Bonsoir!
Bonjour! Viens d’arriver d’un conseil d’administration du comité des usagers.
Encore entendu le mot le plus couru quand on parle d’administration, coupure!
Ce soir je suis vide, c’est difficile d’écrire sans blesser personne, je m’excuse
auprès des membres de mon groupe d’entraide. C’est beaucoup plus facile de
laisser aller son fiel, que de réfléchir et d’être positif. Devant un écran je
me trouve bein intelligent, mais parfois je fais du mal. Ce soir je pense
arrêter l’écriture de ce blog mais je sais pas comment je vais le remplacer, y’a
des mots qui sont vraiment juste pour le cahier. Je dis merci aux amis d’être
indulgents avec moi. Ce soir je pleure, mais non mon univers s’écroule pas… Je
sais pas, je sais pas où je vais? Où je vas? Je prends mon temps, des textes je
peux en écrire tant que je suis vivant, l’ami avec raison disait « c’est
pas de l’or, c’est pas de la merde ». Je veux souvent écrire des textes
forts, mais la seule force que je connais c’est de demander de l’aide,
quelquefois pour arriver à quelque chose faut rayer des mots. Je sais plus où j’ai
lu que pour être un bon écrivain faut être un parfait chien sale, d’autre
disent que les gens compliqués font des textes simples et les gens simples font
des textes compliqués. Je sais pas si c’est vrai ni où je me situe là dedans,
disont que je suis un gros bêta… Les pompiers passent c’est la nuit. Je
prendrais bien l’avion, je ne sais pour où, c’est pas une très belle phrase
mais j’imagine que vous avez pas besoin de mon autocritique. Je veux dire à mes
snowbirds que lentement ici ça se réchauffe, c’est pas la Floride mais on vas y
arriver. Je pense à mon entourage, pourquoi je suis le seul à tenir un blog? Si
vous me lisez et que vous en tenez un vous aussi, faite moi signe. C’est
probablement une façon que j’ai d’aller chercher de l’amour. J’ai regardé la
fin du match, on, on étant le Canadien de Montréal, a gagné! Je suis mêlé pour
l’heure ça fait longtemps que j’ai écrit à cette heure-ci. Je sais pas si les
petits gars de ma nièce puéricultrice jouent au hockey, nous on jouait dans la
rue c’était presque une pièce de théâtre on prenait le nom et le style de notre
joueur préféré. J’irai bien une bonne fois en Floride, je suis pas plus cave
que les autre, je le sais bien qu’on me prend pour un Elvis Gratton mais je
porte pas des culottes en macramés. Ce soir j’ai vécu toute sortes d’émotions,
les amis sont très compréhensifs. Je sais pas si je vais faire une grande « œuvre ».
J’aime pas dire que je crée je trouve ça prétentieux, les mots ont déjà été
utilisés. J’y arrive quand même sans trop me battre. Je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard
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