment critiquer mais qui n’apprécient pas qu’on leur serve leur médecine… J’ai dormis, j’aimerais quand même bien la faire cette émission… Mon lecteur de Deux-Montagnes a eu une très bonne idée pour partir en voyage au Mexique comme le vol pars très tôt, six heure et demie le matin je crois il s’est loué une chambre à l’hôtel de l’aéroport, c’est possible que je fasse la même chose pour mon voyage en avril, l’avion pars à sept heure… Je vous écris ça je me sent déjà comme à l’aéroport… Les cerisiers en fleurs à San Francisco semble que c’est à voir… En attendant faut passé Noël et le jour de l’An, je sais pas si mes lecteurs, lectrices se rappellent du petit quatre et demi du grand-père bondé de monde au jour de l’An, c’étais joyeux ça discutais fort, je me souviens qu’on mangeait bien et qu’on avait du plaisir… Quand la table était libre, les oncles et les tantes s’installaient pour taper le carton, jouer aux cartes ils appelaient ça jouer au « youcoeur » j’ai jamais compris ce jeu… Souvenir aussi des camarades avec qui on jouais au cinq cent les soirs de fin de semaine, je devais être pourris ça m’a pas fait entré dans le rang, les autres ce sont tous placé et moi j’ai dérivé… Je sais pas pourquoi cette nuit j’ai de la peine, plus que six jours avant Noël, les enfants comptent les dodos et ont hâte d’avoir leurs bébelles… Encore un peu plus  de trois mois et je prends l’avion, j’ai rêvé que j’étais à l’aéroport… Je sais plus trop quoi vous raconter, ces matins d’hiver où il fallait se lever tôt pour pelleter l’entré afin que le patriarche parte travailler… Je dois dire que c’est pas moi qui pelletais le plus fort, une fois qu’on a été partis de la maison le patriarche s’est acheté une souffleuse  tout pour avoir une bonne opinion de soi, on était bon qu’à la pelle… Y’a trop de rancœur là-dedans c’est pas bon… Je trouve pas, je trouve plus, le propriétaire italien qui donnait du vin de son cru à mon grand-père, je pense qu’il était pas très bon, quoi que j’en ai jamais bu. Y’avait ces Noël où je commençais à être malade et en chômage, j’étais brisé… Je suis heureux que ces temps soient derrière moi ça me laisse quand même un souvenir amer. Voilà! La nuit passe lentement et je vous écris, quelques mots encore avant de terminer, tromper vous pas entre la tourtière du Lac Saint-Jean et les pâtés à viande… sans oublier les renversés aux bleuets mais c’est pas de saison. Je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! C’est la chute à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui j’ai marché au moins une heure et demie. J’essais de reprendre la forme pour mon voyage à San Francisco, lentement j’entends parler d’avril encore trois mois avant de partir. Comme disait l’autre ce seras pas long mais ça va être bon… Je me prépare un café, dehors la lumière est magnifique mais il fait froid. J’aimais bien la bande dessinée avant de tomber malade je renoue avec elle à travers les recueils Spirou. C’est moins difficile à comprendre qu’Heidegger… Dans le quartier y’a une statut de Jean-Paul II je savais pas ça, ici c’est la petite Pologne. Je veux pas trop penser à l’Europe cette année je m’en vais à l’ouest. Tout à l’heure j’ai parlé avec une demoiselle qui ne comprenais que l’anglais, je me débrouille pas mal elle a compris ce que je cherchais. Je pense à cette hispanique qui tenais le restaurant de l’hôtel à Washington elle m’a dit que j’étais une bonne personne… Je veux pas faire trop de retour en arrière après tout ça s’intitule au présent, parfois je réussis à écrire pour que ça vous touche mais c’est difficile… La demoiselle me disait qu’il fallait qu’elle apprenne le français mais Montréal c’est ça la deuxième plus grande ville francophone au monde et tu peux t’en tirer toute une vie sans dire un mot de français… Les anglophones nous prennent pour des Polonais, ils adhèrent pas au fait qu’on est un des deux peuples fondateurs du Canada… C’est le multiculturalisme à la Trudeau père… J’irai pas trop loin avec ça c’est toujours controversé. Je pense à Karol Wojtyla un bon pape mais il a quand même laissé faire des saloperies, je sais pas si le Cardinal Léger avait été pape aurait on connus une recrudescence de la religion? Je dirai quand même pas le chapelet aujourd’hui. Sur sa statut Jean-Paul II bénie le sud et au sud c’est les américains ils en ont bien besoin. J’ai pas trouvé qui avait fait la sculpture de Karol mais elle est à l’église Our Lady of Czestochowa… Bon! C’est du délire tout ça comme on dis je veux pas être plus catholique que le pape… Je vais y aller avec mon senti encore une fois, les voisins écoutent de la musique mais jamais très longtemps… Y’a eu tout un boucan, des livres sont tombés de la bibliothèque avec une petite chaudière remplie de babioles, c’est peut-être pour me punir de mes écrits sacrilège. Quand des choses comme ça se passe mon senti paranoïaque apparait… On approche de plus en plus de Noël… Les enfants sont surement très agité moi dans mon enfance j’en faisait des crises d’eczéma… Je sais pas quand l’école finie, la famille de mes snowbirds va surement se réunir… J’espère que j’ai blessé personne avec mes écrits aujourd’hui. J’en arrive à la chute toujours difficile. Quelques mots encore voilà l’épilogue je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là, prenez votre temps les commentaires sont toujours bienvenue. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard