mardi 5 février 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui on disait au revoir à la gentille intervenante qui est tombé malade. Je me suis coupé l’appétit en mangeant des croustilles et du gâteau. C’était bien comme ambiance les employés et les voisins étaient présent, je les considère comme mes amis. Le ciel s’est dégagé, j’ai reçu une partie de la paperasse dont j’ai besoin, j’espère que ce qui manque va arriver demain… Je m’en fait pas trop ils ont tout le mois de février pour le poster. Soleil encore une belle lumière… Je cherche une émotion, je sais que la lecture ça touche pas tout le monde encore faut-il être capable de nommer ce qu’on sent, ce qu’on ressent. J’ai du « travail » mon compte-rendu à rédiger, mon curriculum vitae, bientôt la création collective et ce blog. J’entends le chat du voisin, je suis entouré de gens fier en rétablissement. Parfois la maladie touche ceux qu’on attend le moins. Je sais pas si c’est artistique ce que j’écris, faute de l’être j’ai acheté de petites Madeleine, je crois que ce soir ça va gelé… Plus tôt cet après-midi y’a eu une panne d’électricité… J’ai encore regardé un avion atterrir tourné du cockpit, c’est vraiment exceptionnel… J’ai la larme à l’œil, je tape sur mon clavier comme si j’interprétais au piano une pièce de Mozart. Les mots, les mots, les mots la tonalité… On me vois venir sur la portée que je sais pas lire, j’ai pas voulu apprendre la musique comme indiqué… J’aimerais ça écrire à contrepoint, mais je m’appelle pas Glen Gould… J’ai pas vraiment le vocabulaire de la musique, j’écris pas sur une clé… Je me suis trompé ça semble avoir fondu. Je suis toujours au prise avec mon senti que j’arrive pas à nommer… Parfois je fait des choses ça semble pas les bonnes, même le caissier du supermarché me fait mal quand il me parle, je suis seul et sans défense… Quand-même je m’auto-dénigrerai pas, les gens sont ce qu’ils sont. Parfois j’ai juste envie de me cacher, « la vie est dure, l’amour caché ». J’arrive pas à exprimer verbalement ce que j’écris, ce que je vie une sorte d’ostracisme de mise de côté de celui qui souffre… Dans ces moments-là je dois pensez aux amis… Je suis chez moi, y’a personne d’étranger, ils jugeraient peut-être moins si ils avaient fait quelques milles dans mes bottines… La police m’amène toujours à l’hôpital… Aujourd’hui je veux pas m’organiser pour être hospitalisé pas plus que faire de la prison. Tout ça je crois que c’est de la stigmatisation, ils sont mal dans leurs travail et voudraient la même chose pour les autres. La douleur voilà ce que je ressent, si vous pouvez me répondre et m’aider, merci! Rester seul je sais que c’est pas de la force. Voilà! J’aurai encore pondu quelque chose. C’est la chute, la finale, l’épilogue, Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore, je cherche l’espoir. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

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