Bonsoir! Bonjour! Je crois qu’il y en a d’entre
vous qui vont lire en rafale. Cette nuit est calme, je compte les dodos avant
de partir, j’ai un siège côté allée… Ai démarré le climatiseur. Je sais plus
trop sur quoi délirer, je suis
vraiment en vacance… Je cherche des souvenirs me souviens qu’on se faisait
voler nos bicyclettes à répétition chez le patriarche… Dans un autre ordre d’idée
la fois que j’étais allé aux danseuses avec le parrain, il aurait aimé que je
lui parle et que je me fasse faire une pipe, et cette autre fois, la matriarche
étais malade, et les quatre frères s’étaient ramassé au mal nommé Limule à
Saint-François à Laval pas vraiment de plaisir dans cet endroit sombre… Je
reviens au départ bientôt, je cherche les différentes façons de l’écrire, c’est
mon texte de la nuit, on est dans le mois d’août, toujours ce souvenir de
Washington l’an passé, de ce café pris à l’étage dans un Starbucks. Quand vous
me lisez je dois vous apparaitre confus mais l’idée c’est de ne rien écrire de
trop linéaire. Y’a pas longtemps que je sais que celui qui fait et sert le café
on appelle ça un barista. Je veux pas trop vous parler de ceux qui sont partis
pour le long voyage dont on ne reviens pas. C’est jeudi à moins d’être dans l’erreur
c’est le dernier week-end des vacances de la construction qui s’annonce… Je
pense que les snowbirds vont eux aussi en Espagne, moi je prends des notes j’essais
de planifier mon temps, je veux aussi me la couler douce sur une terrasse,
chose que je ne fais plus à Montréal, à Madrid je vais essayer d’entendre du
Flamenco. Étrangement le temps à pas la même portée avant de partir, il s’étire,
mon nom c’est pas Robert Viau. Je sors plus la nuit j’ai peur de rencontrer de
mauvais anges. Je viens de boire une limonade à l’orange, je persévère dans l’écriture,
j’espère que vous lisez… Me souviens avoir brisé ma guitare et mon
mini-téléviseur j’étais enragé, tout ce que le patriarche avait trouvé à dire c’est
« qu’il brise pas mes affaires » parfois c’était nul à chier. Me
souviens de l’orgue que j’avais malmené, brisé une prise d’écouteur. Je me
prenais pour Keith Emerson du groupe Emerson, Lake & Palmer. Il était
réputé pour démolir ses claviers et en sortir des sons bizarres. Voilà une de
leurs excellentes chansons Lucky man https://www.youtube.com/watch?v=89g1P_J40JA Je pense que c’était le début de tous les
synthétiseurs et ma vie auras passé en écoutant de la musique incapable d’apprendre
un métier, heureusement j’ai toujours été en liberté je sais l’apprécier. La
lecture m’a permis de résister, si les règlements du chômage avait pas changé j’habiterais
encore chez le patriarche! Je dirai pas être de la génération perdue je suis
plutôt un homme perdus y’a pas eu de rédemption. Je termine donc là-dessus en
vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Ciao!!!
Bernard
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